Il y a toujours deux chances pour ne pas retrouver l'ami que l'on quitte : notre mort ou la sienne.
La mort est belle, elle est notre amie, néanmoins, nous ne la reconnaissons pas, parce qu'elle se présente à nous masquée et que son masque nous épouvante.
On peut se prosterner dans la poussière quand on a commis une faute mais il n'est pas nécessaire d'y rester.
La photo a évidemment un rapport avec l'auteur de ces phrases.
RépondreSupprimerEvidemment.
RépondreSupprimerPour parler d'autre chose, j'étais en train de découvrir certains anciens articles de ton cru qui m'avaient échappés.
Dommage, je les aurais bien commentés.
Personne ne t'en empêche, même s'ils ont plusieurs semaines.
RépondreSupprimerQui suis-je :
Je ne risque rien à dire que c'est un romantique.
C'est un romantique.
RépondreSupprimerPourquoi ai-je l'impression que tu sais déjà de qui il s'agit ?
Les articles dont je parle ont plus d'un an. Je devais être ailleurs.
J'ai encore des commentaires sur de très vieux articles. Si tu veux écrire un commentaire, ne te prive pas, je l'aurai.
RépondreSupprimerHomme politique, ayant voyagé en Orient ?
Il a fallu que je me documente, tu en sais plus que moi, comme d'hab. !
RépondreSupprimerBon, allez, crache moi ta réponse, tu en meurs d'envie.
C'est l'auteur des Mémoires d'Outre Tombe, François René de Chateaubriand.
RépondreSupprimerLes mémoires d'outre-tombe à qui j'ai emprunté les deux premières citations.
RépondreSupprimerBravo, c'est quoi qui t'a mis sur la voie ?
Cette insistance à parler de la mort et l'image qui représente une tombe devant la mer.
RépondreSupprimerC'est le premier nom qui m'est venu à l'esprit.
J'aime bien la dernière citation, tu l'as prise où ?
Dans les maximes. J'avais également relevé celle-ci :
RépondreSupprimer"Si l'on vous donne un soufflet, rendez-en quatre, qu'importe la joue."
Allons bon ! Je ne le savais pas si vindicatif.
RépondreSupprimerC'est mieux que de tendre l'autre joue.
RépondreSupprimerLes auteurs des deux ne poursuivaient pas les même buts.
RépondreSupprimerIl y a d'autres raisons que la mort qui font que deux amis ne se retrouvent pas.
RépondreSupprimerLe handicap ? tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.
RépondreSupprimerLa pauvreté et l'éloignement. Ceux qui n'ont que leurs pieds, à notre époque, ne peuvent rejoindre ceux qu'ils aiment s'ils sont loin.
RépondreSupprimerIls n'ont qu'à attendre qu'ils reviennent.
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