lundi 28 août 2017

Pilote de carnaval

Photo ; Le Parisien
En France, le port illégal d’un uniforme est réprimé par les articles 433-14 et 433-15 du Code pénal.

Article 433-14

Est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende le fait, par toute personne, publiquement et sans droit :

1- De porter un costume, un uniforme ou une décoration réglementés par l’autorité publique ;

2- D’user d’un document justificatif d’une qualité professionnelle ou d’un insigne réglementés par l’autorité publique ;

3- D’utiliser un véhicule dont les signes extérieurs sont identiques à ceux utilisés par les fonctionnaires de la police nationale ou les militaires ;

4- D’user de l’emblème ou de la dénomination de l’un des signes distinctifs définis par les conventions signées à Genève le 12 août 1949 et leurs protocoles additionnels.

Article 433-15
Est puni de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende le fait, par toute personne, publiquement, de porter un costume ou un uniforme, d’utiliser un véhicule, ou de faire usage d’un insigne ou d’un document présentant, avec les costumes, uniformes, véhicules, insignes ou documents distinctifs réservés aux fonctionnaires de la police nationale ou aux militaires, une ressemblance de nature à causer une méprise dans l’esprit du public.

Mais, il y a une personne qui échappe aux poursuites parce que :

Article 67 de la Constitution du 4 octobre 1958, modifié par la loi constitutionnelle n°2007-238 du 23 février 2007- art. 1 :

Le Président de la République n'est pas responsable des actes accomplis en cette qualité.

dimanche 27 août 2017

Gregory Villemin

Nous sommes à la fin de la période de vacances scolaires pendant laquelle tout le monde essaie de décompresser alors que le gouvernement met les bouchées doubles pour nous assommer de décrets scélérats qui vont rendre la vie difficile à tout le monde.

Le décret 2017-1230 du 3 août 2017 , publié le 5 au journal officiel et en vigueur le 6 est de ceux-ci.

Pour poursuivre son œuvre de démolition de la société, Emmanuel Macron et son équipe de traîtres avaient besoin, non seulement de faire vite, mais aussi de distraire l'attention du public. Comme il n'y avait aucun djihadiste de libre pour faire un attentat, il a fallu faire appel à une vieille affaire non résolue qui avait en son temps mobilisé les foules, l'assassinat de Gregory Villemin, un magnifique petit garçon de 4 ans à qui personne ayant toute sa raison n'aurait pu penser à faire du mal.

Je me souviens parfaitement bien de cette histoire. Ma fille n'avait qu'un an de plus que Gregory. J'avais confiance en la gendarmerie et j'attendais que le coupable soit trouvé. Quelqu'un aurait forcément vu ou entendu quelque chose. Le meurtrier aurait obligatoirement commis une erreur. J'étais loin de penser que 33 ans après, on en serait encore là.

J'ai le souvenir que la presse a pris possession du terrain, menant ses investigations à la place des gendarmes et rendant la vie impossible aux habitants des quelques petites communes concernées. J'avais d'ailleurs été choquée qu'un journaliste local et son photographe soient déjà sur les lieux pour prendre des clichés de l'enfant encore dans l'eau. Je me suis demandée qui les avait prévenus.

33 ans plus tard, rien n'a changé. La presse est toujours aussi harcelante et il a fallu que le juge d'instruction menace d'incarcérer les personnes entendues pour qu'enfin, on les laisse tranquilles. Malgré tout, que ce soit les media de masse ou les participants de certains forums, les unes diffamantes existent encore et les discussions où les protagonistes ont été affublés de surnoms pour éviter les poursuites vont bon train et ne respectent pas toujours l'éthique qu'on en attendrait.

Trois personnes ont été mises en examen et je ne porterai aucun jugement sur elles. Bien au contraire, je pourrais leur témoigner de la compassion pour ce que la justice, incapable de faire son travail il y a un tiers de siècle, leur fait endurer au nom d'une vérité qui ne sera sans doute jamais trouvée. La bonne excuse, ce sont les vacances, mais il fallait justement que ce soit maintenant, même si ça fiche en l'air la vie de gens qui avaient surtout besoin qu'on oublie un peu de leur faire de la publicité.

