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Cherchez et vous trouverez. C'est ce que je fais dans ces pages. Il y a de tout : de la science, de l'humour, du scandale, de la passion, de l'histoire, en bref, tout ce qui fait une vie.

mercredi 29 octobre 2025

Les écolos sont des crados

 J'étais en vacances. Les premières que je prends depuis bien longtemps. Une petite semaine pour changer d'air. Seulement voilà, c'était sans compter avec ceux qu'on paye bien cher pour nous emmerder. Le mot n'est pas trop fort. je suis revenue exprès pour mettre mes poubelles dans la rue. Je repars demain après leur passage. Si les écolos pensent que mon trajet aller-retour depuis mon lieu de vacances ne génère pas de pollution, tout va bien.

Il va bientôt faire nuit, il faut sortir la boîte à ordures sur le trottoir, disait ma grand-mère. Le service de ramassage des ordures, c'était tous les jours et la poubelle était petite, légère, en métal, avec un couvercle qui glissait le long de deux rails pour qu'on ne puisse pas le perdre. le matin, mon grand-père descendait la chercher, vidée, avant d'aller prendre son bus. 

Nous habitions la maison voisine et ma mère m'envoyait jeter dans cette boîte à ordure le petit sac des rebuts de la journée, un petit sac de papier récupéré des achats chez l'épicier ou au marché, et il n'y en avait pas tous les jours. Il y en avait surtout lorsque nous mangions du poisson. La peau et les arètes étaient gardées au frigo jusqu'à leur transfert jusqu'à la boîte à ordures. 

Si je devais faire la même chose, je devrais acheter un congélateur, et non simplement un réfrigérateur, pour y stocker les ordures de deux à trois semaines. Lorsque je dis que les écolos sont des crados, je comprends dans ces crados le maire de la commune, une femme, et les non-élus de la communauté de commune, d'autres crados qui pensent que la collecte des ordures ménagères quatre fois par trimestre, c'est suffisant. 

Je ne pêche pas. Dommage, j'aurais les asticots gratuits. je pourrais même en vendre. Les mouches adorent les crados de la communauté de commune. Lorsque j'aurai un petit moment, je dessinerai un blason avec mouches, asticots, mais aussi rats, en bonne place, car ce qui ne rentre pas dans les conteneurs doit être composté chez soi et c'est un vrai libre-service d'épluchures de toutes sortes pour les rongeurs, qui se reproduisent bien vite à proximité de cette source d'alimentation inépuisable.

Alors, si les responsables de ce désastre étaient seulement des inconscients idiots qu'on a placé là parce qu'on ne pouvait pas les mettre ailleurs, je pardonnerais, même s'il n'est pas vraiment raisonnable de placer des déficients mentaux à des postes qui impactent la vie en société. Je pense, bien au contraire que, soit ce sont de sournois malfaisants et ils le font exprès, soit ils sont fous de croire à cette connerie de "climat" et de "planète en danger" et s'imaginent œuvrer pour le bien de l'humanité et il faut les enfermer. 

mardi 28 octobre 2025

Cyclone Melissa

Article mis à jour le 28/10 à 17h15 heure française.

La Jamaïque se prépare à subir l'arrivée de l’ouragan Melissa Dans quelques heures, Melissa va frapper l’île. Cet ouragan pourrait être le plus puissant depuis le début des mesures des tempêtes en Jamaïque en 1851. 

Les premières rafales de vent ont déjà atteint l’île située dans la mer des Caraïbes. Et la pluie tombe à verse.

L’ouragan, qui est le plus important au monde depuis le début de l’année, devrait frapper l’île de plein fouet aujourd'hui dans la journée.

Les autorités disent que les résidents doivent se préparer à des vents violents et à des précipitations intenses qui pourraient entraîner des destructions importantes. 

17h30 :
l'ouragan Melissa, de catégorie 5, soit la plus élevée de l'échelle de Saffir-Simpson se révèle à présent plus fort que Katrina  qui avait fait 1.000 morts à la Nouvelle-Orléans. Les vents atteignent presque 300 km/h.

21h15 : 
L'ouragan Melissa, qui frappe la Jamaïque, a été rétrogradé en catégorie 4 mais les vents sont toujours très forts. 240 km/h en moyenne.




L'ouragan se déplace à une vitesse de 11 kilomètres à l'heure, a précisé le météorologue Evan Thompson, directeur du Service météorologique de la Jamaïque, lors d'une conférence de presse à 16h58.
La Jamaica Public Service Company (JPS), seul fournisseur d’électricité en Jamaïque, rapporte qu'environ 240 000 de ses clients, soit 35 % d'entre eux, sont actuellement privés d'électricité.

Melissa s'éloigne de la République Dominicaine mais les autorités du pays craignent des inondations et des glissements de terrain. Les pluies menacent notamment le sud-ouest de l'île et les populations de la région frontalière avec Haïti.

Il est à déplorer que des dizaines de contenus mensongers générés par IA circulent sur les réseaux sociaux au moment où de vraies informations sur la situation pourraient sauver des vies.
Le Premier ministre Andrew Holness a alerté sur des risques de dégâts particulièrement importants dans l'ouest du pays : " Je ne pense pas qu'une seule infrastructure de cette région puisse résister à un ouragan de catégorie 5, donc il pourrait y avoir d'importantes destructions ", a-t-il déclaré. Souhaitons qu'il se trompe. Quoi qu'il en soit, il y aura des dégâts et les Jamaïcains devront faire preuve de courage.

samedi 25 octobre 2025

Halloween, fête des voleurs

 Comme chaque année, on va devoir subir de nouveau l'intrusion de hordes de gamins mal habillés avec des déguisements à bon marché, sans recherche et sans signification, la plupart issus des dessins animés débiles qu'on peut voir dans les émissions destinées à abrutir les futures générations. Des mômes qui ne comprennent pas qu'ils sont utilisés à des fins mercantiles. 

D'abord l'achat de friandises qui, pour beaucoup, vous finir à la poubelle. Ensuite les dentistes... ha ha ! Ils se frottent les mains et pour l'occasion prendront peut-être de nouveaux clients, les rejetons de ceux à qui ils ont déjà vendu des couronnes et des implants à prix d'or. 

