vendredi 2 octobre 2020

Tous dans les écoles dès 3 ans.

Emmanuel Macron entend lutter contre les séparatismes en obligeant toutes les familles à confier leurs bébés de 3 ans aux écoles maternelles, mais pas seulement. Il entend également interdire le choix de l'instruction à domicile. Pourtant, il est largement prouvé que le suivi des enfants qui apprennent dans leurs familles est bien plus sérieux que celui fait dans les établissements scolaires.

J'ai justement évoqué ce sujet dans mon billet sur la culture et Roselyne Bachelot. Deux adultes trentenaires rencontrés la même journée ne savaient pas lire et écrire couramment. Je ne parle pas des lacunes dans d'autres matières, notamment les mathématiques ou la géographie. Ce n'est justement pas Emmanuel Macron qui pourra me contredire, lui qui croyait que la Guyane était une île alors qu'à la place qu'il occupe, il devrait au moins connaître les territoires de son pays. C'est un minimum. 
Pourtant, ces trois mauvais élèves sont allés à l'école. Il faut croire qu'ils avaient donc de mauvais enseignants, ce qui m'amène à la conclusion suivante :

Tous à l'école, pourquoi pas, mais avec une autre école que celle proposée actuellement et une possibilité de contrôle des parents sur ce qu'on bourre dans le crâne des enfants mais aussi une protection contre les risques d'abus sur des petits qui ne peuvent pas se défendre. Tout le monde sait que les pédo-criminels sont attirés par les endroit fréquentés par des enfants. L'école est le premier choix. Elle leur permet de gagner leur vie en assouvissant leurs désirs coupables, le plus souvent couverts par leur hiérarchie. Je passe sous silence, bien que ça existe encore, les sévices corporels comme punition. L'école actuelle est un repaire de cinglés qui profitent de leur statut pour s'imposer face aux plus fragiles d'entre nous, nos enfants. Alors tous à l'école dès trois ans, si vous croyez que c'est la solution, mais avec d'autres, sérieusement encadrés et inspectés et virés à la première dérive et non mutés ailleurs avec une promotion comme c'est le cas à l'heure actuelle. Et surtout, suppression de l'éducation nationale au profit de l'instruction publique. 

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