Ça faisait un petit moment qu'on pouvait tranquillement surfer de site en site sans rencontrer d'embrouilles, accumulant des infos dans plusieurs directions mais privilégiant la documentation personnelle, bref, sans trop faire de vagues sur le défouloir.
Et puis là, coup sur coup, bam !
Le 20 mars dernier, je reçois un mail de l'administration de Facebook me demandant si je me suis récemment connectée de New-York. A mon avis, ils ne doivent pas lire ce que j'écris, sinon, ils ne se seraient même pas posés la question.
Et bien non. je ne me suis pas connectée de New-York.
J'ai alors été informée que mon compte avait été visité à partir de cet endroit. Effectivement, certaines publications avaient disparu, mais c'est tellement courant sur Facebook que je n'y ai pas vraiment fait attention. De plus, j'avais vraiment autre chose à faire que de parcourir des pages et des pages d'historique.
Finalement, recherchant complètement autre chose, je suis tombée sur une info particulièrement surprenante, à savoir que j'aurais participé à une minute de silence en mémoire des victimes prétendument tuées par Mohamed Merah à Toulouse. Elle était datée du 20 mars. Et bien ça m'a fait rire. Il faut vraiment que les personnes qui créent ce genre d'évènement soient désespérées pour en arriver à frauder les participations de cette manière. Je ne dirai pas d'où je pense que ça vient, on ne sait jamais, je ne vis pas dans un pays où on peut dire ouvertement ce qu'on pense sur certains sujets sans être sanctionné.
Ce matin, rebelote, sous prétexte de virus, accès interdit, autrement dit censure sur le site voltairenet.org
Je ne suis pas dupe.
Quand veut-on faire taire quelqu'un ? Lorsque celui-ci risque de révéler des vérités dérangeantes.
Thierry Meyssan dérange, c'est un fait, et on l'accuse de tous les maux, y compris d'infecter ses lecteurs, ce qui indique clairement qu'il a touché du doigt un secret de la bête.
La bête serait-elle acculée ? Je m'en réjouis.
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