Enfin, et c'est mon  sujet, ces visites nocturnes ne sont pas innocentes. Sous prétexte de protéger leurs enfants, des adultes pénètrent dans les jardins et repèrent ce qui les intéresse. Chaque année, le soir d'Halloween, des objets disparaissent dans mon jardin. Une brouette, un rateau, un diable de transport, une échelle, des jardinières avec leurs plantes, etc. 

En adoptant une religion venue du Moyen-Orient pour faire taire les croyances gauloises, les rois qui entendaient manipuler le peuple en le contraignant à changer de dieux en ont fait un peuple de voleurs et de malhonnêtes. Faire croire à des naïfs que raconter en secret ses turpitudes à un prêtre efface leurs fautes et les rend blancs comme neige, c'est, d'une part abaisser la divinité à un privilège matériel, et d'autre part, encourager les "pécheurs" à recommencer, puisque les punitions, réciter des textes appris par cœur et baisser la tête, sont, non seulement privées, mais d'une légèreté ahurissante. Volez, mentez, tuez, et allez au confessional. Vous êtes pardonnés. 

mercredi 22 octobre 2025

L'arnaque "Octobre Rose" par le docteur Gérard Delépine, chirurgien et cancérologue



Gérard Delépine qui, avec sa femme Nicole, a écrit le livre "Cancer : les bonnes questions à
poser à votre médecin", ainsi que d'autres livres nous parle du cancer du sein et de l'opération "Octobre Rose", une grande opération de communication sur l'importance du dépistage automatique du cancer du sein, qui se fait depuis 1985 aux États-Unis et depuis un peu moins longtemps en France. Quel est
l'intérêt de cette opération ? Quels en sont les bénéfices et quels en sont les inconvénients ?

Gérard Delépine a exercé en tant que chirurgien et cancérologue.
Il explique qu'il croyait aux vertus du dépistage parce qu'il est logique de chercher les cancers les plus petits possible car on sait que les plus petits donnent les meilleurs résultats.
Du moins c'était vrai dans les années 70. Depuis qu'il y a la chimiothérapie et la radiothérapie et depuis que l'imagerie médicale a fait ces progrès considérables, les choses ont complètement changé et actuellement il faut d'abord rassurer les gens. On guérit en moyenne entre 80 et 90% des malades qui souffrent d'un cancer du sein. Les seuls qui posent problème, ce sont les métastatiques qui, heureusement sont quand même relativement rares. Depuis qu'on a ces méthodes de traitement modernes, le dépistage n'a plus aucun intérêt. Simplement parce que avant on ne savait pas traiter les gros cancers alors que maintenant, on sait les traiter avec des chances de guérison tout à fait favorables.. Et deuxièmement les méthodes de dépistage sont devenues trop efficaces. On découvre beaucoup de petits cancers qui en fait n'auraient jamais ennuyé le malade sa vie durant. Elle avait un cancer et elle l'ignorait, et ce cancer, elle l'aurait ignoré toute sa vie. Elle serait morte avec son cancer, mais pas de son cancer et malheureusement quand on dépiste, personne n'ose ne pas traiter et donc le dépistage est un gros inconvénient, parce qu'il entraîne des traitements. Et ces traitements ne sont pas anodins. Ces traitements peuvent même tuer les gens. La chimiothérapie très rarement mais une à deux fois pour cent tue le malade.
L'hormonothérapie qui est un traitement excellent dans certaines formes de cancer du sein entraîne des complications osseuses et peut entraîner des phlébites et peut également tuer la malade. La radiothérapie qui est un traitement essentiel du cancer du sein, malheureusement, quand elle est du côté gauche, elle irradie non seulement le sein, mais aussi ce qu'il y a derrière : le cœur et surtout les petites artères qui nourrissent le cœur, les coronaires, et elle augmente considérablement le risque de faire plus tard, cinq, dix, quinze ans plus tard une coronarite, autrement dit un infarctus et d'en mourir. Autrement dit tous les
traitements qui sont indiqués, à juste titre, dans certaines formes de cancer du sein ont des inconvénients, et lorsqu'on fait un traitement pour une maladie qui met en jeu la vie, on gagne quelque chose pour le malade, mais lorsqu'on fait un traitement inutile on lui fait perdre des chances, c'est ce qu'on appelle le surtraitement. Les petits cancer dormants, c’est-à-dire qui n'évoluent pas, qu'on n'a aucun moyen
malheureusement de diagnostiquer, par aucun moyen technique, microscopique, chronomosomique et tout ce que vous voulez inventer, on ne sait pas les reconnaître de ceux qui vont évoluer. Leur taux dépend un peu des études. Les plus optimistes et c'est ce qu'il y a dans l’Institut National du Cancer, ils disent que c'est très rare, que c'est 10 à 15%. Certaines séries américaines disent que c'est 40 %.
Autrement dit, beaucoup de gens qui se croient avoir été guéris grâce au dépistage de leur cancer,ont en fait survécu uniquement au traitement qu'on leur a imposé inutilement. 
Et ils ont perdu le sein à cette occasion et cætera.

Maintenant, la question qu'on peut se poser c'est pourquoi est-ce qu'on promeut ce type de dépistage malgré cette abondance de surdiagnostics ?
Alors c'est un problème politique et financier. C'est d'abord un problème politique parce que les organisations qui sont pour la médecine sociale et pour le droit des femmes disent « C'est la seule
politique spécifiquement dédiée aux femmes que l'on peut leur proposer, c'est le seul avantage qu'on leur donne. » Drôle d’avantage que de perdre son sein inutilement, mais bon ! Chacun voit midi à sa porte et nos politiques ont dit ça, clairement : « Il faut sauver le dépistage parce que c'est la seule chose que l'on peut offrir aux femmes actuellement ». Et puis malheureusement il y a aussi le poids des lobbys. Malheureusement le cancer tue beaucoup de gens mais il en fait vivre également beaucoup plus. Et les mammographies sont une activité extrêmement rentable, la chimiothérapie, les tests, les chirurgiens qui font des chirurgies reconstructives, tous ces gens-là vivent bien du cancer et en particulier des cancers de dépistage qui sont les plus petits et les plus faciles à traiter, puisqu'ils n'ont pas besoin d'être traités. Et donc malheureusement cette dépense qui peut être évaluée entre un milliard, et un milliard et demi par an n'est pas perdue pour tout le monde.

