samedi 15 septembre 2018

Ajours, la photo du mois de septembre 2018

Ajour, au singulier ou au pluriel, c'est le thème choisi par Gine et puisque septembre est le mois de la chasse, je propose une vue du portail dit "aux chiens" du château de Diane de Poitiers à Anet.
Je n'ai pas eu de chance, il pleuvait et j'ai du attendre une accalmie pour faire ma photo.
 


Ce qui a retenu mon attention la première fois que je suis passée devant ce château, c'est évidemment ce cerf majestueux.  Ensuite, ce sont ses balustrades ajourées. Toutes les balustrades sont ajourées, que ce soit celles des terrasses ou celles qui bordent le domaine. On y retrouve des lettres, le D de Diane, le L de Louis, son défunt mari, mais aussi le H de Henri, son royal amant. On y reconnait ça et là des palmes et des croissants, des étoiles... Tout ne tenait pas dans une seule photo, il a fallu choisir.

Ce portail est une partie de ce qui reste du magnifique ensemble renaissance construit par l'architecte Philibert de l'Orme. Le reste a été impitoyablement dévasté à la révolution, comme beaucoup du patrimoine français. L'aile droite du château a complètement disparu, détruite à l'explosif, déjà, et le parc vandalisé. La sépulture de Diane a été profanée, ses restes sortis de son cercueil et enterrés derrière l'église de la ville. Ce n'est qu'en 2010 qu'ils retrouveront leur place dans leur sarcophage de marbre noir récupéré dans une ferme où il servait d'auge à cochons.
Admirons donc ces balustrades avant qu'une autre révolution arrive.

D"autres ajours :

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mardi 11 septembre 2018

11 septembre 2001, dix-septième.

Qui écoute encore les discours biaisés des media subventionnés ?
Tout tient dans cet adjectif. Percevoir de l'argent pour diffuser une propagande mensongère, tout comme ils perçoivent de l'argent pour de la publicité. Le procédé est le même, acheter pour mentir.
Personne dans les rédactions n'a jamais testé les produits de la publicité qu'ils diffusent et pourtant, on peut en lire les mérites sur leurs pages. C.Q.F.D.

Dans cette vidéo, une analyse de l'émission  "l'Objet du Scandale". Contrairement à ce qu'affirment une poignée de personnes rémunérées pour maintenir la version officielle, il y a beaucoup de questions sans réponses.


Retour sur le début de l'affaire dite Nordahl Lelandais - épisode 2

Cet article fait suite à celui-ci. allez le lire si ce n'est pas déjà fait.

Nous sommes donc en septembre 2017 et Nordahl Lelandais vient d'être mis en examen pour enlèvement et séquestration d'un mineur de 15 ans. Maëlys avait presque 9 ans, mais on entend par mineur de 15 ans un enfant n'ayant pas atteint sa quinzième année.

Interrogé à plusieurs reprise dans le but de retrouver la fillette, il multiplie les incohérences dans ses explications qui varient à chaque révélation des enquêteurs. Les parents de la petite fille le pressent de parler, sans résultat, tandis que les opérations de recherche dans les plans et les cours d'eau se poursuivent.

Cette affaire est du pain béni pour la presse, car, comme lors de l'affaire du petit Gregory Villemin, les journalistes ont chaque jour de nouvelles infos pour tenir le public en haleine. Ils rapportent des sources "proches de l'enquête" ce qui est vague mais laisse planer un semblant de crédibilité.

Le 21 septembre, les locaux techniques de la caserne de gendarmerie de Grenoble sont la proie d'un incendie criminel détruisant plusieurs dizaines de véhicules. La cellule d’investigation criminelle est complètement détruite avec tous les scellés en cours de traitement.

Le 22 septembre 2017. l'enquête qui suivait son cours est bouleversée par le changement d'avocat du suspect. Alors que jusqu'à présent, il était défendu par Me Méraud, ce dernier nous apprend qu'il a été contacté par Me Jakubowicz, avocat très médiatique qu'on ne présente plus, car "on" lui aurait demandé de reprendre le dossier. Ce "on" est toujours inconnu du public, personne n'en parle.

Arrivé dans le dossier, il musèle la gendarmerie en les accusant de diffuser des informations à la presse et demande qu'elle soit dessaisie au profit de la police. Encore un point de rapprochement avec l'affaire Grégory.

Le 25 est démentie l'info circulant dans la presse disant que le suspect aurait été flashé par un radar à la sortie du Pont-de-Beauvoisin.

On apprend également que la première garde à vue n'aurait pas été filmée, contrairement à ce que prévoit la loi. Me Jakubowicz en demande l'annulation, qu'il obtiendra. Lors de cette garde à vue, Nordahl Lelandais avait dû préciser son emploi du temps et justifier ses déplacements pendant la soirée à l'aide des relevés de téléphonie mobile.

A partir du moment où Me Jakubowicz devient son conseil, Nordahl Lelandais se mure dans le silence jusqu'à la révélation par les enquêteurs de la trace de Maëlys qui l'oblige à reconnaître l'enlèvement. Il révèle alors l'emplacement du corps de la petite fille, précisant que c'est involontairement qu'il l'a tuée. On n'en saura pas plus, la conférence de presse du parquet qui devait suivre ayant été annulée et rien ne filtrant plus.

Mon avis sur la question ? Mais il n'a pas changé depuis mon premier article. Il est évident que Nordahl n'est qu'un rabatteur et que les vrais coupables sont à l'abri.

