mardi 3 novembre 2009
Qu'est ce que ce rond blanc sur cette photo ?
Cette photo a été prise de jour, sans flash, en milieu maritime, par temps sec avec vent fort.
Elle fait partie d'une série prises le même jour, juste avant la tombée de la nuit. Ci-après, une série de trois photos.
Le détail ci dessus est extrait de la photo du milieu.
Cette anomalie n'a été constatée que sur une seule des vingt-huit photos prises ce jour là.
Je suis la seule utilisatrice de cet appareil photo numérique, qui n'est ni vieux, ni bas de gamme, et si quoi que ce soit avait été visible avant que j'appuie sur le déclencheur, je n'aurais pas pris la photo, vu qu'elle devait servir à de la publicité.
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C'est une photo loupée . sur un ferry
RépondreSupprimerpourri avec un rond blanc méme pas net en premier plan . t'as pas honte!
1: si c'est une photo argentique scannée , c'est une tache de gloubi-boulga .
RépondreSupprimer2: si c'est numérique , une gougnafiére a mis un doigt farineux
sur son objectif .
Loupée, pourri, honte ?
RépondreSupprimerTu dois fréquenter un drôle de milieu pour en être réduit à ces extrémités.
Enfin, je te pardonne le doigt farineux. Vu qu'on ne se connait pas, tu ne peux pas savoir que je suis allergique au blé. Quant aux empreintes digitales qui pourraient être celles de l'intrus, elles seraient, ma foi, fort curieuses.
Les premières stupidités d'usage ayant été dites, j'aimerais vraiment savoir ce que c'est, d'autant que ce n'est pas la seule trace de ce genre que j'ai capturée. C'est cependant à la fois la première et la plus flagrante.
Ah, j'oubliais, le phénomène s'est aussi produit avec un autre appareil numérique, emprunté, pas seulement avec le mien.
RépondreSupprimerUn oeuf de Butor pondu depuis le pont
RépondreSupprimersupérieur ?
Moi je suis pas allergique au blé .
RépondreSupprimerJ'm' en suis fait toute ma vie à la sueur du front ....des autres . Niac
niac , jouass , jouass .
Poste l'autre photo .Krn .
RépondreSupprimerL'autre ? laquelle autre ?
RépondreSupprimerCelle prise avec un autre appareil .
RépondreSupprimerJ'en ai plusieurs. Le problème est que je ne classe par sujet que celles qui me servent, les autres restent telles qu'elles ont été transférées de l'appareil, par ordre chronologique.
RépondreSupprimerJe mets les deux que j'ai trouvées dans un nouvel article.
Moi -sur mes photos - apparaissent
RépondreSupprimerconstamment des seins et des fesses.
Je n'y comprend rien non plus .
Ce n'est pas sans quelques prudence que j'aborde le sujet, krn (je connais ton goût pour ce genre de choses), mais connais-tu la photos spirite ?
RépondreSupprimerC'est une mode qui a fait fureur dans le domaine de la photographie vers, si j'en crois ma mémoire, la première moitié du 20ème siècle.
Voici un blog que j'ai trouvé par hasard consacré au phénomène.
http://lesphotosspiritesdecoco.blogspot.com/
Whouahahahahaq, Patton, là tu m'as fait rire.
RépondreSupprimerMais des fesses et des seins c'est quelque chose que l'on connait !
RépondreSupprimerJe m'inquiéterais moins si je voyais ces taches à l'oeil nu
En ce moment, je fais des essais, on verra bien.
Merci pour le lien, Momo, je suis allée voir. En fait ce ne sont pas de vraies photos, ce sont des oeuvres d'art. Je reste très prudente avec les photos qui sont censées représenter des "revenants". Je ne suis pas experte en photographie, donc pour repérer les éventuelles tricheries, je ne crois pas que je serais vraiment compétente.
Que l'on connaît ?Aujourd'hui, en occident, nous sommes inondés de ces images (jusqu'à l'écoeurement), mais il fût un temps ou leur accès était réservé à une élite, le plus souvent libertine. Je serais tenté de dire qu'il y va de la pornographie comme de l'astronomie, dans les deux cas ce sont des images qui, bien que devenues banales, n'en conservent pas moins un pouvoir de fascination (d'où les profits faramineux de l'industrie du X, notamment, qui dépasse celui du cinéma industriel traditionnel).