Lorsque j'avais essayé avec un ancien directeur de l'INCa d'aborder le problème du dépistage en lui disant "Mais Monsieur, les statistiques actuelles, en particulier la grande étude canadienne qui montre que ça n'apporte aucun gain en survie d'être dépisté ou pas". Il m'a tout de suite arrêté en disant "Attention Delépine ! il n'est pas question de toucher au dépistage du cancer du sein". C'est un tabou. En France, vous êtes exclu de la bonne société du cancer si vous osez dire que le dépistage est dangereux ! Heureusement, il y a quand même certains épidémiologistes français qui ont eu le courage, eux n'ont pas le poids du lobby médical sur le dos facilement, et puis il y a beaucoup d'études en Amérique où les choses sont plus ouvertes, à l'étranger et aux Pays-Bas, au Danemark, et heureusement la médecine est mondialisée et donc, toutes ces connaissances et toutes ces études sont disponibles pour tous si on les creuse.En France, on a moins de liberté de pensée d'un point de vue médical par rapport au
cancer. Nous sommes réellement dans une tyrannie totale en France, puisque maintenant ce ne sont plus les médecins qui décident des traitements, mais c'est l'État, par l'intermédiaire de l'Agence Régionale de
Santé qui décide si vous êtes autorisé à traiter telle ou telle maladie. Des gens qui ne connaissent rien à . C'est totalement bureaucratique. C'est la raison pour laquelle la santé va si mal. 

Pour les malades, "Octobre Rose" n'a strictement aucun intérêt et ça me fait énormément de peine de voir ces femmes qui sont bien intentionnées, qui croient pouvoir faire quelque chose, qui sont trompées. On se moque d'elles, on les fait courir pour une mauvaise cause et c'est totalement désolant de promouvoir actuellement le dépistage alors que, toutes les données médicales sérieuses récentes. Je ne parle pas de ce qui a été fait il y a 25 ou 30 ans à l'époque on n'avait pas de traitement, il faut bien voir que les choses ont évolué. Mais toute l'analyse médicale actuelle montre que le dépistage est plus nuisible qu'utile aux femmes. Le nombre de mammectomies, d'ablations du sein a augmenté depuis le dépistage. Contrairement à ce qui est marqué dans toutes les affiches : "Faites-vous dépister et vous perdrez pas vos seins". C'est un mensonge. C'est le contraire qui s'est passé et pas seulement en France, dans tous les pays et en Amérique aussi il y a des livres qui ont été écrits là-dessus par des professeurs d'université, pas par des olibrius dans leur coin qui ont cru ça. L'étude canadienne, qui est une étude universitaire par l'université de Toronto faite à la demande du gouvernement canadien pour savoir si c'était utile a conclu que le dépistage ne sauvait aucune vie. 

Quand on regarde à 25 ans sur les 45.000 malades de part et d'autre : combien sont toujours vivantes, il y a davantage de vivantes chez les femmes qui n'ont pas subi de dépistage. C'est quand même angoissant, et je ne parle pas bien entendu des mammectomies où il y a eu 20% de plus chez les femmes qui sont dépistées. Donc toutes les données sérieuses sont à l'encontre du dépistage, mais on continue.

Il est certain que les grandes entreprises du médicament ont tout à gagner d'un dépistage qui donne donc des surdiagnostics, des diagnostics de cancer histologiquement vrais, mais qui ne sont pas des cancers
évolutifs parce qu'on consomme après des médicaments, puisqu'on les traite tous ces malades. Donc, "Big Pharma" gagne beaucoup avec Octobre Rose, c'est évident ! Mais c'est plus que ça, c'est tout un ensemble d'associations qui sont en général payées par le gouvernement ou subventionnées par le
gouvernement. Et on a l'impression de faire quelque chose d'utile. Malheureusement, tout ça est lié à une désinformation du public. Je ne dis pas un manque d'informations ! C'est une désinformation du public et si on donnait aux femmes à qui on propose le dépistage, les chiffres vrais comme les Suisses, les femmes ne seraient pas dépistées et le gouvernement doit être assez conscient de l'affaire, parce qu'il faut que nos concitoyennes sachent que lorsqu'elles vont voir un médecin qui leur dit "Vous devez aller à la mammographie parce que vous avez l'âge d'aller à la mammographie" - je parle bien de dépistage systématique chez des gens qui n'ont aucun signe - ce n'est pas du diagnostic précoce pour quelqu'un qui a un signe. Il faut faire des mammographies quand on a des signes, mais je parle de quelqu'un, qui en parfaite santé, qui n'a aucun signe, et qui va aller se faire faire une mammographie pour faire du dépistage. Eh bien, cette malade, cette personne-là se met en danger. C'est ça qu'il faut éviter, il faut
qu'elle sache, que le médecin qui lui conseille de se dépister touchera une prime, parce qu'il aura rempli son « Objectif Prioritaire de Santé » décidé par le gouvernement. Que si le médecin est obéissant, il touche de l'argent qui pouvait aller jusqu'à dix mille euros par an. La plupart des patients n'ont absolument pas conscience que le médecin est encouragé financièrement, par l'État à inciter ses patients d'aller se faire dépister pour le cancer du sein. C'est absolument dramatique car, si une action de santé était utile et indiscutablement utile, tous les médecins la conseilleraient. Donc, il n'y a aucune raison de lui donner de l'argent. Donc, si le gouvernement donne de l'argent à des médecins pour les inciter à dépister, c'est que l'intérêt du dépistage est douteux. Je pense qu'il faut que les gens le sachent. C'est une totale arnaque. 

