Les explications de Michael Tellinger démontrent comment ces sites anciens correspondent parfaitement aux descriptions sumériennes de l'exploitation minière de l'or des Anunnaki et la ville d'Enki.
Il y a un moment où on peut sortir certains morceaux précédemment connotés "mythologie" pour les inclure dans un processus historique et ce moment est arrivé en ce qui concerne cette civilisation sud-africaine.
En 2003, la découverte accidentelle d'un calendrier en pierre a conduit à décoder une des plus grandes pièces manquantes concernant nos origines humaines sur la planète Terre. C'est Johan Heine, de son avion qui a repéré un cercle de monolithes. Venu visiter le site sur le terrain, il a réalisé qu'il s'agissait d'un arrangement et non d'une disposition naturelle des pierres et pendant plusieurs années, il a mesuré et fait des calculs pour comprendre. De son étude, il ressort qu'il s'agit d'un calendrier qui marque les mouvements du soleil, les solstices et les équinoxes. Seulement ce cercle, nommé "Calendrier d'Adam" par Michael Tellinger a d'autres fonctions bien plus importantes qui ne se sont révélées qu'après de nombreuses mesures électroniques et scientifiques.
Ce calendrier a pu être relié à de nombreux cercles de pierres disséminés sur plusieurs pays du sud de l'Afrique que certains archéologues avaient identifié comme de possibles anciennes habitations, en laissant de côté le fait qu'il n'y avait pas de porte pour y entrer.
Les mesures effectuées ont montré que les ruines des cercles de pierres sont des dispositifs de production d'énergie qui utilise les vibrations sonores naturelles de la surface de la terre. Cette énergie génère des champs électromagnétiques en raison de l'amplification sonore. La forme de ces ruines est spécifique à un endroit donné et est donc unique, car elle correspond à l'énergie sonore de cet endroit. L'énergie est amplifiée de la même manière que les scientifiques modernes génèrent le laser.
Certaines des fréquences sonores mesurées étaient de niveau extrêmement élevé, des niveaux inconnus sur terre et pour lesquels les appareils de mesure actuels ne sont pas assez puissants.
On ne peut qu'en déduire que cette civilisation possédait un savoir que nous n'avons pas.
Jusque là, il était admis que la première civilisation sur Terre est apparue à Sumer, il y a environ 6000 ans. Cette civilisation sumérienne a laissé des millions de tablettes d'argile qui racontent les relations entre les humains et des dieux qu'ils appellent Anunna. Le suffixe ki, que l'on trouve accolé derrière ce nom désigne la planète terre. En réalité, il semble que les graveurs de ces tablettes tenaient l'histoire de cette civilisation sud-africaine.
Le chamane Credo Mutwa, rapporta qu'il avait été initié comme jeune chamane en 1937 à cet endroit qui était connu des gardiens africains de la connaissance comme le lieu de la naissance du soleil, l'endroit ou les cieux se sont accouplés avec la terre et où l'humanité fut créée par les dieux.
L'Afrique nous réserve sans doute encore bien des surprises. La plupart des occidentaux, qui prennent les Africains pour des sauvages demeurés qu'il a fallu évangéliser et dont on peut dépouiller la terre de leurs richesses ignorent en général que les grands prêtres des Dogons, une tribu africaine du Mali, connaissaient l’existence de certaines étoiles, notamment Sirius b, bien avant qu’elles ne soient détectées par nos télescopes modernes. Cette étoile, disent-il, met 50 ans pour faire le tour de Sirius. Pour fêter cet évènement, tous les 50 ans, ils célèbrent la fête de "Sigui", afin de régénérer le monde.
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