vendredi 20 novembre 2020
Make America Great Again
mardi 17 novembre 2020
Hold-up, le documentaire, interview 2
Participation d'Ariane Bilheran,
Normalienne (Ulm), psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, chargée de cours à l'Université, auteur, conférencière, consultante.
Auteur de plus de vingt-cinq ouvrages, ses domaines d'expertise sont le harcèlement, la paranoïa, les déviances du pouvoir et la reprise de son pouvoir personnel.
samedi 14 novembre 2020
mardi 10 novembre 2020
Hold up
Film complet 2:43:13.
lundi 9 novembre 2020
La fraude électorale aux États Unis
vendredi 6 novembre 2020
Coronavéran
jeudi 5 novembre 2020
Le COVID est-il de nature communiste ?
La surveillance et la collecte d’informations sur les personnes.
mercredi 4 novembre 2020
Élections présidentielles aux États-Unis
L'humeur de dogue des Démocrates américains
Après mon billet carrément pro-Trump, les arguments des carrément pro-Biden :
mardi 3 novembre 2020
SANOFI - Véran complicité
A tous ceux qui ne suivent pas le troupeau
Pour une fois, un message qui fait du bien. Merci à Miniver1984 de l'avoir relayé.
lundi 2 novembre 2020
Tribune sur le re-confinement
Une fois n'est pas coutume, je vous mets ci-dessous en image le lien pour aller lire une tribune publiée le 29 octobre dernier avec plusieurs centaines de signataires. Bonne lecture.
Du temps pour les recherches - Jour 4
Il y a un côté positif à chaque situation. Ceux qui suivent ce blog depuis quelques temps ont pu se rendre compte que j'y avais exprimé des doutes sur la véritable origine de certains attentats attribués à des fanatiques islamistes ou bien, version alternative, d'extrême droite. J'ai passé beaucoup de temps à recenser les invraisemblances et désormais, je regarde avec un œil critique ce que nous sert la presse.
J'ai découvert avec beaucoup d'étonnement que des personnes croyaient encore à la version officielle des attentats survenus le 11 septembre 2001, et ce malgré tout ce qui a pu être démontré depuis. On peut dire que ce jour a marqué le départ d'une vague médiatique mensongère de grande ampleur. Je suis incapable de lister de tête tout ce que j'ai repéré au fil de mes lectures mais à chaque fois que j'entends que "le terroriste" a été abattu par les 'forces de l'ordre", une lampe rouge s'allume dans ma tête car pour avoir
vu plusieurs fois comment des vétérinaires procédaient avec des fusils à seringues hypodermique pour anesthésier en quelques secondes des bêtes autrement plus grosses que des humains, je dis qu'une autre solution est toujours possible et que donc, tuer résulte d'une volonté.La question se pose alors, pourquoi tuer ? La réponse qui s'impose est que les morts ne parlent pas. Il y a donc fort à parier que l'identité des commanditaires du meurtre ou de l'attentat ne doit pas être connue.
Pour avoir exprimé ces idées sur un forum (dont je tairai le nom et les coordonnées) J'ai eu droit à de nombreux noms d'oiseaux, le moins infamant étant celui de conspirationniste, que je prends pour un compliment car tout comme les anesthésistes sont des spécialistes de l'anesthésie, les conspirationnistes sont des spécialistes des conspirations et ça m'honore. Le re-confinement, en me permettant de ne pas travailler, me laisse donc plus de temps pour exposer le grain de sable dans les récits médiatiques. Merci.
Facebook a la trouille
dimanche 1 novembre 2020
Nouvelle coupure aujourd'hui
samedi 31 octobre 2020
Samain, tradition nordique
Samain, l'oubli et le souvenir
Lettre ouverte de Mgr Vigano à Donald Trump
Ceux qui voudraient prendre connaissance de la lettre écrite par monseigneur Vigano, archevêque d’Ulpiana et ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique, adressée au Président Trump peuvent en lire la version française sur le site dissept.
L'original se trouve ici en PDF.
Con-finement jour 2
Après une petite grasse matinée au lit - c'est le week-end et pour une fois, je ne vais pas au marché - Je prends une tasse de thé en observant dehors les feuilles qui tombent. C'est aussi l'automne. Il est onze heures. J'allais écrire, l'heure du bouillon...