En leur absence, alors que ces personnes, qui ne sont pas coupables mais mises en examen, ce qui est arrivé à beaucoup de nos hommes et femmes politiques sans aucune conséquence pour eux, sont tenues à l'écart, séparées de leurs familles, leurs maisons sont prises en photo et leur vie privée étalée, avec les commentaires désobligeants qui vont avec. Critiquer la couleur du crépi en est le moindre mal mais la dérive vient lorsqu'on commence à regarder ce qui se passe dans leur chambre à coucher.

Certes, le climat de suspicion qui régnait dans cette vallée de la Vologne dans les années 1980 n'a pas été idéal, et c'est, à mon avis, ce qui a permis à l'assassin d'échapper à la justice. Les jalousies des uns et des autres, attisant un feu couvant, les secrets, les messes-basses, les tromperies ont permis à quelqu'un qui ne fait peut-être même pas partie du cercle de ces familles d'accomplir son forfait. La franc-maçonnerie s'étant invitée dans les couloirs de l'enquête n'a fait qu'aggraver les choses. On sait que son influence fait échouer bien des procédures, leur fraternité passant avant la vraie justice.

Nous n'avons plus qu'à remercier le gouvernement français qui, comme les précédents, joue avec la vie des uns et des autres pour accomplir le plan de la finance internationale, ce cancer qui ronge tout bien plus sûrement que la pire des maladies.

Une société qui ne protège pas ses enfants est en déclin et c'est malheureusement le cas pour la nôtre. Je finirai donc mon article par une pensée pour Gregory Villemin et tous les enfants ravis à l'affection de leur famille, qu'ils aient été retrouvés ou pas.


vendredi 25 août 2017

Statistiques et liberté d'expression

Je suis tombée par hasard sur un article dont je publie ci-contre l'illustration, plus éloquente qu'un grand discours, mais je vais commenter quand même de façon rapide.

La France a censuré près de 38.000 pages Facebook en 2015. Les pays qui suivent sont l'Inde et largement derrière, la Turquie.

Sur un total de 76.395 pages Facebook censurées dans le monde entier, la France en a fait censurer pratiquement la moitié.

Cette entrave à la liberté d'expression sur les réseaux sociaux me remet en mémoire le grand défilé hypocrite de cette même année 2015 auquel plusieurs chefs d'états, y compris "le boucher de Gaza" participaient.

Dès le début de l'année, le 11 janvier précisément, en réaction contre l'assassinat de plusieurs dessinateurs du journal Charlie Hebdo, le gouvernement français avait appelé à manifester "pour la liberté d'expression".

Malgré tout, cette liberté d'expression, on le voit, non seulement n'a jamais été totale, mais se trouve de plus en plus restreinte, que ce soit sur les réseaux sociaux, dans la presse, mais aussi dans la vie de tous les jours et ça ne va pas s'arranger avec la loi "confiance dans la vie publique" dont le texte appelle plutôt à la méfiance car il va dans le sens d'une pensée dogmatique et immuable dont personne ne pourra sortir sous peine de graves ennuis, voir de sévices, comme c'est souvent le cas face aux extrémistes de gauche qui gouvernent actuellement.

J'entends déjà des objections, alors je m'empresse d'ajouter que le mot extrémiste correspond à la définition "partisan des idées et des solutions les plus tranchées" selon l'Académie Française et que la gauche représente les partisans de "la République" qui ont voulu cette nouvelle société issue de la révolution française. La quasi totalité des partis politiques français sont de gauche, les extrémistes en sont ceux qui martèlent comme pour se persuader eux-mêmes de leur valeur les mots "démocratie" et "république".

Pendant que j'écrivais cet article, un compte Youtube auquel j'étais abonnée a été cloturé sous un fallacieux prétexte. Sans doute pour préserver la liberté d'expression...


