lundi 27 juin 2022

Armes de l'OTAN en Ukraine

Les armes de l'OTAN trouvées dans les positions désertées par les Ukrainiens après l'évacuation des civils utilisés comme bouclier humain. Usine Azot de Severodonetsk.


 

On ne verra évidemment pas ceci sur les chaînes d'info occidentales. Ils ont prévu en censurant RT.

dimanche 26 juin 2022

Inscrire le droit à l’avortement dans la constitution ?

Voilà ce que je vois ce matin :

"Plus de 400 avocats s'engagent pour l'IVG: Il faut constitutionnaliser le droit à l’avortement." 
L'auteur est un avocat, Patrick Klugman. 
Pour me faire une idée du personnage, je cherche qui il est et je lis ce qui suit :

"Ancien président de l’Union des Étudiants Juifs de France, Patrick Klugman est un militant antiraciste. Son engagement politique s’observe également dans sa carrière de juriste : il défend ainsi l’association SOS Racisme, les Femen ou encore Caroline Fourest. Élu au Conseil de Paris dans le groupe socialiste, il a été nommé, de 2014 à 2019, adjoint aux relations internationales et à la francophonie de la maire de Paris, Anne Hidalgo."

Ai-je besoin d'en dire plus ? 
SOS Racisme, les Femen et Caroline Fourest sont déjà de sacrées références.

Les partisans de l'avortement (je mets au masculin car il y a aussi des hommes) s'énervent inutilement car la loi en France permet de se débarrasser d'un enfant à naître jusqu'à 14 semaines de grossesse, soit 3 mois et une semaine. On parle à présent de permettre l'infanticide jusqu'à la naissance. Je reviendrai sur ce point dans un autre billet.

A l'écouter, Cet avocat dit qu'une loi n'est pas suffisante car le droit peut être remis en cause partout. Il peut aussi être transgressé au niveau de l'exécutif. On en a un triste exemple avec la suspension des soignants et la destruction organisée des services de santé. Je suis étonnée, après les deux années que nous venons de vivre en France, qu'on ose encore parler de droit. 

Ces deux années ont plutôt été, pour beaucoup d'entre nous, l'occasion de voir que le ministre de la Santé était surtout le ministre de la Maladie et de la Mort et qu'il y avait au plus haut de l'État, pour protéger la constitution, un conseil qui n'avait de constitutionnel que le nom. 

Je cite Patrick Glukman: 
"...puisqu'on a panthéonnisé Simone Veil, quel meilleur hommage que de lui rendre et quelle autre conséquence donner à cette panthéonnisation." *

Je ne peux alors que citer Simone Veil :
"Je le dis avec toute ma conviction : l'avortement doit rester l'exception, l'ultime recours pour des situations sans issue."  
La loi Veil était une dépénalisation de l'IVG, non un droit à l'avortement. Avant cette loi, il était interdit de porter atteinte à la vie d'un fœtus. Les femmes qui passaient outre étaient poursuivies après avoir risqué leur vie. En ce sens, la possibilité de recourir à ce moyen lorsque la femme était réellement en détresse était un progrès social. 

Patrick Glukman aurait mieux fait d'évoquer les ministres (socialistes) qui se sont chargés ultérieurement de dégrader l'esprit de la loi voulue par Simone Veil. Je ne cite pas de nom mais on peut les retrouver facilement. En étendant le délai légal de 10 à 12 puis 14 semaines de grossesse et en remboursant à 100% l'avortement, ils en ont fait un moyen de contraception ordinaire et non une exception.

Patrick Glukman poursuit : "Savoir que les femmes, dans notre pays, ont le droit de disposer de leur corps comme elles l'entendent et que ce droit est constitutionnellement protégé classerait la France, pays des droits de l'homme, à une place tout à fait particulière." 

La France, pays des droits de l'homme ? Je rectifie, pays où la déclaration des droits de l'homme a été rédigée, sans plus. Les Français n'ont pas plus de droits que les autres. Ils n'ont, entre autres, plus le droit de manifester leur désaccord avec la politique de l'exécutif sans encourir le risque de blessures graves, d'infirmité, d'empoisonnement et même de mourir. 