Le marabout Delfraissy nous a fait comprendre que le virus était plus actif en soirée et les jours fériés. J'espère seulement qu'il ne va pas décréter qu'il est plus virulent dans les salles de bains avant que j'ai pris ma douche. L'apprenti président lui a emboîté le pas et a envoyé tout le monde au cachot. Un des avantages de la situation est que le masque n'est pas obligatoire pour câliner son chat, je ne cite pas de désavantages, il n'y a pas assez de place.
La box a sauté ce qui fait que je suis restée sans connexion une bonne moitié de l'après-midi. J'avoue que compte-tenu du contexte "démocratique", l'idée m'a effleurée un instant que la coupure pouvait être générale et volontaire. La confiance ne règne pas vraiment.Comme le temps était clair, je me suis donc installée près d'une fenêtre avec mon livre de ce matin, "Portrait de Marianne avec un poignard dans le dos" déjà lu précédemment mais que j'ai retrouvé avec plaisir. Cet essai dont l'auteur est Christian Combaz est si réaliste et si élégamment écrit que je m'y suis plongée à nouveau avec délice.
Vous comprendrez que je n'ai pas eu vraiment assez de temps pour parcourir le net et y glaner des infos, si bien que ce billet est susceptible de ne pas être le seul de la soirée. J'ai malgré tout passé un excellent moment avec cette lecture, je ne regrette donc rien.
A plus tard donc.
Dictature sanitaire, coup d'état mondial
Pour ceux qui n'auraient pas pu voir le direct hier soir sur twitter.
Le Général Flynn valide la lettre de l'archevêque Viggano qui avertit le président Trump du Coup d'État mondial contre les peuples à travers le contrôle sanitaire.là
Re-confinement : le Sénat n'est pas d'accord
Dans cette république qui n'a plus rien de démocratique, le vote des élus ne compte plus. On gouverne par décrets.
vendredi 30 octobre 2020
En Allemagne aussi
Con-finement jour 1
mercredi 28 octobre 2020
En résumé, la vraie médecine contre les clowns de la télé
Dictature Macron
Origines du coronavirus SARS-COV2
La question de l'origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement
par Etienne Decroly, directeur de recherche au CNRS au laboratoire Architecture et fonctions des macromolécules biologiques (CNRS/Aix-Marseille Université), membre de la Société française de virologie.
Dans les zoonoses, les hôtes intermédiaires se retrouvent généralement parmi les animaux d’élevage ou sauvages en contact avec les populations. Or, en dépit des recherches de virus dans les espèces animales vendues sur le marché de Wuhan, aucun virus intermédiaire entre RaTG13 et le SARS-CoV-2 n’a pu être identifié à ce jour. Tant que ce virus intermédiaire n’aura pas été identifié et son génome séquencé, la question de l’origine de SARS-CoV-2 restera non résolue. Car en l’absence d'éléments probants concernant le dernier intermédiaire animal avant la contamination humaine, certains auteurs suggèrent que ce virus pourrait avoir franchi la barrière d’espèce à la suite d'un accident de laboratoire ou être d’origine synthétique.
le SARS-CoV-2 est sorti d’un laboratoire ?
On ne peut éliminer cette hypothèse, dans la mesure où le SARS-CoV qui a émergé en 2003 est sorti au moins quatre fois de laboratoires lors d’expérimentations. Par ailleurs, il faut savoir que les coronavirus étaient largement étudiés dans les laboratoires proches de la zone d’émergence du SARS-CoV-2 qui désiraient entre autres comprendre les mécanismes de franchissement de la barrière d’espèce. Toutefois, pour l’instant, les analyses fondées sur la phylogénie des génomes complets de virus ne permettent pas de conclure définitivement quant à l’origine évolutive du SARS-CoV-2.
Tant qu’on n’aura pas trouvé l’hôte intermédiaire, cette hypothèse d’un échappement accidentel ne peut être écartée par la communauté scientifique.
Ceci n'est qu'un extrait. Vous pouvez lire l'intégralité de l'article sur cette page du CNRS.
lundi 26 octobre 2020
La Guerre de L'hydroxychloroquine
mercredi 21 octobre 2020
Ceci n'est pas un complot
samedi 17 octobre 2020
Alexis Cossette Trudel - Trumpologie 101
vendredi 16 octobre 2020
Facebook et Twitter sur la sellette
Mark Zuckerberg et Jack Dorsey, patrons des réseaux sociaux Facebook et Twitter sont convoqués devant le Sénat américain pour s'expliquer sur la censure d'un article du New-York Post qui révélait l'affaire ukrainienne dans laquelle est mouillé le candidat démocrate à la présidence Joe Biden.
