Il n'est pas encore minuit, nous sommes encore en 2011. Sale année que celle-là ! Je ne peux qu'espérer mieux pour la prochaine, bien qu'avec la clique de dirigeants véreux que nous avons, je craigne le pire, et parmi les horreurs à venir, la désinformation sur l'Iran et sans doute une autre guerre, sans motif avouable, un autre pays dévasté, irradié, par les assassins de l'OTAN.
L'homme de l'année 2011 est évidemment le colonel Kadhafi, qui a courageusement tenu tête au trio de parjures occidentaux à qui on n'a pas appris à respecter sa parole, ni le drapeau blanc, ni les prisonniers de guerre, ni les femmes et les enfants et pour qui toute chair est bonne à éparpiller avec les bombes à fragmentation et les munitions à l'uranium appauvri.
Parmi ce que je voudrais voir revenir, je citerai le pilori où je collerai avec plaisir quelques membres du G20, Barroso, Obama, et tous les merdeux de leur espèce sans oublier de fournir les bâtons à ceux qui les visiteront.
Et pour arranger encore mon humeur, une bande d'abrutis probablement avinés hurle quelque part dans le quartier en tapant sur des bidons ou des casseroles. C'est l'apothéose !
RépondreSupprimerJe te sens énervée, tu n'as pas eu de chocolats ?
RépondreSupprimerEnervée n'est pas le mot. J'ai vu ton article, en quelques mots tout est dit, je te remercie.
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