Toutes les affaires dans lesquelles les enquêteurs vérifient sa possible implication le démontrent. Il n'y a pas qu'un seul genre de victimes, des hommes, jeunes ou moins jeunes, mais aussi des femmes et une petite fille. Je souhaite vraiment que malgré les obstacles, les enquêteurs poursuivent leur enquête et finissent par identifier les donneurs d'ordres car Nordahl n'est pas irremplaçable.

Je ne peux m'empêcher de penser à Marc Dutroux, Pierre Chanal, Emile Louis et sans doute d'autres.

lundi 3 septembre 2018

Retour sur le début de l'affaire dite de Nordahl Lelandais - épisode 1

En mars de cette année, j'avais écrit cet article. Je n'avais pas exposé en détail ce qui s'était produit, persuadée que chacun pouvait se documenter. La suite des évènements m'a montré que j'avais eu tort. Je vais donc reprendre au départ, cette affaire étant plus compliquée qu'elle n'y parait. Il y aura plusieurs épisodes. Voici le premier.



Le 27 août 2017, une belle petite fille brune disparait lors de la fête organisée à l'occasion d'un mariage. Il est 2h45 du matin, il fait nuit.

Le 31 août, un homme de 34 ans, soupçonné de l'avoir enlevée est placé en garde à vue. Lors de cette garde à vue, il répondra à quelques questions et son avocat dit de lui qu'il coopère. A la bonne heure.
Ce qu'on retient de cette garde à vue, c'est qu'il est lucide, intelligent et a réponse à tout. Ces caractéristiques lui vaudront le qualificatif de menteur. Ce n'est pas un délit, le mensonge est permis en droit français. A la sortie de sa garde à vue, il se rend dans une station de lavage et passe plus de deux heures à nettoyer sa voiture en insistant sur le côté passager, intérieur et extérieur. Il nettoie également le coffre avec des produits dont l'odeur a incommodé les chiens de la gendarmerie.

Sans grande surprise, il est mis en examen après la découverte d'une trace ADN de la petite fille sur le commutateur de commande des feux situé en bas à gauche, en retrait du volant, à la hauteur des genoux du conducteur. C'est une trace directe, mélangée à celle du suspect. C'est à dire qu'une partie de la fillette à touché ce commutateur.

Il nie être pour quelque chose dans sa disparition et explique cette trace par le fait que la fillette est venue dans la voiture pour vérifier si les chiens qu'il lui avait montrés sur son téléphone portable ne s'y trouvaient pas. Il nie mais il parle.

Le suspect a la réputation d'être un dealer-consommateur de cocaïne. Il explique d'ailleurs son absence de la salle des fêtes au moment de la disparition de la petite fille par un aller retour jusque dans la commune voisine de Saint-Albin-de-Vaulserre pour se fournir en drogue demandée par des convives de la fête de mariage auprès d'un fournisseur dont il n'aurait pas révélé le nom.
Selon la presse, il s'était fait inviter à la dernière minute avec cette perspective.

Attendez là... Je rembobine.
Il s'était fait inviter à la dernière minute avec cette perspective et il n'avait pas sa marchandise avec lui ?
Je n'ai aucune idée de la quantité nécessaire pour obtenir un effet avec cette drogue. Je n'ai d'ailleurs l'expérience d'aucune drogue si bien que je ne peux qu'imaginer que si le prix est au gramme, c'est que c'est l'unité de base.
Même si la moitié des invités avaient l'intention d'en consommer, ça ne faisait jamais qu'une centaine de grammes, donc une quantité facilement transportable dans une Audi A3 sans avoir à faire plusieurs allers et retours.

Questions :

Pourquoi avoir nettoyé si méticuleusement le côté passager de sa voiture alors que le fait que la fillette soit montée pour trouver les chiens aurait suffit à expliquer les traces ADN ?
Ne serait-ce donc pas l'absence de traces qui auraient été suspectes ?

Que vient faire l'ADN de la petite fille complètement à gauche dans un endroit inaccessible au passager ? Si elle était montée de ce côté, Nordahl n'aurait-il pas également nettoyé ce côté de façon aussi complète que l'autre côté ?

Qu'est donc réellement allé faire Nordahl Lelandais dans le secteur de l'antenne-relais qui couvre Saint-Albin-de-Vaulserre ?

En quantité, la cocaïne, ce n'est pas lourd, mais en euros, ça commence à faire car, même de basse qualité, j'ai lu que c'est au minimum 50 € le gramme. S'il était réellement revenu avec la drogue, qu'en aurait-il fait sachant que les convives encore présents aidaient les parents dans leurs recherches et ne pensaient donc plus du tout à ça ?

Ce sont des détails, mais ces détails permettent parfois de se poser des questions utiles.
Rendez-vous au deuxième épisode.





dimanche 2 septembre 2018

La vérité sur la loi dite "Schiappa".

S'il vous plait, ne mettez pas la pagaille aux portes des écoles le jour de la rentrée.

Souvenez-vous de vos propres rentrées de septembre et demandez-vous si vous n'auriez pas pris ces manifestations comme une autre agression.

 Pour résumer, ne prenez pas vos enfants entre deux violences, celle de l'Éducation Nationale et la vôtre.

 Merci à Farida Belghoul, qui appelle au calme et dont j'avais suivi le live sur youtube. En voici la retransmission :

 

Ceci ne signifie pas qu'il faut abandonner le combat pour les enfants scolarisés en France. Il faut seulement agir autrement.