Ils comparaîtront devant le sous-comité judiciaire du Sénat sur la criminalité et le terrorisme lors d'une prochaine audience intitulée "Plates-formes numériques et interférence électorale".Alexis Cossette Trudel sur Sud Radio
Pour ceux qui auraient raté le direct sur Sud Radio, voici la vidéo :
L'aveu de Youtube
Ils ont perdu et ils le savent, alors ils censurent, désespérément.
jeudi 15 octobre 2020
Débat Alain Bauer - Éric Zemmour
Je voudrais aujourd'hui vous signaler un débat d'une tenue et d'une qualité rare entre les deux intervenants Alain Bauer et Eric Zemmour sur le thème de "l'ensauvagement", un nouveau mot, de la société, ainsi que de la laïcité. Une oasis d'honnêteté, d'intelligence et de culture dans le contexte actuel, lequel est d'une vulgarité et d'une lourdeur affligeantes. Ça fait un bien fou. Pas d'invectives, pas d'attaques personnelles, pas de coups bas, un vrai bonheur.
Ci-dessous, un court extrait que je ne cite que parce que je compte le développer ultérieurement. Le débat intégral étant visible en vidéo à cette adresse.
Alain Bauer : "La situation de la Franc-Maçonnerie aujourd'hui, c'est qu'elle est plutôt au service de la république dans un sujet qui reste extraordinairement de production de pensée. Nous avons eu notre lot de corrompus, de salauds, de voleurs, d'usurpateur et comme d'habitude, ils ont pris en otage tous les autres. C'est comme le débat sur "y a t-il des violences policières ou y a t-il des policiers violents ?". Alors, il y a des policiers violents. Y a t-il des violences policières systémiques ? Non. Est-ce qu'il y a des policiers violents et racistes ? Oui. Quel est le sujet ? Le sujet, c'est de les mettre dehors et de ne pas les protéger par un esprit de corps qui fait que du coup, une petite tache se transforme par la dilution naturelle en un drame total. Donc, la Maçonnerie continue à travailler aux idées, c'est son sujet essentiel. Sa relation avec le pouvoir politique s'est extraordinairement diluée. 80% des parlementaires étaient Maçons sous la Troisième République, aujourd'hui on est à moins de 10%. La situation a évidemment changé et donc, elle a une capacité d'influence relative."
mardi 13 octobre 2020
Enquête à l'envers
Conspirationisme ou coïncidentionisme ?
Le vendredi 20 décembre 1968, deux adolescents, David Faraday, 17 ans, et Betty Lou Jensen, 16 ans, ont été les premières victimes d'un tueur en série connu sous le pseudonyme de Zodiac qui a revendiqué à lui seul une trentaine d'autres crimes et avait menacé de s'en prendre à un bus scolaire dont il aurait tué un à un tous les enfants qui en descendaient. C'était en Californie, à Benicia sur les rives de la baie San Pablo.
Le 6 avril 1990, vers 21h, un ferry restauré à la hâte et non achevé, le Scandinavian Star, prenait la mer au départ d'Oslo en Norvège en direction de Fredrikshavn au Danemark. Un premier feu fut découvert et maîtrisé par des passagers. Une heure plus tard, plus de 4 autres autres incendies se déclarèrent à bord et un chauffeur routier danois fut désigné comme l'unique coupable avant d'être innocenté par une enquête ultérieure car décédé dans le second incendie. 159 personnes perdirent la vie dont 25 enfants. C'était le premier jour des vacances scolaires et beaucoup d'adolescents étaient sur le ferry.
Le 22 juillet 2011, à Oslo et sur Utøya, en Norvège, un attentat à la bombe et un tireur fou identifié comme Anders B. Breivik firent 77 victimes, la plupart étant des adolescents venus pour un camp de vacances. Utøya est une île du Turifjord.
samedi 10 octobre 2020
Les choses s'accélèrent aux États-Unis
mercredi 7 octobre 2020
COVID19 - Un crime contre l'humanité, une déclaration de Reiner Fuellmich
Le début de la fin pour le tandem Hillary Clinton - Barack Obama
lundi 5 octobre 2020
Outreau, l'autre vérité
dimanche 4 octobre 2020
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.