C'est vraiment triste pour ces pauvres femmes qui y croient, qui sont sincères ! J'en ai vu plusieurs et ça me fend le cœur. Les radiologues sont très contents effectivement. Les chirurgiens aussi font des reconstructions du sein, c'est quand même un business beaucoup plus rentable puisque, les reconstructions n'étant pas aux tarifs de la Sécurité Sociale… On peut se faire plaisir ! Octobre Rose est quand même utile à un certain nombre de personnes. C'est nuisible pour les femmes en bonne santé, pas pour des patientes, on les transforme en malades. J'ajouterai juste une petite chose qui est destinée à nos politiques : il y a dix ans la représentation nationale s'était émue, du fait qu'on pousse sur le dépistage et qu’il n’y ait strictement aucune évaluation du dépistage. Chaque année vous avez un opuscule qui fait environ 100 pages qui font le point du dépistage et je le regarde chaque année avec intérêt, et je ne vois jamais de résultats. Dire qu'on nous dit "Attention, on a fait de gros progrès sur la technique de dépistage. Attention, il faut faire le truc tous les six mois plus un jour, ou tous les six mois moins un jour". Mais, rien sur "combien on a fait de mammographie, combien on a sauvé de seins, combien on a sauvé de vies", ce qui est quand même la base principale.

Les Canadiens ont fait cette étude à la demande du gouvernement canadien. Ils ont conclu que ça ne servait à rien. Il est quand même triste que la France n'ait pas fait l'équivalent alors que nous avons une Sécurité Sociale qui permettrait de savoir exactement qui a fait les mammographies et qu'est-ce que
ça a donné. C'est totalement fiché. 
Un film a été fait par Léa Pool sur l'industrie du cancer du sein, et ce n'est pas joli joli cette histoire. 

En tout cas, Octobre Rose est une énorme arnaque.  Il est temps de reprendre en main votre santé. Ne laissez pas vos seins se faire détruire pour rien et surtout allez chercher les informations par vous-même. Ne faites des mammographies que si vous avez des signes d'appel et non pas parce que vous recevez une lettre et qu'on vous dit que c'est gratuit. Quand c'est gratuit, c'est vous le produit. 

mercredi 15 octobre 2025

Google attaque

 Une nouveauté sur Blogger : la possibilité de faire des aperçus sous forme de liens sur les gens ou sur les évènements dont on parle. Il va de soi que c'est Google qui va maîtriser ces liens et on va se retrouver avec une intrusion insupportable de style Wikipedia qui ne se réfère qu'à la presse subventionnée, donc sous influence gouvernementale. Alors non merci. J'espère seulement que ça va rester un choix, sinon, ce sera la vraie fin de la liberté d'expression. 

le problème des peuples, c'est que leur principale préoccupation pour le moment, c'est de savoir quoi mettre dans son assiette qui soit à la fois comestible et sain à prix raisonnable. C'est une lutte de tous les instants. Le choix du commerçant est vite fait, c'est supermarché ou hypermarché. Aller chez un boucher ou un boulanger est devenu marginal. J'ai connu l'époque des petits épiciers et des verres consignés. On y allait à pieds et on rencontrait en chemin tous les gens du quartier avec qui il y avait de vrais échanges de personne à personne. On ne se parlait pas entre voisins avec Whats'App et personne ne cherchait à savoir ce qu'on se disait. L'espionnite, ou surveillance extrêmiste, est la vraie maladie du 21ème siècle et pour ça, les champions sont Facebook et Google. Lorsqu'on fait une recherche et que dans les résultats se trouvent des liens vers Facebook, qui ne sont pas explicitement signalés, on se trouve avec un mur de connexion. Je n'ai pas de compte, donc, je n'ai pas accès. Instagram, c'est pareil mais Youtube aussi. Contrôle, contrôle, contrôle... Je l'ai déjà dit, les réseaux sociaux fonctionnent comme des sectes. Je ne sais pas si Twitter, maintenant X, est aussi sectaire car il y a des résultats visibles, même s'il y a une invitation à créer un compte pour découvrir plus. 

Un autre problème avec internet et l'information qui y circule, ce sont les ultra-protections que les navigateurs et moteurs de recherche se vantent d'offrir à leurs utilisateurs. Sous ce prétexte, l'information est bloquée. J'ai un exemple qui date d'hier. Un blogueur qui d'un coup ne peut plus accéder à l'écriture de nouveaux articles et à la publication des ses propres images avec l'excuse de la sécurité. Après plusieurs heures de lutte, il abandonne. Il faut dire que bloguer est un travail qui ne rapporte rien d'autre que des attaques personnelles lorsqu'on ne répète pas servilement le politiquement correct. Qu'on mette en doute un discours officiel et d'un coup, on est un vieux con qui pérore sur le banc devant la mare pour se venger d'une calvitie naissante ou d'une vie de merde avec une mégère ou un alcoolo. Ceux dont le discours pourrait avoir un intérêt fuient. Google aussi fait le tri. Aussitôt que ce que vous écrivez sort du chemin, il relègue votre lien en fin de 34ème page, là où personne ne va voir. L'intolérance est devenue la règle. Les gens se regroupent par famille d'opinion. C'est la fin de la diversité, un mot désormais utilisé pour autre chose. Tout ce dont vous ne trouvez pas les liens sur Google est invisibilisé. Google se prend pour un dieu et malheureusement, en haut lieu, on le laisse faire car "on" en profite.

La question est de savoir si un état démocratique peut accepter ça.

lundi 6 octobre 2025

Naufrage du Sewol, encore quelques questions.

 Il faut bien le dire, mes articles les plus lus ces derniers temps sont ceux sur le Sewol, ce ferry sud-coréen dont le naufrage a causé la mort de 304 personnes sur les 476 qui étaient à bord. Ces lecteurs ne sont pas tous sud-coréens. Ils viennent de partout. Comme moi-même, ils cherchent une explication au comportement impossible, pour un ferry de sa catégorie, qui a précédé le naufrage.

Parmi les évènements inexplicables par le récit officiel, il y a le vol plané d'un professeur accompagnant les étudiants, que les élèves témoins du fait ont décrit comme un homme de plus de 100 kilos, littéralement arraché de son banc avant de traverser sans toucher le sol toute la largeur du salon soit une dizaine de mètres et qui a disparu dans la mer en passant par les portes latérales du côté bâbord. C'est l'une des victimes non retrouvées. Ceci s'est produit lors du demi-tour serré, non expliqué, lui aussi, donc, tout au début de l'accident, imédiatement avant que le ferry gîte sur bâbord.

