vendredi 6 juillet 2012

Du naufrage d'un navire, de ses causes et de ses conséquences.

Avec cette publication, je m'attaque à un gros morceau. Le naufrage, le vendredi13 janvier dernier, du navire Costa Concordia est dans toutes les mémoires, et ce d'autant qu'il survient l'année du centenaire de la catastrophe du Titanic.

J'ai publié, à différents endroits du défouloir, des photos de navires de croisière, ici le Norwegian Sun (Norwegian Cruise Lines) il y en a dans mes webcams et je m'y intéresse, sans toutefois y avoir jamais mis un pied. Je n'ai emprunté que des ferries et sur une durée ne dépassant pas quatre jours. C'est pour moi, avant tout, un moyen de transport pour aller d'un point à un autre. J'aime la mer, mais je n'ai jamais imaginé passer des vacances dans ces hôtels où le luxe clinquant n'est qu'un décor pour attirer un public de moins en moins aisé qui va sacrifier ses économies pour une semaine où il va tout claquer. Bien entendu, c'est le but des compagnies qui proposent ces croisières. D'ailleurs, il me semble qu'on ne voit pratiquement pas la mer et il parait qu'on ne la ressent même pas. Sauf quand on coule.

Dans un premier temps, je vais m'intéresser à ces compagnies, dont la plus importantes, par le nombre annuel de passagers transportés est le groupe Carnival, à qui appartient justement Costa Croisières. Il y a sans doute beaucoup à découvir.

Ensuite, sera sans doute publié un résumé de ce qui s'est passé le 13 janvier, en ne faisant état que des faits et en laissant de côté les incroyables jugements publiés ça et là dans la presse internationale qui s'est fait un plaisir de lapider le Commandant Schettino, capitaine du Costa Concordia au moment de l'accident.
Tout le monde sait ce que je pense de la presse actuelle, c'est écrit dans la marge de ce blog, ne pas avaler.

Pour finir, je parlerai de sécurité maritime, car il me semble que c'est le problème que tout le monde pousse sous le paillasson pour continuer à engranger des profits maxima sans trop mettre la main au portefeuille. Au siècle où les guerres doivent faire zéro mort (du côté de l'attaquant, je précise) il est impensable que les gens courent encore des risques en temps de paix, du moins le jugent-ils ainsi.

Pour illustrer, une vidéo qui montre le dernier bébé de Carnival, "Carnival Breeeze" :



Krn 06/07/2012

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