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lundi 18 août 2025

La guerre sous faux drapeau en Ukraine

La rencontre entre le président des États-Unis d'Amérique, Donald Trump et celui de le Fédération de Russie, Vladimir Poutine n'a échappé à personne. Elle a été abondamment commentée par tout un chacun et tout ce que la presse compte de journalistes plus ou moins corrompus. Ce qu'il en est sorti ? Rien, du moins en apparence. 

Tout pourrait séparer ces deux hommes. Vladimir Poutine, né dans un contexte d'après guerre difficile et dans une famille modeste a du gravir un par un les échelons pour parvenir au poste qu'il occupe à présent et a  largement mérité sa popularité auprès du peuple russe, même si, comme tout dirigeant, il a des opposants. C'est grâce à une détermination sans faille qu'il a transformé ce pays ravagé par le communisme et la corruption où peu de gens mangeaient à leur faim et dans lequel les différentes familles d'un immeuble devaient se partager les équipements ménagers en la Russie d'aujourd'hui. Il peut en être fier.

Donald Trump, pour sa part, est né dans une famille aisée. Ses parents lui ont transmis une grosse fortune et il n'a jamais manqué de rien. C'est un atout dans le monde occidental. On achète sa popularité en même temps que d'énormes propriétés, de gros avions et de somptueuses limousines. L'occident est un lieu où la fortune dirige le monde. S'il avait été pauvre, personne n'aurait fait attention à lui. Il est monté en popularité comme une star du showbiz. Ça n'enlève rien à l'amour qu'il porte à son pays, qu'il travaille à débarrasser de la corruption. 

Le prétexte à la rencontre était le conflit apparent entre la Russie et l'Ukraine. En réalité, il s'agit d'une tentative de l'OTAN, organisation terroriste officielle qui prend ses moyens dans les pays qui en sont membres, pour réduire à néant l'œuvre de Poutine et renvoyer la Russie à la pauvreté afin d'en exploiter les richesses. L'Ukraine n'est que le champs de bataille. Porochenko et ensuite Zelenski ne sont que des pions. Il n'y a pas besoin d'être bien malin pour s'en apercevoir. 

Depuis 2014, le régime de Kiev, mis en place par les États-Unis sous Barack Obama avec le coup d'état de Maidan, massacre les civils de la région sud est de l'Ukraine, le Donbass en bombardant les quartiers d'habitation, mais aussi et surtout les écoles, les crèches et les transports scolaires. Les armes sont fournies par l'OTAN,  dont la France fait malheureusement partie de nouveau depuis Sarkozy. 

Tout le monde a entendu cette partie délirante du discours de Petro Porochenko. Ceux que ça ne choque pas sont bien à plaindre.
"Nous aurons du travail, eux non ! Nous aurons des retraites, eux non ! Nous aurons des avantages pour les retraités et les enfants, eux non ! Nos enfants iront à l’école et à la garderie, leurs enfants resteront dans les caves ! Parce qu’ils ne savent rien faire ! Et c’est comme ça, précisément comme ça que nous gagnerons cette guerre !" 

Ce qui est le plus difficile à entendre dans ces propos, c'est le mot "guerre". Il parle de populations ukrainiennes, de compatriotes et dans les faits, il ne donne pas l'ordre de négocier loyalement avec les insurgés qui ont refusé le vol de leur démocratie par la ruse et la corruption, il fait bombarder les civils avec des bombes à fragmentation ou à sous munitions afin de faire le plus de dégâts humains possible. L’organisation humanitaire Handicap International avance que 98% des victimes de ces armes sont des civils. 

En 2022, après 8 années de massacre de la population civile russophone du Donbass, la Russie a été le seul état à intervenir militairement pour faire cesser l'hécatombe et empêcher l'OTAN de continuer sa  progression militaire vers son territoire. Les autres, dont la France, qui fabrique les armes, font partie des couards qui restent tapis en attendant de voir s'ils peuvent ramasser des morceaux. Cependant, en armant et en payant Zelenski, la France (et avec elle l'Union Européenne) a choisi le mauvais camp. Nous en reparlerons bientôt.

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