Limage qui me vient est celui du club de golf qui frappe la balle pour l'envoyer à l'autre bout du parcours. A un détail près, au golf, on ne peut pas parler d'accident. Le ferry lui-même n'ayant pu générer le "coup de club" il faut nécessairement qu'une force extérieure soit venue frapper le ferry qui en a transmis la force à cet homme, mais aussi à des réfrigérateurs qui se sont déplacés ou sont tombés dans les ponts inférieurs et aux véhicules, qui, étant attachés au sol ont simplement transmis cette force aux chaînes de fixation.

Une force extérieure ce peut être un relief, mais on a vu qu'il n'y en avait pas. Ce peut aussi être un autre navire. Un navire invisible à la surface et dont l'AIS est silencieux. Hum... je ne vois qu'un bâtiment militaire qui navigue sous l'eau, autrement dit un sous-marin. Cette hypothèse aurait le mérite d'expliquer la trace d'un objet de taille importante, une centaine de mètres, repérée par le radar qui se sépare de la trace du ferry après le choc et redisparait aussi soudainement qu'elle était apparue. 

Le Sewol indiqué en blanc, et à droite, imédiatement sous le repère rouge qui montre le moment de l'accident, la deuxième trace enregistrée par le radar, qui ne sont pas des conteneurs  mais un objet bien plus important.

Ceci expliquerait aussi la suite. Pas d'ordre d'évacuation, pas ou très peu d'aide au sauvetage, en empêchant ceux qui auraient pu aider d'intervenir car on ne sait pas qui a vu quoi et les morts ne parlent pas. Peut-être est-ce pour voir ce qui se passait sous le ferry, notament au cours des minutes précédant l'accident pendant lesquelles le ferry a constamment changé de cap, faisant comme une sorte de zig-zag, que l'échosondeur a été utilisé et non pour mouiller une ancre qui est peut-être tout simplement restée en place. La course en arc de cercle parfait du ferry penché pouvant n'être qu'une coïncidence que je n'explique donc pas. 

Il y avait des bâtiments de la marine américaine dans le coin. Leur espace de manœuvre était tout près. D'ailleurs, le "Bonhomme Richard" était l'un des premiers sur place, l'armée coréenne lui a interdit d'intervenir. Si sous-marin il y avait, c'était peut-être un essai. 304 morts pour une faute non avouée, ça fait beaucoup quand même. Bien entendu, ce n'est, encore et toujours, qu'une hypothèse. Pour les familles, par contre, ce sont 304 personnes qui manquent et manqueront toujours.

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jeudi 2 octobre 2025

Orthographe et grammaire

 Comme beaucoup de personnes, il m'arrive de me tromper lorsque j'écris un mot. Le plus souvent, il s'agit de fautes de frappe ou d'inattention. J'ai eu la chance d'avoir de bonnes maîtresses d'école qui ne laissaient rien passer et insistaient sur les règles d'écriture, les accords et les autres subtilités de la langue française. Qu'elles en soient remerciées. Nous allions à l'école pour apprendre l'essentiel.

Ce qui déclenche cet article est la réception d'un commentaire, que je n'ai pas publié, qui avait été modéré par Blogger, et qui comportait un nombre de fautes tellement important que j'ai du le relire pour être certaine de comprendre. On pourrait dire que je censure. Alors oui, je censure. Grossièretés, insultes, publicité, je censure, mais c'est la première fois que je suis confrontée à ce problème sur la langue française, du moins, à ce point, car d'autres commentaires, au moment où j'en avais, sont passés avec des fautes mineures qui n'affectaient pas la compréhension. D'autre part, j'ai moins de scrupules à le laisser dans le spam car, si j'en ai bien compris le sens, il laissait entendre que je n'avais pas toute ma tête.

Le français est une langue difficile. En réalité, toutes le sont pour qui ne les pratique pas, mais j'entends par difficile qu'elle est subtile et exigeante. "J'ai été au coiffeur" disait une voisine. C'est du language parlé, certes, mais ce qui était plus ennuyeux, c'est qu'elle était institutrice. On dirait aujourd'hui "professeur des écoles" mais ça ne change rien au fait qu'elle devait être un modèle pour des enfants qui allaient plus tard tous "être au coiffeur" car, qu'on le veuille ou non, "été" est le participe passé du verbe être et non du verbe aller. 

On critique parfois ma façon d'écrire. Elle serait "élitiste". Peut-être. J'ai été nourrie de littérature classique. Émile Zola et Victor Hugo ont été mes maîtres. Les grands auteurs français ont une bonne place dans ma bibliothèque. Je ne dédaigne pas les relire. 

Je crois utile de préciser que le langage des premiers "textos" facturés au caractère par des crétins avides de profit n'a pas été pour rien dans la dégradation de l'orthographe des jeunes générations. J'en ai reçu quelques uns, je n'ai jamais pu en décrypter le sens. Je pense à présent si le commentaire dont je parlais au début de cet article fait partie de ces messages étranges qu'il faudrait traduire. N'en ayant pas la clé, je le laisse donc dormir.

mardi 30 septembre 2025

Double nationalité et patrie

La nationalité, en droit, est le lien juridique et politique qui rattache un individu à un État souverain. 
La France ne fait aucune distinction entre ce qu'elle nomme les binationaux et les autres Français dans les domaines des droits et des devoirs liés à la citoyenneté française. Autrement dit, il est légal, en France, de servir plusieurs maîtres, moins élégamment dit, d'avoir le cul entre deux ou même plusieurs chaises.

Si on laisse de côté la dimension juridique de la notion de nationalité, on peut se poser la quesion de savoir ce que posséder plusieurs nationalités suppose. Qu'en est-il de l’attachement de la personne à la nation ? A quel pays le binational va t-il être fidèle ? Lequel vont-ils servir en cas de conflit ? Ces questions auxquelles il appartient à chacun de donner une réponse, posent un problème lorsqu'il s'agit d'élire une personne à une fonction publique. Tous les élus devraient évidemment être exclusivement français, dans le cas de la France, qui est mon pays. Je ne comprends même pas que ça puisse être discuté. 