RépondreSupprimerEn ceci, je partage l'avis de Patton, des fesses et des seins ce n'est jamais pareil, d'où l'inépuisabilité, et donc la blogabilité, du sujet.
Les images qui montrent ce que la décence devrait dissimuler ne sont pas banales.
RépondreSupprimerElles ont été banalisées en instituant une fausse norme qui est celle de l'etrême jeunesse.
Mis à part cette mode des seins pathologiquement disproportionnés, que je n'explique que par la carence affective générée par l'abandon de l'allaitement maternel au profit de la tétine en caoutchouc, ce que les hommes valorisent maintenant sont des caractéristiques de petites filles et l'industrie pornographique, la mode et la publicité ont une grosse part de responsabilité dans ce désastre.
Il y a un siècle, les femmes étaient saines et solides. Maintenant, passé quarante ans (et même parfois bien avant), elles commencent à se priver et à user d'artifices, pas seulement pour séduire, mais simplement parfois pour garder leur compagnon, tenté par ces images diffusées comme tu le dis jusqu'à l'écoeurement.
Et peu sont celles qui gagnent le combat car leur adversaire est multiple et toujours renouvelé.
Le second effet est la transgression des tabous liés à l'enfance par ceux qui veulent plus que les images et n'ont pas la force morale de s'en abstenir.
Oui, krn, nous sommes, en effet, l'objet d'une manipulation libidinale pulsionnelle capitaliste, et ceci a commencé, peu ou prou, avec la pin-up en tant qu'objet libidineux formaté , et qui joue, sur le plan historique, d'une appétance pulsionnelle à un niveau jamais atteint.
RépondreSupprimerje suis absolument d'accord avec toi sur le rôle de la pin-up.
RépondreSupprimerla conséquence principale de cet affichage est le non-respect de la femme occidentale (y compris par elle-même) et les excès (le voile par exemple) de ceux qui ne veulent pas voir leurs filles traitées comme des objets de consommation.
En Islam la vision est le sens le plus sacralisé, dans le voile il s'agit principalement pour l'homme de ne pas se laisser séduire par le féminin.
RépondreSupprimerRaison pour laquelle, sachant que l'Egypte détient la première industrie cinématographique du monde arabe, je m'interroge sur la manière dont s'articule l'hyper visualité du cinéma avec une culture qui entretien un rapport si complexe avec la pulsion de voir.
Je pense que tu as bien mieux étudié ce sujet que moi en ce qui concerne ce problème de désir et de sédution.
RépondreSupprimerJe ne me positionnais que par rapport à la recrudescence de cette pratique dans les pays dits occidentaux.
Au cours d'un procès où les prévenus étaient accusés de viol en réunion, ce qu'on appelle familièrement "une tournante". l'argument de la défense a été que ces jeunes considèrent les filles françaises comme "disponibles" puisqu'elles affichent ouvertement leur corps.
La phrase qui m'a marquée est celle-ci : "nos soeurs ne seront violées par personne, ce sont des filles bien et personne ne les regarde."
C'est un argument diablement logique.
RépondreSupprimerC'est une question complexe, sauf erreur de ma part l'un des premiers à s'être intéressé à la question de la satisfaction des pulsions sexuelles sur un plan politique, culturel et civilisationnel, est Wilhem Reich.
RépondreSupprimerMais, le fait est que le capitalisme, et plus encore le néo-libéralisme, fonctionnent justement sur le principe d'une exacerbation des désirs pulsionnels permanente.
Lorsque j'étais petite, pour avoir un yaourt, il fallait aller chez un cremier avec ses petits pots consignés propres et demander.
RépondreSupprimerLe crémier allait dans sa réserve chercher les petits pots de verre qu'il plaçait dans le porte-yaourts et nous les rapportions chez nous comme des denrées précieuses.
Aujourd'hui, on a le vertige devant les centaines de produits différents baptisés yaourts et on les mange n'importe quand.
Et bien c'est la même chose avec les femmes.
Les femmes sont les yaourts des temps modernes.
Quid des danses de séduction des femmes dans les sociétés ni capitalistes , ni musulmanes ?