"Elle", c'est une retraitée de l'éducation nationale que je ne soupçonne pas de maltraitance envers des enfants mais qui, par esprit de groupe, prend fait et cause pour ceux qui, eux, les maltraitent.
samedi 3 octobre 2020
vendredi 2 octobre 2020
Tous dans les écoles dès 3 ans.
Emmanuel Macron entend lutter contre les séparatismes en obligeant toutes les familles à confier leurs bébés de 3 ans aux écoles maternelles, mais pas seulement. Il entend également interdire le choix de l'instruction à domicile. Pourtant, il est largement prouvé que le suivi des enfants qui apprennent dans leurs familles est bien plus sérieux que celui fait dans les établissements scolaires.
Pourtant, ces trois mauvais élèves sont allés à l'école. Il faut croire qu'ils avaient donc de mauvais enseignants, ce qui m'amène à la conclusion suivante :
Tous à l'école, pourquoi pas, mais avec une autre école que celle proposée actuellement et une possibilité de contrôle des parents sur ce qu'on bourre dans le crâne des enfants mais aussi une protection contre les risques d'abus sur des petits qui ne peuvent pas se défendre. Tout le monde sait que les pédo-criminels sont attirés par les endroit fréquentés par des enfants. L'école est le premier choix. Elle leur permet de gagner leur vie en assouvissant leurs désirs coupables, le plus souvent couverts par leur hiérarchie. Je passe sous silence, bien que ça existe encore, les sévices corporels comme punition. L'école actuelle est un repaire de cinglés qui profitent de leur statut pour s'imposer face aux plus fragiles d'entre nous, nos enfants. Alors tous à l'école dès trois ans, si vous croyez que c'est la solution, mais avec d'autres, sérieusement encadrés et inspectés et virés à la première dérive et non mutés ailleurs avec une promotion comme c'est le cas à l'heure actuelle. Et surtout, suppression de l'éducation nationale au profit de l'instruction publique.
Météo Bretagne Sud
Ceci est un essai et je dois avouer que c'est mieux que ce que je pensais au départ.
jeudi 1 octobre 2020
Parlons de la culture
J'ai écouté en direct l'allocution de Roselyne Bachelot sur le projet de loi de finances pour 2021. J'ai surtout retenu que les pauvres media grand public qui avaient souffert de la baisse de leurs revenus publicitaires pendant le "confinement" allaient être largement dédommagés et soutenus. De qui se moque t-on ?
J'ai également entendu parler des aménagements prévus dans les salles de spectacle pour respecter les distances physiques entre les spectateurs. Comme si cette situation était pérenne. Personnellement, j'engage les amateurs de cinéma et de théâtre à attendre que la situation soit redevenue normale avant de songer à aller se divertir en solitaire dans les salles obscures. Car il faut bien se poser la question, les baignoires de théâtre auront-elles deux fauteuils ou un seul ? Les couples d'amateurs de pièces de boulevards pourront-ils encore se murmurer quelques critiques à l'oreille ou devront-ils utiliser un subterfuge pour se comprendre ? Les plus savants pourront tapoter les rambardes en langage morse mais je souhaite qu'ils soient peu nombreux car rien n'est plus pénible que d'écouter une pièce dans une cantine où chacun y va de son coup de manche sur la table. Les autres auront toujours le secours de leurs "smartphones" dont la diversité des sonneries égaieront l'austérité des salles. Ce n'est pas moins agaçant.
Alors, à quand, dans un projet de loi de finances, l'accès à l'instruction pour tous dans tous les territoires ?
lundi 28 septembre 2020
vendredi 25 septembre 2020
Laura, l'ouragan
"Il fait un temps de chien. Je vais dormir." me disait par message un ami qui se trouvait au large de l'Amérique du Nord sur une île de l'Atlantique. Il ne s'est rendu compte que le lendemain que Laura, un ouragan classé 4 sur une échelle de 5 était passé le long de l'île.