Qu'on ait une afinité particulière avec un autre pays ou qu'on désire fuir le sien, ceux qui s'expatrient n'ont pas plus de raison de garder leur ancienne nationalité. L'adoption du nouveau pays devrait être une adoption absolue. Langue, coutumes, traditions, manière de vivre. Il est difficile, dans ce cas, d'envisager de garder une ancienne nationalité. Je comprends parfaitement que certains pays exigent certaines connaissances sur leur pays et une bonne maîtrise de leur langue avant d'accepter qu'un étranger prenne leur nationalité. Si c'est pour y travailler, un permis de séjour suffit. 

A cause de ce qui précède, et parce que certains naissent de parents de nationalités différentes, la double nationalité devrait être réservée aux enfants mineurs. A eux de choisir lorsqu'ils arrivent à la majorité. Je reconnais que l'abaissement de la majorité à 18 ans complique les choses car à cet âge, on n'a pas encore vraiment la maturité nécessaire pour décider d'un choix aussi important pour le reste de sa vie. Mais lorsqu'on a dépassé la cinquantaine et qu'on reste entre deux pays sans être capable de se décider, où est le problème ? 

L'un de mes anciens voisins, après un grave accident de voiture qui a failli le tuer, a décidé brusquement de s'expatrier au Canada. Il a fait des démarches, a trouvé un emploi, est parti en quittant femme et enfants et depuis, on n'a plus jamais entendu parler de lui, sauf chaque mois pour le paiement de la pension alimentaire jusqu'à la majorité du dernier. Il n'est plus français et c'est bien comme ça que je l'entends.

Parallèlement, je vois régulièrement passer des infos sur des binationaux qui importent en France leurs coutumes, leur religion (de façon envahissante) et affichent publiquement qu'ils sont fidèles à un autre pays bien plus qu'à la France dont ils profitent cependant largement grâce à leurs mandats électoraux ou à leurs postes bien placés dans la presse et l'audiovisuel. Et bien, je pense que nous ne devrions pas accepter ça. S'ils sont élus, il faut qu'ils fassent le choix de la France. Exclusivement.

D'autre part, si on est attaché à la notion de nationalité, on ne peut qu'être défavorable aux dispositions qui tendent à effacer celle-ci. L'Union Européenne est un bon exemple. On ne peut pas se sentir essentiellement français si on accepte de faire partie de cette bouillie de 27 états qui ont perdu leur souveraineté. La nationalité européenne n'existe pas plus que son drapeau. 

mercredi 24 septembre 2025

L'assassinat de Charlie Kirk - balistique et autres infos

 En cherchant ce sujet, je suis tombée sur plusieurs enquêtes de vidéastes. Celle que je partage aujourd'hui m'est apparue comme pertinente car son auteur examine pluieurs possibilités et souligne les invraisemblances de la version officielle. C'est en anglais, c'est aussi sous-titré en français. 1h03 :


samedi 20 septembre 2025

RGPD c'et quoi ?

RGPD c'est l'acronyme de "Règlement Général sur la Protection des Données". 
Il s'agit d'un texte réglementaire européen qui vise à harmoniser et renforcer les règles de traitement des données à caractère personnel au sein de l'Union européenne. 

Entré en application le 25 mai 2018, il protège les droits des personnes en accordant aux individus un meilleur contrôle sur leurs données personnelles, notamment le droit d'accès, de rectification, d'effacement, de limitation du traitement, de portabilité des données et d'opposition. D'autre part, il vise à responsabiliser les acteurs traitant de ces données. Les responsables du traitement et leurs sous-traitants doivent mettre en place des mesures techniques et organisationnelles pour garantir la protection des données. Enfin, il a été rédigé dans le but d'harmoniser les règles au sein de l'Union Européenne en créant un cadre juridique unique.

Pour plus de détails, rendez-vous sur le site de la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés)
https://www.cnil.fr/fr/reglement-europeen-protection-donnees

vendredi 19 septembre 2025

Charlie Kirk, Trump et les autres

 Comme tout le monde, j'ai été saisie par l'actualité outre Atlantique avec l'assassinat de Charlie Kirk. Si vous ne saviez pas qui était Charlie Kirk, il me semble que cette lacune a été largement comblée depuis une semaine mais vous pouvez encore vous informer en utilisant les ressources d'internet. Méfiez-vous cependant de ces sources peu fiables que sont les media subventionnés, qui ne vivent que grâce à ces subventions et sont donc redevables à leurs généreux pourvoyeurs ainsi que de Wikipédia, encyclopédie autoproclamée dont la plupart des contenus pourraient être discutés mais ne sont pas discutable du fait de leur fonctionnement sectaire.

J'ai, bien entendu, une opinion sur cet évènement. Je ne dis pas que j'ai raison, mais il me semble que le discours officiel est suspect. Si vous vous souvenez de l'attentat contre Donald Trump lors de son rallye à Butler, en Pennsylvanie, en juillet 2024, il va vous être difficile de considérer les deux affaires comme étant différentes. 

Je pense que l'élection de Donald Trump est une bonne chose pour les États-Unis car il fallait en finir avec la corruption que je pourrais appeler en raccourci "Obama/Clinton" mais a commencé bien avant eux et  comporterait bien plus de noms si on voulait tous les citer. Donald Trump bouscule ce qu'il nomme "le marais" et place ses pions. Il a de nombreux adversaires et doit utiliser certaines ruses  pour parvenir à les contrer. Je pense personnellement, même si je ne vais pas me faire que des amis, que ce tir qui a éraflé l'oreille du futur président des États-Unis était vraiment providentiel pour lui attirer la sympathie de ceux qui hésitaient encore. Que le tireur ait été immédiatement éliminé est un argument de plus. Plus de tireur, pas de procès. On a fait la même chose avec John F. Kennedy et la plupart des gens ignorent encore, 60 ans après, ce qui s'est réellement passé. 

Je vais vous dire honnêtement que je ne sais pas si Charlie Kirk est mort ou vivant. Ce que je pense, c'est que s'il est mort, il se peut que le tireur ait raté l'oreille. je ne dis pas que j'ai raison, mais la mort de Charlie Kirk est quand même une bénédiction pour les États-Unis. Ce tir en a fait un martyr. Pour ce qui est de l'auteur présumé et des circonstances, il faut compter avec l'arsenal policier et judiciaire américain pour embrouiller les faits. En deux mots, zéro confiance. 