Maquillage présidentiel

Gnafron, en vedette sur le Petit Journal
En faisant un rapide tour de la presse, je vois que les 26.000 € à régler pour le maquillage du président de la république suscitent quelques commentaires. C'est à la fois légitime et anormal.
Certes, le chiffre peut paraître exorbitant, mais à moins que le résultat des élections ait été faussé, ce qui me paraîtrait plus rassurant que de penser que 66,6% des Français ont mis un bulletin de vote Macron dans l'urne, la plupart des râleurs ont choisi cet acteur-président pour occuper la scène de l'Elysée, c'est à dire pour remplacer la politique française par une sorte de télé-réalité où beaucoup de citoyens sont engagés malgré eux.

Emmanuel Macron a été choisi par Jacques Attali comme figurant principal et il en a sans doute d'autres dans sa poche vu qu'il a clairement dit qu'il connaissait déjà le nom du... pardon, de la gagnante des élections présidentielles 2022.  Autrement dit, peu importe ce que les Français veulent, peu importe celui qu'il choisissent vraiment, le président est imposé. En "novlangue" ils appellent ça  "démocratie", un homonyme a ne pas confondre avec le mot français démocratie qui est l'exercice du pouvoir par le peuple, pourtant de plus en plus employé par la presse dans un sens dévoyé. On sait ce que vaut la presse, qui n'a plus aucune liberté d'expression.

Cette mascarade présidentielle a sans doute pour but de préparer les Français à l'anéantissement de la France, sa fonte dans le magma informe et sans personnalité d'une Union Européenne dont la veulerie n'est plus à démontrer. Macron rime avec pion et je vous propose de réentendre avec une autre oreille cette révélation inattendue de sa part : "Une gare, c'est un lieu où on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien...". Emmanuel Macron n'est certes pas un imbécile et il sait bien quel rôle on lui fait jouer. Un rôle pour lequel il a été sélectionné comme le meilleur. Un casting comme on dit dans le jargon du cinéma. Malheureusement pour lui, ceux qui réussissent sont vrais. Ils ont leurs propres croyances, leurs propres façons, ils existent par eux-même et personne ne les rappelle à l'ordre. Lui, Emmanuel Macron, n'est rien en comparaison de ces personnes. Il a vendu sa vie pour  une apparence. Plus qu'à Jupiter, il me fait penser à Icare. Un Icare à qui les ailes ont été taillées sur mesure mais qui ne sont toujours collées qu'à la cire.

Depuis le début du 20ème siècle (et peut-être même avant) nous vivons une ère de mensonge où rien n'est vrai, ni les crises économiques, ni les motifs des massacres qu'on nomme ordinairement guerres, ceci incluant les boucheries de 1914-1918 et 1939-1945. Tout est faux et manipulé, même le climat. Tout est apparence, tromperie, cinéma, théâtre, alors le maquillage du président de la république, c'est vraiment un détail.



jeudi 24 août 2017

Retour difficile

Comme vous l'avez certainement remarqué, j'ai été très peu présente depuis le début de l'été, mon fournisseur d'accès ayant eu la mauvaise idée de me déconnecter, pour des vérifications de ligne, dit-il, dans les derniers jours du printemps.
Quelques miracles se sont néanmoins produits qui m'ont permis des accès parcimonieux, mais rien de suivi, si bien que je me suis trouvée en vacance forcée, n'ayant chez moi ni poste de télévision ni radio et n'ayant vraiment pas envie de rejoindre la cohorte des utilisateurs de smartphones.
Il se trouve que j'en vois évoluer un certain nombre autour de moi comme des zombies sourds et aveugles auxquels il faut prendre garde car si par hasard on en effleure un alors qu'il fonce sur votre calandre, le regard rivé à son écran et les oreillettes clouées dans les conduits auditifs, la maréchaussée estimera que vous êtes pleinement responsable.

Depuis quelques jours, la liaison semble rétablie. J'utilise le verbe sembler et non le verbe être car les fournisseurs d'accès ne vous tiennent jamais informé ni de la date prévue pour d'éventuels travaux, ni de leur avancée, ni de ce qui a été fait et c'est fortuitement que vous vous apercevez un matin de l'absence de connexion ou de son rétablissement. En général, le fournisseur d'accès n'est pas lui même au courant et c'est vous qui devez l'informer de la situation. Je suis donc connectée, mais j'ignore encore si c'est parce que les fameux travaux sont achevés ou si c'est provisoire.