RépondreSupprimerAfrique Noire , Asie , Amérique du Sud ? et méme de celles du Moyen Orient ( dites du Ventre ) qui sont plus que suggestives ?
Je crois plutôt qu'il faut rattacher cela non à un systéme politique , mais à la nature de l'attraction des sexes .
Méme chose dans le régne animal , quoique inversé , puisque c'est généralement le mâle qui parade .
En ce sens , je suis un animal ...
RépondreSupprimerAlors je récapitule, on a ici
RépondreSupprimerun philosophe, une bète et une nenette qui nous fait un article sur le yaourt, c'est ça?
ça valait bien le coup de mettre l'après-midi à retrouver comment entrer sur ce dépotoir, euh... défouloir!
En plus, google m'affuble d'une étiquette de lapin!!!!!
RépondreSupprimerLe mêle montre ce qu'il peut montrer.
RépondreSupprimerUn bateau de 24 m fait plus d'effet qu'une mercedes, j'en profite, hé hé hé...
Ben quoi, je vous ai fait peur?
RépondreSupprimerJ'ai une tache de yaourt sur la gueule?
Alban, c'était une discussion sérieuse.
RépondreSupprimerSouris, ma belle, la vie est trop courte pour s'emmerder.
RépondreSupprimerEt pour répondre à ta question, je ne sais pas, mais j'espère que tu ne l'as pas embarqué.
Je me trompe ou c'est Quiberon ?
C'est Quiberon, effectivement.
RépondreSupprimer"... il faut rattacher cela non à un systéme politique , mais à la nature de l'attraction des sexes".
RépondreSupprimerDifficile de dire le contraire, on ne peut faire l'économie des impératifs biologiques mais, parmi tant d'autres, il y a une différence décisive entre l'homme et la bête, c'est la conscience de la volupté en tant que finalité, à savoir : l'érotisme.
Or, l'homo économicus a instrumentalisé la pulsion libidinale à des fins de marché et de production.
Dès lors une question se pose : peut-on être un coquin naïf de nos jours ?
La sexualité est un ressort puissant de l'humanité . Un besoin sans cesse renouvellé , tout comme manger , boire et dormir . Pas étonnant donc que ça se marchandise . Les Romains avaient des courtisanes qui échangeaient leurs caresses contre rémunération . et depuis ça n'a pas cessé , en passant par les favorites des Princes qui n'étaient pas toutes amoureuses , mais intéressées .Ceci n'exclut pas l'Amour véritable et non marchand pour les couples .Quoique la Femme recherche toujours la sécurité matérielle , et se révéle plus matérialiste ( ou pragmatique ?) que l'Homme . Méme quand elles s'abandonnent , elles perdent rarement la tête . En ce sens , il y a des coquins naïfs , mais peu de coquines naïves .
RépondreSupprimerAlban is back ? !!! Welcome mon ..Lapin !
RépondreSupprimerJe crains qu'il y a du vrai dans cet argument.
RépondreSupprimerPourquoi craindre ?
RépondreSupprimerIl est logique que les femmes ne perdent pas la tête.
A l'origine, la femme est la gardienne du nid et du foyer, c'est une cueilleuse, elle est attachée au lieu.
L'homme est le chasseur, il bouge au rythme du gibier.
Il en reste quelque chose, puisque, instinctivement, les femmes aiment les maisons et les hommes les voitures.
Je déteste les voitures, krn, dois-je craindre pour ma masculinité '
RépondreSupprimerPatton, Il n'y a pas de lapin sur un bateau, ça porte malheur.
RépondreSupprimerC'est le signe chinois, certains disent chat, d'autres disent lapin.
ça concerne à peu près les années 1939, 1951, 1963, 1975, 1987 et 1999. La prochaine année du chat sera 2011.
Je suis chatte ou lapine.
Mais tu bouge beaucoup quand même, Momo, en vélo, en train, en avion.
RépondreSupprimerJ'aime conduire et je ne crains pas pour ma féminité, je sais que j'ai du l'oublier quelque part depuis déjà un petit moment.
Heureusement que tu es là, ma chatte, je ne veux pas qu'on m'appelle lapin, mais lapine, ça peut s'envisager.
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