A ce sujet, je vous suggère l'écoute de cette émission de Candace Owens, dont Charlie Kirk était l'ami et qui ne lâchera pas l'affaire. Version doublée en français, 1h05. Pour la version originale, cherchez sur Youtube. Je ne donne pas de lien. Merci d'avoir lu.

dimanche 7 septembre 2025

Porte conteneurs OOCL ZEEBRUGGE

 J'ai eu du mal à en trouver un dans la carte dont la position soit donnée par autre chose qu'un satellite, ce qui n'autorise pas à suivre la route. Le départ de ma réflexion a été un autre porte-conteneurs, CMA CGM SEINE, que j'ai aperçu à l'ouest de l'Afrique, à la hauteur de la Mauritanie. Les renseignements donnés par Vesselfinder, à qui j'ai emprunté cette capture d'écran, m'indiquaient qu'il provenait de Singapour. OOCL ZEEBRUGGE est aussi parti de Singapour. Le voyage doit durer environ 28 jours. Venant de là, n'aurait-il pas été plus court de passer par le canal de Suez ? 


Je pense que les cadres des entreprises qui gèrent les routes de ces navires pensent d'abord à la rentabilité. Il se peut que le passage de Suez soit devenu trop coûteux, en argent et en matériel, car le Moyen Orient fait prendre de gros risques à tous ceux qui s'y aventurent, de près ou de loin. Il faut se rendre compte des sommes en jeu. Le péage de Suez pour un porte-conteneurs s'élève à environ 500.000 euros. Il parait, car je ne l'ai pas vérifié moi-même, que le temps de transport est réduit d'environ 10 jours par rapport au contournement de l'Afrique. Malgré tout, lorsque je vois le nombre de navires de commerce qui justement passent par le sud de l'Afrique, il y a forcément un avantage.

Les navires passeraient au large de l’Afrique du Sud pour ne pas s’exposer aux attaques des rebelles houthis. Ceux-ci auraient déclaré que les attaques contre des navires venant de pays soupçonnés d’avoir des liens avec Israël, pays qu'ils estiment responsables des conditions humanitaires en Palestine, continueraient tant que les conditions en Palestine ne seront pas revenues à un niveau acceptable pour les civils, affirmant agir en soutien aux Palestiniens. Je comprends parfaitement leurs raisons. La sécurité des équipages et des navires est en jeu. 

Pour le reste, en débattre ne peut pas se faire dans le cadre de cet article que je termine donc ici. Tant pis pour le transport maritime. J'ai déjà pris des risques en écrivant en toutes lettres un nom interdit. Je suis donc obligée de déclarer que je n'ai aucun intérêt dans cette affaire, que je suis en bonne santé et que je ne suis pas suicidaire. On ne sait jamais.

samedi 30 août 2025

Une cagnotte pour le rêve de Diégo

 Diégo est un jeune étudiant français pratiquant le basket depuis déjà de nombreuses années à Limoges où il vit. Récemment, il a été contacté par une université américaine qui souhaite le voir évoluer dans son équipe de basket. C'est une chance inespérée pour Diégo qui va tenter le tout pour le tout afin de pouvoir s'y inscrire. Seulement les États-Unis, ce n'est pas la France et les études y sont extrêmement chères, hors de la portée de la bourse de Diégo. 

Sa famille a mis en ligne cette cagnotte dont le lien est ci dessous mais aussi en marge de ce blog. Il n'est pas dans mes habitudes de faire la promotion de ces cagnottes mais pour une fois, ça me parait justifié. 

https://www.leetchi.com/fr/c/aider-diego-a-etudier-aux-usa-1223877#MoneyPot--Contributions

Nul besoin de casser vos tirelires. Les petits ruisseaux font parfois les grandes rivières et on espère que, bout à bout, de petits dons vont remplir la cagnotte de Diégo. 

Ci après, un lien vers une vidéo pour que vous vous rendiez mieux compte du niveau du jeu de Diégo. Cliquez sur l'image pour ouvrir la vidéo.



Suivi de la tempête Fernand

 Lorsqu'on se rend sur le site Windy et qu'on cherche le suivi des ouragans, Fernand ne s'y trouve pas. Il a simplement disparu. Il n'y a d'ailleurs aucun évènement climatique dans l'océan Atlantique. Par contre, si on entre l'adresse de la tempête qu'on a précédemment utilisée, on constate quelque chose d'intéressant.

la tempête n'est plus répertoriée, mais à l'endroit où elle était supposée arriver, on constate un mouvement circulaire qui n'est pas anodin. 


Alors, Fernand va t-il générer un nouvel épisode de tempête dévastatrice en Europe ? J'aimerais pouvoir dire que non mais déjà, en Normandie, alors que Fernand est quand même plutôt au large de l'Ecosse, nous avons déjà du vent. Et ce n'est pas une image, je le constate moi-même en sortant.

A suivre...



vendredi 29 août 2025

Tempête en direction de la France ?

 Fernand n'est, pour le moment, qu'une tempête tropicale, même si on pourrait lui contester la dénomination vu l'endroit où il se trouve. Mais accordons lui tout de même car il est né sous le tropique du Cancer. 

Image du site Windy

Les alarmistes vont dire que la France est menacée d'un nouveau désastre météo. Je pense, pour ma part, qu'il va s'épuiser avant d'atteindre nos côtes. Nous en serons quitte pour quelques coups de vent mais sans plus. Malgré tout, ce n'est pas la première fois et il est inquiétant de voir que des phénomènes de ce type peuvent envahir des contrées dans lesquelles ils étaient auparavant inconnus. Lors d'une course de grands voiliers, on a aussi été témoin de trombes dans la mer Baltique. 