C'est impressionnant quand même.
jeudi 24 septembre 2020
J'ai pris du retard mais je dois rendre hommage à Hugo Larsen
la "crise", comme l'appellent certains, est loin d'être finie mais ne comptez pas sur moi pour vous parler de virus ou de médecine. On nous en a gavé jusqu'à la nausée. Ça va bien comme ça. C'est pourtant l'une des raisons pour laquelle j'ai très peu écrit. Il m'était impossible d'ouvrir mon ordinateur sans être aussitôt assaillie par les "fake news" des média, mais aussi par les versions des chaînes vidéo auxquelles j'étais abonnée. Ce virus ayant surtout contaminé les esprits.
Plusieurs sujets me tiennent à cœur mais je vais commencer par une nouvelle plutôt triste. Le capitaine Hugo Larsen, qui avait été désigné pour être le commandant du ferry Scandinavian Star pour sa première traversée entre Oslo et Frederikshaven, vient de passer de vie à trépas à l'âge de 86 ans sans avoir pu voir justice être faite dans cet assassinat de 160 vies. (159 personnes et un enfant à naître)
Un résumé succinct de cette tragédie a été publié à cette adresse. Sur Pas Chiche également, un dossier avec des témoignages de survivants, en suivant ce lien. Monique-Mauve y a aussi consacré un grand article qu'on peut consulter ici. Je ne mets que des liens en français car pour ceux qui comprennent les langues scandinaves, de nombreux articles sont disponibles et il serait surprenant qu'ils ne connaissent pas déjà cette histoire par cœur.
Je n'ai personnellement aucun doute sur le fait qu'il s'agisse d'incendies criminels, ce qui fait de cette catastrophe la tuerie de masse la plus meurtrière depuis la dernière guerre en Norvège. Je dédouane également complètement le capitaine Hugo Larsen de toute responsabilité dans cette tragédie, bien qu'il ait été condamné à 6 mois de prison ferme en tant que représentant de la compagnie qui l'employait.
Lorsqu'il avait voulu mettre son ferry dans le sens du vent pour éviter la propagation des feux, les commandes de la passerelle étaient inopérantes, détournées au profit de la salle des machines. Il était impuissant. Malgré tout, il n'a quitté le navire que lorsqu'on lui a dit que tout le monde avait été évacué sur les autres ferries venus au secours. Il restait 159 personnes à bord, elles ont toutes succombé aux fumées toxiques et aux flammes. Dimanche, Hugo Larsen, qui était resté marqué par ce drame survenu il y a 30 années, les a rejointes.
Image VG |
La nouvelle interface de Blogger
Oooooh ! Je viens de tester le bouton "couleur d'arrière plan du texte". Ce sont des confettis. Pour la peine, je vais les mettre en illustration... si j'arrive à trouver l'icône "insérer une image". Je suppose que c'est l'ancien surligneur.
mercredi 29 juillet 2020
Jacques Hogard sur Hashim Thaçi
Hashim Thaçi, l'actuel président du KOSOVO a été entendu récemment pour crimes de guerre par la cour pénale internationale de La Haye. Le colonel Jacques Hogard revient sur l'histoire de son arrivée à la tête de la province serbe du Kosovo grâce à Madeleine Allbright et de son soutien par l'OTAN.
samedi 25 juillet 2020
Que se passe t-il ?
L'hiver a été rude et le printemps ne l'a pas été moins.
On ne peut semer que sur un sol fertile. Or, là, tout est saturé. La presse agit comme l'agent orange. Tout anéantir, tout désertifier.
J'ai pu constater en plusieurs lieux de discussions, que l'esprit avait quitté les contributeurs, que le COVID19 qui avait commencé comme une épidémie, se poursuivait, des mois après, comme une expérience en vraie grandeur sur la facilité à générer des esclaves.
Il est notable que la plupart des intervenants se comporte comme un bloc ne supportant aucune contradiction dans l'empilage des chiffres catastrophe et des pires scénarii qui pourraient se jouer tels que décrits dans les media.
Le mot "cluster" bien plus terrifiant que l'expression "foyer infectieux" semble désigner une sorte de cocotte minute prête à exploser en projetant en l'air des milliards de petites bêtes féroces et sans doute radioactives qui sautent comme des puces sur des hérissons. Des puces immortelles, bien entendu.
Face à tant de crédulité, j'attends la suite. La situation ne peut pas durer éternellement. Il va y avoir un tournant et c'est ce qu'il en faudra pas louper.