Plutôt que de faire de belles phrases qui font bien sur un media (BFM) plus que controversé, Patrick Glukman, qui n'aura jamais à subir un avortement, ferait mieux de réfléchir à quelques questions comme celle-ci :
Si on considère que la vie se termine lorsque le cœur cesse de battre, on peut raisonnablement penser qu'elle commence lorsque le cœur commence à battre. On considère que c'est entre la sixième et la septième semaine de grossesse. 
Mais c'est peut-être trop lui demander. Sa condition d'homme ne lui permet peut-être pas de comprendre qu'un enfant existe avant d'être visible et d'avoir un état civil. C'est la seule excuse valable que je peux lui trouver. 

Je propose à ce collectif d'avocat de réfléchir aux violences faites aux Français lors de ce qu'on peut appeler "la crise du COVID". Aux droits de ceux qui ont perdu leurs moyens d'existence sans qu'une loi n'intervienne pour donner raison à leur employeur mais seulement grâce au chantage, à ceux qui ont été contraints de subir, sans consentement, des intrusions de produits dangereux pour leur santé, par les déclarations dictatoriales de celui qui a pris la place de chef de l'État. C'est évidemment plus périlleux. Dans une chasse à courre, il vaut mieux faire partie de la meute que de se trouver à la place du cerf.

* Je ne discute que sur le fond des déclarations, pas sur la forme. 


mardi 7 juin 2022

Le culte des médecines - 3

Voir le chapitre 1 : https://krn-defouloir.blogspot.com/2022/06/le-culte-des-medecines-1.html

 

Franjo - J'ai voté Marine

Je rapporte une info donnée par une tierce personne car ceux qui me suivent le savent, je n'ai pas de compte Facebook et je ne compte pas en avoir un jour. L'info est passée sur le compte Facebook de Franjo. Ce sketch a causé la fermeture de son compte Twitter. J'ignorais que les deux réseaux étaient liés. Malgré tout, en soutien, ci-dessous voici le sketch controversé. Entre nous, je ne vois pas le problème, mais les milliardaires sont si susceptibles...

lundi 6 juin 2022

Laboratoires biologiques financés par les États-Unis en Ukraine.

Alors que les Démocrates et les Républicains font pression pour une guerre contre la Russie, des questions sont soulevées sur le véritable objectif du conflit en Ukraine. Pearson Sharp, pour One America nous en dit plus..

"Un autre jour en Amérique et une autre guerre. Il n'y a pas de nourriture sur les étalages, pas d'essence dans les stations, rien que vous puissiez vous permettre en tous cas. Nos bébés sont affamés mais, encore une fois, c'est très bien, ça évite aux Démocrates d'avoir à les tuer. Les frontières sont grandes ouvertes, les criminels et les gangs errent dans les rues, les terroristes nationaux de Black Lives Matter mettent le feu à nos quartiers, des fous racistes de la gauche radicale tirent sur nos écoles, notre argent ne vaut plus rien et les injections expérimentales qu'on nous a promises pour gu. érir du virus chinois ne fonctionnent pas et nous empoisonnent depuis tout ce temps. On dirait que c'est le bon moment pour nos politiciens sanguinaires pour commencer une autre guerre. 

Alors, bien sûr, maintenant, les Républicains et les Démocrates qui ne sont jamais d'accord sur rien semble tous les deux penser que nous devons combattre la Russie. Nous ne pouvons pas sécuriser nos propres frontières mais mentionnez la Russie et soudain Nancy Pelosi fait passer en un jour un projet de dépenses massives avec 368 voix contre 57 seulement en faveur de l'injection de 40 milliards de dollars de notre argent dans la machine de blanchiment d'argent en Ukraine. Chaque fois que les Démocrates et les Républicains sont d'accord sur quelque chose, vous pouvez être sûr que le peuple américain se fait avoir. Il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'argent sale et qu'il va disparaître dans les poches des politiciens ukrainiens corrompus qui cachent tous les sales petits secrets de la famille criminelle Biden, comme les laboratoires biologiques qui n'existent pas et que l'entreprise de Hunter Biden a aidé à financer. C'est exact et dans les dizaines de milliers d'e-mails provenant de l'ordinateur portable dégoûtant de Hunter Biden, il a été confirmé par des experts indépendants en cybersécurité que le fils de Joe Biden finançait des laboratoires biologiques en Ukraine

Les autorités russes ont affirmé que ces laboratoires produisaient des armes biochimiques à la demande de la mafia Biden. Moscou a prévenu que Joe Biden devrait expliquer l'implication de son fils dans ces laboratoires. 

