Le 11 septembre 2001, le monde entier assistait à l'effondrement de trois immeubles de grande
hauteur à structure d'acier au cœur de New-York.
Depuis ce jour, de nombreux scientifiques travaillent à la compréhension de ce phénomène qui ne s'était jamais produit auparavant et est arrivé trois fois dans la même journée et au même endroit.
Onze mois après, le National Institute of Standards
and Technology (NIST) commençait une enquête qui n'a fourni aucune explication pour la pulvérisation de la majeure partie du béton des tours, le démembrement des structures en acier, ou l'éjection de morceaux de ces structures jusqu'à 150 mètres dans toutes les directions.
Le NIST évite également de commenter la présence bien documentée de métal fondu dans les débris et n'importe qui ayant une petite connaissance des métaux sait que l'aluminium en fusion reste gris et non de la belle couleur orangée qu'on a vu couler sur les façades des tours dont le NIST a affirmé qu'il s'agissait des avions qui fondaient. Des comiques qui s'ignorent...
Le rapport du NIST véhicule de nombreuses invraisemblances et malgré six années d'enquête, ses conclusions, qui laissent de vastes zones d'ombre, n'ont convaincu que des profanes. De nombreux architectes, ingénieurs et physiciens n'y croient pas. Ils constatent une majorité de preuves qui ne peuvent conduire qu'à la conclusion que les trois bâtiments ont été détruits par démolition contrôlée.
Les autorités se moquent tellement des citoyens des États-Unis qu'ils ont même eu l'outrecuidance d'exposer
certaines de ces preuves dans un musée consacré au 11 septembre.
Un nouveau rapport, paru sur le site d’
Europhysics News expose les raisons pour lesquelles un incendie ne peut causer l'effondrement d'un bâtiment en acier. Compte tenu de ce que cela implique, les physiciens qui ont mené cette étude concluent qu'il est moralement impératif que cet évènement soit l'objet d'une enquête véritablement scientifique et impartiale par les autorités responsables. Ces physiciens sont :
- Steven Jones, ancien professeur de physique au Brigham Young University,
- Robert Korol, professeur émérite de génie civil à l’Université McMaster en Ontario et diplômé de la Société Canadienne de Génie Civil et de l’Institut Canadien des Ingénieurs, dont les recherches ont surtout porté sur la mécanique des structures en acier.
- Anthony Szamboti, ingénieur en conception mécanique avec plus de 25 ans d’expérience dans le domaine du design structurel de conception dans l’aérospatiale et l’industrie des communications.
- Ted Walter, directeur de la stratégie et du développement pour Architects & Engineers for 9/11 Truth, AE911Truth, organisation qui représente plus de 2500 architectes et ingénieurs.
Sur ce sujet, je me suis attirée les foudres de certains américanolâtres parfois perturbés par une islamophobie tenace, qui ont obstinément refusé de considérer l'évidence physique de la démolition contrôlée. Il faudra bien un jour que ces personnes, qui n'ont pas hésité à calomnier grossièrement les scientifiques qui soulevaient les invraisemblances de la version officielle, se rendent à l'évidence.
D'une façon attendue qui ne plaide pas pour son impartialité, la presse française reste muette sur le sujet.