J'ai ainsi eu l'occasion d'avoir affaire à plusieurs personnes qui m'ont affirmé tout et son contraire à propos de cette panne, qu'ils appellent pudiquement "ticket d'incident". Je n'ai pas perdu patience, les standardistes ne sont là que pour faire tampon, les vrais responsables sont intouchables, comme en politique. Beaucoup de personnes m'ont dit de changer de fournisseur d'accès, ce que je n'ai pas fait. Lorsque ça fonctionne, ça fonctionne plutôt bien et j'ai une meilleure connexion que tous mes voisins ( j'appelle voisins les maisons situées à moins de cinquante mètres de chez moi, c'est à dire trois, ça s'appelle la campagne). Il arrive également à ces voisins de ne pas avoir de connexion, avec d'autres opérateurs, et je leur donne mon mot de passe le temps que ce soit rétabli, car mon signal semble plus fort que le leur, que je ne perçois pas.

J'ai un gros travail de mise à jour à faire au niveau des infos mais ça me permet d'aller à l'essentiel en triant à priori ce qui peut attendre. Il y a eu quelques attentats mais on peut désormais qualifier ça de routine et même de faits divers et, dans la même optique, on nous renvoie une vieille histoire non résolue, l'assassinat du petit Grégory Villemin, un garçonnet de quatre ans, retrouvé sans vie dans la Vologne, une rivière des Vosges. Cette affaire remonte à trente-trois ans et je ne vais pas m'étendre ici sur ce que j'en pense, ce sera l'occasion d'un autre billet, par contre, il serait plus intéressant de savoir pourquoi c'est maintenant qu'elle refait les unes. On n'était plus habitué, on avait fini par croire que n'avaient plus le droit de publier que ceux qui affichaient la tête déjà trop vue de notre président de la république ou les membres décharnés de son épouse qu'il aurait aimé, à l'imitation de nos voisins d'outre Atlantique, affubler du sobriquet de "première dame" oubliant sans doute que président est une fonction et non un état.

A demain, pour un autre billet... si ça marche.

mardi 15 août 2017

Photo du mois d'août 2017

Effet gyroscopique.
Sans commentaire.

Je suis de façon récurrente privée de connexion internet depuis le 17 juin dernier. Des voisins m'avaient permis de me connecter avec leur mot de passe pendant quelques jours, mais ils l'ont changé un peu trop tôt, si bien que même ayant la photo, je ne pouvais mettre mon article en ligne.
Le voici, avec retard, puisqu'il est 14h45. Le 15 août est férié et j'habite un trou paumé.
Désolée pour ceux qui seraient passés  plus tôt.

Voici ma photo :


Le pavé :

Akaieric, Alban, Alexinparis, Amartia, Aude, BiGBuGS, Blogoth67, Brindille, Cara, Chiffons and Co, Christophe, Cricriyom from Paris, CécileP, Céline in Paris, Danièle.B, DelphineF, El Padawan, Escribouillages, François le Niçois, Frédéric, Gilsoub, Gine, Giselle 43, J'habite à Waterford, Josiane, Kellya, Krn, La Fille de l'Air, La Tribu de Chacha, Lau* des montagnes, Laurent Nicolas, Lavandine, Lavandine83, Lilousoleil, Lyonelk, magda627, Magouille, Mamysoren, Mirovinben, Morgane Byloos Photography, Nicky, Pat, Philae, Philisine Cave, Pilisi, Renepaulhenry, Shandara, Sous mon arbre, Tambour Major, Xoliv', écri'turbulente.

jeudi 3 août 2017

L'état est coupable de viol et d'empoisonnement

C'est explicite. la recherche a prouvé que l'aluminium était source de cancer et les laboratoires pharmaceutiques en ajoutent dans tous les vaccins destinés aux nourrissons.

Et ils n'ajoutent pas que ça. Non contents de mettre des souches actives de très nombreuses bactéries, ils y ajoutent des produits réputés pour engendrer de terribles maladies.

 Face au danger, l'état ne protège pas nos enfants, il protège les intérêts financiers des laboratoires. En rendant ces vaccins obligatoires, il est complice du crime.