Maria Zakharova : "Nous pouvons confirmer que le régime de Kiev est engagé dans des programmes biologiques militaires financés par les États-Unis. Il est impossible que ces programmes aient été utilisés au profit de la science et de la paix car ils ont été financés par le Ministère Américain de la Défense. Le Pentagone et Joe Biden doivent officiellement expliquer à la communauté mondiale les programmes menés en Ukraine. "

Il s'avère que les Russes avaient raison. La société de Hunter Biden, Rosemont Seneca, a effectivement investi un demi million de dollars dans la société de recherche sur les pathogènes à San Francisco, Metabiota, qui travaille en Ukraine en plus des millions de dollars de financement supplémentaire que Hunter a obtenu par le biais d'autres société comme Goldman Sachs. Metabiota est un sous-traitant de la société d'ingénierie du département de la Défense Black & Veatch. Souvenez-vous de ce nom. 

C'est là que ça devient vraiment intéressant car selon les documents officiels découverts par les enquêteurs du journal The Exposé, les dossiers de financement du gouvernement montrent que le ministère de la Défense à accordé 370.000 dollars à des biolabs en Ukraine pour la recherche sur le COVID19 en novembre 2019. Pour tous ceux qui suivent, c'est 3 mois avant que l'OMS n'ait même officiellement nommé le virus chinois COVID19. Vous pouvez le voir par vous-même, c'est mis en évidence : 12 novembre 2019, rédaction de manuscrit scientifique et recherche sur le COVID19. 


Les États-Unis et Hunter Biden en particulier, aidaient apparemment à financer la recherche sur le coronavirus avant qu'il n'existe officiellement dans ces mêmes laboratoires que le département d'État a également insisté ne pas exister. Et quel biolab a reçu cette généreuse donation pour mener des recherches sur le virus chinois ? Il s'agit bien-sûr de Black & Veatch, le même laboratoire que Hunter Biden aidait à financer. Soulignons que lorsque Hunter Biden siégeait au conseil d'administration de la très suspecte compagnie gazière ukrainienne Burisma, il a aidé à mettre en place des introductions auprès des responsables des biolabs dirigés par Metabiota. 

Pour résumer, vous avez donc le fils déshonoré du vice-président des États-Unis, engagé pour faire des faveurs à une compagnie de gaz ukrainienne corrompue et qui fait le lien également entre cette compagnie et une société de recherche sur les armes biologiques effectuant des recherches sur le coronavirus avant même sa diffusion. 

Tout cela nous amène à poser la question, qui peut sembler incroyable mais nous sommes sérieux : 

Joe Biden est-il personnellement responsable d'avoir contribué à la création du COVID19 ?

Peut-être que ce n'est pas le virus de la Chine, après tout, mais le virus Biden. C'est une chaîne d'événements incroyable mais tous les faits sont là. Le virus qui l'a aidé à truquer les élections est maintenant le même que celui qu'il essaie de dissimuler avec une fausse guerre pour cacher les laboratoires biologiques illégaux que lui et son fils ont financés en Ukraine. Nous devons souligner que Moscou a dit cela depuis le début. Moscou a averti le monde que des laboratoires américains secrets de guerre biologique opéraient en Ukraine et développaient des armes biologiques à des fins militaires. On a dit que c'était de la propagande russe, mais les faits commencent à s'accumuler. Si tout cela est vrai, il semble que l'invasion de l'Ukraine soit tout à fait justifiée pour empêcher l'utilisation de ces armes contre la Russie et le reste du monde. Il se peut même que le Russie ait eu l'obligation morale de riposter au bioterrorisme que les États-Unis mènent apparemment en Ukraine. 

Est-ce une coïncidence si l'un des plus grands laboratoires d'armes biologiques du monde est situé à Marioupol que la Russie vient de libérer des nazis ukrainiens financés et entraînés par les États-Unis ? 

La Russie n'est pas l'agresseur ici. En réalité, ce sont les États-Unis et le Pentagone, avec leurs alliés de l'U.E. et de l'OTAN, qui sont responsables du déclenchement et de l'instigation de ce conflit. Les critiques et les marchands de guerre appelleront ça de la propagande russe mais si vous avez compris un seul mot de ce rapport, vous savez que ce n'est pas vrai. C'est peut-être impopulaire mais nous n'avons présenté que des faits et des preuves. Maintenant, vous pouvez tirer vos propres conclusions. 

Pearson Sharp, pour One America News.