En attendant, j'ai le sentiment, comme déjà à plusieurs autres occasions, d'être née dans un pays de pleutres et de ratés et ça me fait vraiment chier. J'aimerais pouvoir être fière de ce pays et en ce moment, je ne cache pas que c'est très difficile. Les coqs sont enroués et ne chantent plus.
mardi 9 juin 2020
Donald Trump, premier président black !
Comme le coup du Coronavirus n'a pas marché aussi bien que ce qu'il aurait du, on balance le racisme.
Je ne sais pas si ça va mieux fonctionner.
jeudi 21 mai 2020
lundi 27 avril 2020
Giulietto Chiesa
Je partage cette vidéo, dans sa version originale en italien, les autres ont été censurées. Ciao Giulietto, tu vas nous manquer.
lundi 13 avril 2020
La lapin qui tombe à pic
Joyeuses Pâques !
Histoire, réalité et propagande
L'histoire est constituée de faits parfois isolés et indépendants les uns des autres dont les conséquences forment sous la plume des chroniqueurs un ensemble qui semble cohérent comme écrit par un romancier. La réalité est souvent bien différente. Si certaines actions sont prévues, comme les assassinats de chefs d'états ou les insurrections, d'autres dépendent plus ou moins du hasard et des circonstances.
Je vais très peu au cinéma car préférant de loin le documentaire à la fiction, je sors toujours contrariée de ce que j'ai vu, les meilleurs documentaires n'étant à présent que ce qui est pris sur le vif par les possesseurs de "téléphones intelligents" et non les faits romancés pour des questions de rentabilité ou d'autres motifs moins avouables. Ainsi, je n'ai appréhendé le mouvement des "gilets jaunes" qu'à travers de petits bouts de films qui seuls nous ont montré la réalité, les pseudo-reportages des chaînes de télévision ne montrant que certains angles, certaines actions, avec coupures de ce qui ne va pas dans le sens de la propagande d'état, puisque ces chaînes sont financées par cet état.
Lorsque j'étais enfant, j'avais fait ce rêve étrange où je me voyais assise dans un fauteuil tandis que se succédaient devant moi des scènes joues par des acteurs dans un décor qui cachait la réalité, située derrière un rideau. En me réveillant, j'entendais cette phrase : c'est trop dur.
Ce rêve est revenu plusieurs fois et c'est seulement maintenant que j'en comprends la signification.
Avec l'invention de l'audiovisuel, nous ne sommes plus que les spectateurs d'un spectacle destiné à nous masquer la réalité et peu de personnes font l'effort de chercher à savoir ce qu est derrière le décor, car en effet, lorsqu'on se rend compte de la réalité, c'est très dur. Tout ce qui semblait garantir notre sécurité, nous protéger, apparaît d'un coup comme le loup du petit chaperon rouge. Un prédateur sous des airs de bonne maman.
C'est ainsi que par la suite, on apprend à se méfier de tout et débarrassé de cette confiance excessive, on peut regarder la réalité en face, quelle qu'elle soit de façon froide et détachée. C'est la condition nécessaire.
L'histoire peut ainsi être analysée différemment selon qu'on considère uniquement les faits sans le commentaire fait par d'autres sur ces mêmes faits ou qu'on privilégie l'information filtrée par nos censeurs.
On en revient au point de départ et contrairement à Jean Tulard, je conclurai en disant "vive le documentaire et aux chiottes le film historique" (et les fables télévisées).
mercredi 15 janvier 2020
Photo du mois : Perspective
Note de l'auteur : Technique de représentation de l'espace et de ce qu'il contient en fonction de lignes de fuite (généralement convergentes). Plus simplement, prenez deux lignes (voire davantage) qui partent vers une même direction. Elle peuvent aussi se rejoindre en un point (telle une route). Astuce : prendre une photo en positionnant son appareil photo au plus près du sol accentuera la perspective du sujet (que vous avez choisi de photographier).
Voici ma photo :
C'est l'espace laissé par le pont tournant du port de Dieppe lorsqu'il s'ouvre pour laisser passer les navires vers les bassins situés à l'arrière. Ces rambardes me semblèrent être le sujet parfait.
Il me fallut quitter ma campagne, où tout est naturel, pour aller en ville, où rien ne l'est, pour satisfaire ce besoin passager de lignes fuyantes.
