samedi 26 août 2023

Google, Youtube et autres dictatures numériques

 Ceux qui, comme moi gèrent des publications dans lesquelles ils désirent insérer des images ou des vidéo se rendent compte à quel point ces plateformes leur mettent des bâtons dans les roues. 

Partager, c'était un peu le but d'internet. Les informations accessibles à tous depuis n'importe où, une belle et grande idée, certainement moins intéressée que la Sécurité Sociale, qui en fait n'était que le moyen de faire en sorte que les bien-portants payent les maladies de tout le monde, ce qui a conduit certains à croire que se soigner était gratuit, or, rien n'est plus faux. Les prélèvements atteignent des sommets de plus en plus hauts et il va falloir que ça s'arrête. 

On ne peut plus intégrer de vidéo sans avoir à ingérer un texte, évidemment en anglais, vu que les anglo-saxons sont incapables de rédiger quoi que ce soit dans une autre langue, et à créer un profil de créateur, ce qui n'était pas inclus dans le contrat de départ. Ce n'est pas très important, au contraire, puisque ça permet de conserver à l'auteur de la vidéo l'intégralité de ses vues. Pour le lecteur, par contre, c'est l'ingestion forcée des publicités qu'on nous fourgue à tout va. Une astuce, prenez un VPN et regardez les publicité en japonais ou en coréen, c'est bien plus rigolo. 

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