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samedi 16 août 2025

False Flag n°1

 Faire un coup, si possible avec beaucoup de victimes visibles ou supposées, pour retourner l'opinion publique en sa faveur, c'est le but d'une opération sous faux drapeau. Si j'ai mis mon titre en anglais, c'est parce que l'opération majeure à laquelle on pense est évidemment l'attaque du 11 septembre 2001 sur les tours du Word Trade Center et le Pentagone. 

Cette attaque a choqué beaucoup de monde et le premier surpris a dû être Oussama Ben Laden lui-même, qui sortait d'un hôpital militaire américain où il avait subi une dialyse la veille, le 10 septembre et s'en retournait dans la zone désertique où il vivait tranquille depuis qu'il était retiré de la CIA. 

En dehors des invraisemblances flagrantes sur ce coup, la précipitation de la prétendue commission d'enquête dont les résultats ont été diffusés dans la presse avant qu'elle ne commence à enquêter est révélatrice et que dire de la réaction du Président Bush qui aurait vu les images du premier crash alors que personne ne les avait encore, surtout pas les chaînes de télévision ?

Oussama Ben Laden, le premier accusé dans cette histoire., a été remarquablement bavard, surtout après sa mort, intervenue au terme de la maladie invalidante dont il souffrait depuis déjà longtemps, le 13 décembre 2001, à Tora Bora. Les envoyés du gouvernement américain en Afghanistan sont arrivés trop tard pour appréhender un malade grabataire qui venait d'être inhumé dans la tradition wahhabite, une sépulture anonyme dans la terre, sans marque extérieure. 

La presse occidentale a rapporté :

"Oussama Ben Laden s'est échappé de Tora Bora, au début du mois de décembre : le général Tommy Franks, qui dirigeait les opérations depuis le commandement de Tampa, en Floride, n'y aurait vu que du feu. Selon le Washington Post, l'administration Bush estimerait avoir subi là le pire ratage de cette campagne, s'appuyant sur les analyses confidentielles des services de renseignement et de l'armée."

Les renseignements n'étaient pas mauvais mais sauf à retourner plusieurs kilomètres carrés de désert caillouteux, ils ne pouvaient pas y trouver celui qui s'était endormi paisiblement entouré des siens quelques jours plus tôt. S'ils avaient mis la main sur la dépouille, auraient-ils fait preuve d'une ignominie supplémentaire en tirant sur le cadavre pour dire qu'ils l'avaient tué dans sa fuite ? Je n'en doute pas vraiment. J'ai évidemment déjà publié sur ce sujet et aussi sur la prétendue attaque d'Abbottabad où des soldats américains auraient trouvé la mort dans l'explosion de leur hélicoptère, explosion vue par de nombreux voisins qui ont témoigné. Un sacrifice inutile pour ces soldats dont les familles n'avaient, pour se consoler de la perte de leurs enfants, que les mensonges du président Barack Obama. 

Le mystère des attentats lui-même se dissipe peu à peu à la lumière des nombreuses investigations néanmoins compliquées par le fait que les décombres ont été retirés précipitamment afin de laisser le moins de traces possibles aux enquêteurs. Il faudra sans doute longtemps avant qu'on sache le fin mot de cette histoire et ici, il faut entendre l'expression fin mot comme si on disait révélation finale.

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