Il est temps à présent d'aller voir d'autres perspectives en suivant ces liens :
Akaieric, Amartia, Blogoth67, Brindille, Chris M, Christophe, Cynthia, Danièle.B, El Padawan, Escribouillages, Eurydice, FerdyPainD'épice, Frédéric, Gilsoub, Gine, Giselle 43, J'habite à Waterford, Jakline, Josette, Julia, Krn, La Tribu de Chacha, Laurent Nicolas, Lavandine, Lilousoleil, magda627, Marie-Paule, Mirovinben, Morgane Byloos Photography, Nicky, Philisine Cave, Pilisi, Renepaulhenry, Shandara, Sous mon arbre, Tambour Major, USofParis, Who cares?, Xoliv', écri'turbulente.
lundi 13 janvier 2020
Un vendredi 13
Il y a quelques années, la série télévisée Dolmen, avec comme héroïne la belle Ingrid Chauvin, nous a remis en mémoire une pratique qui n'avait rien de légendaire, les naufrageurs.
Il s'agissait d'attirer les navires sur les brisants à l'aide de lampes afin de voler les marchandises qu'ils transportaient.
Les navires ne se dirigeant plus, et on pourrait déplorer que les officiers de quart les ignorent désormais, aux amers, c'est l'électronique qui fait office de lanternes et les naufrageurs sont ceux qui volontairement ou non font taire les alarmes, car tout est prévu, il y a pléthore de règlements et de garde-fous et de sonneries que chacun de ces naufrageurs s'évertue à contourner.
L'histoire pourrait commencer de cette manière : "Il était une fois un vendredi 13... " mais on a vu que c'était un jour comme un autre, la seule importance de cette combinaison n'étant que celle qu'on veut bien lui donner. Il était donc une fois un navire, moderne, bardé de toute l'électronique possible et imaginable, qui se dirigeait vers une île de Méditerranée par une sombre nuit d'hiver. A bord, c'était le clinquant et la fête. Les femmes étaient en robe de soirée, un spectacle de magie venait de commencer et le commandant dînait en galante compagnie dans un restaurant situé complètement à l'arrière du navire, à trois cent mètres de la passerelle de commandement.
Cette île n'était pas la destination du navire. Il faisait seulement un détour pour saluer des touristes, que j'ai la faiblesse de considérer comme très peu nombreux sur les plages en janvier, vers 21 heures et je ne crois pas non plus que les passagers se pressaient sur les ponts en vue d'admirer un petit port éclairé par trois lampadaires à la vitesse de 15,5 nœuds, mais c'est l'excuse qui a été donnée pour aller perdre un navire transportant plus de quatre mille personnes à cet endroit.
Vous pouvez voir sur cette image empruntée à un blogueur averti de ces questions, le trajet de ce navire vers l'île.
L'image radar que le tribunal qui jugeait l'affaire a diffusé par le biais d'un journal italien a confirmé ce trajet.
Il était donc une fois un navire de croisière avec de nombreuses personnes montées à bord pour faire la fête, inconscientes de l'endroit où les menaient ceux en charge de la sécurité du navire.
Cet endroit, au bout du trajet représenté ici, le voici :
La falaise descend à pic dans la mer. Le fond est à environ 100 mètres. Personne n'habite là. Il n'y a pas de routes. Imaginez-vous cet endroit dans l'obscurité d'une nuit sans lune, lorsque le navire sur lequel on se trouve est en train de chavirer et de prendre l'eau.
Vue d'en haut, près du phare dont la lumière n'atteint pas le pied de la falaise à cause du relief. Ce phare qui est la seule construction humaine du lieu.
image issue du site MTB-MAG que je remercie. |
Il semble que ce conte de naufrageurs était bien parti pour faire quatre mille morts un vendredi 13 janvier dans une catastrophe maritime survenue au pire endroit, jusqu'à preuve du contraire.
Je vous rassure, cette histoire s'est plutôt bien terminée pour la plupart de ces personnes car le commandant de ce navire, Francesco Schettino, actuellement en prison après un procès spectacle, est intervenu pour tenter d'éviter l'île sans toutefois parvenir à maîtriser tout son personnel. On a quand même déploré 32 morts dont une petite fille (les femmes et les enfants d'abord) qu'on peut surtout attribuer, toujours jusqu'à preuve du contraire, à la conception désastreuse du navire et à une mauvaise maintenance.
Il était une fois, le Costa Concordia...