Fernand, à surveiller ? Pourquoi pas ? Lui, mais aussi les prochains.

mardi 26 août 2025

Voyelles d'un autre monde

 Avec l'apprentissage du norvégien, j'avais déjà été confrontée au "r" battu voisé, que je ne maîtrise toujours pas, il faut le dire. Je viens à présent de découvrir le "a" cursif culbuté. C'est une autre façon de vous dire que les lettres latines ne se prononcent pas de la même façon dans toutes les langues, et aussi que certaines langues ont bien plus que les cinq voyelles en usage en français de France. Je distingue car depuis un certain temps, je sais que le français de Belgique, Québec et autres pays francophones diffèrent dans leur prononciation. 

A propos de la prononciation, si vous voulez prononcer ce "a" particulier, qui s'écrit à l'envers, imaginez qu'enrhumé, vous mouchiez trop fort et que le mouchoir de papier se troue. Vous regardez vos doigts et la première chose que vous dites, c'est ça. C'est facile, les enfants le disent généralement spontanément à la première bouchée d'épinards. 

Cette voyelle n'existe pas en français et ce n'est pas la seule. Le i dur, qui n'est ni un i, ni un u, mais se prononce entre ces deux sons est non seulement difficile à prononcer, mais difficile aussi à entendre pour une oreille non habituée. Il existe dans les langues scandinaves et slaves. Il y a aussi, bien entendu, un i mou. C'est le son qu'on entend en français dans les mot bille. Qu'on ne prononce pas de la même façon les mots ville et mille est pour moi un mystère que je n'ai pas cherché à éclaircir d'autant que cheville et famille mouillent aussi leur prononciation.  

Un ami dont le français n'est pas la langue maternelle m'a un jour fait remarquer que le mot taureau avait deux o cachés. On les entend mais on ne les voit pas. Il y a aussi les lettres qu'on voit et qu'on ne prononce pas, les finales de conjugaison, les marques du pluriel, les e, les t, les s, les p muets et j'en oublie. Depuis le temps que je m'exprime en français, c'est devenu trop naturel pour que j'y prête attention. C'est en apprenant plusieurs langues étrangères que j'ai découvert que le français n'était pas vraiment facile.

Pour un étranger, le français est même une langue redoutable alors considérons nous comme chanceux de l'avoir apprise, de le parler et de l'écrire en respectant, autant que possible, les règles d'orthographe et de grammaire. C'est d'autant plus important que j'ai oui dire que la règle particulière de l'accord du participe passé avec le verbe avoir pourrait être en danger de disparaître.

samedi 23 août 2025

Le méchant mari et la bourrique

Ce qui suit est un conte paru en 1929. La façon d'écrire a bien évolué mais celle-ci est bien agréable.

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Il était autrefois dans la bonne ville de Nantes, un homme bête comme une taupe, balourd comme un ours, jaloux comme un cerf et méchant comme un ivrogne en colère. Le dit homme, qui avait pour nom celui de Bertrand Benoît, exerçait furieusement ses droits sur sa femme, l'injuriant, la tarabustant, la battant à toutes minutes du jour et de la nuit. Et la pauvre demandait souvent à ses parents pour quelle raison on l'avait accoutrée d'un homme si mauvais, si hargneux et si brutal. L'intérêt de la famille était en jeu, lui répondait-on. Et que lui importait l'intérêt de sa famille ; aurait-elle consenti à perdre les droits qu'elle avait, étant aimable et belle, à toutes les mignardises de l'amour. Non point. A cet effet elle avait choix d'un galant jeune, beau et bien fait, et qui plus est, malin comme une chouette, s'il est tant vrai que cette bête soit si finaude. "Tu me feras tourner en bourrique" répétait dame Benoît à son mari quand celui-ci la tourmentait et la gehennait. L'histoire dit qu'elle y tourna et comment :
 —Ma mie, m'aimeriez-vous plus encore, dit un jour le galant si je vous débarrassais de votre saugrenu bonhomme? 
— Oui, répondit-elle, plus encore s'il est possible. 
— Alors écoutez-moi bien, je vous ferai don d'une vieille ânesse que vous amènerez chez vous, quand maitre Benoît n'y sera pas. Et lorsque celui-ci rentrera vous vous cacherez dans le grand bahut et direz :  "Tiens, regarde, tu m'as fait tourner en bourrique". Quand sortira votre bonhomme vous viendrez me trouver et de lui nous ne parlerons plus jamais. 
Le soir donc, en rentrant chez lui, Bertrand voit l 'animal qui lui dit : "Tiens, regarde, tu m'as fait tourner en bourrique". Le mauvais mari ébaubi se mit à pleurer en caressant et en embrassant la tête de la bête que tout ce manège ne devait nullement amuser. Il la supplia de redevenir femme, promettant d'être aimable et doux à l'avenir. Mais le charme était accompli. Toute prière était inutile. Bertrand usa des menaces et des coups ; même résultat. Il l'amena alors dans sa chambre pensant qu'au contact des draps elle reprendrait sa forme première, son espérance fut déçue ; au bout d'un quart d'heure la bourrique impatiente lui envoya une ruade qui le décida à vendre au marché le lendemain cette mauvaise garce. Chemin faisant, maitre Benoît raconta son histoire à des voisins : "Tenez, voici ma femme; elle était tellement mauvaise que je l'ai fait tourner en bourrique." Or, il n'était pas aimé, on le craignait même, car sa méchanceté connue le faisait passer pour possédé du démon. On disait qu'il jetait des sorts et son aventure était bien pour le prouver.  La justice fut avertie et Bertrand à la question avoua ses relations avec les diables et les sorciers. Des lors son histoire fut brève : il fut pendu. Quant à sa femme, elle recouvrit sa première forme avec l'aide de son savant galant, hérite des biens de son ancien mari et fut par la suite très heureuse. 
Ce petit conte renferme divers bons enseignements à l'usage des personnes en âge de réflexion ; lesquels sont : qu'un mari doit être gentil avec sa femme et par cela l'empêcher de prendre galant qui sont pour la plupart des malignes gens pour estourbir les maris ; qu'on doit soigner l'opinion publique si l'on veut ne pas être occis ; qu'un homme doit se méfier des engeances des femmes et des galants et plus encore des gens de justice qui vous font dire mensonges, menteries et autres vilaines choses propres à faire pendre les gens. 

RAYMOND BONNARDEL

(La Vendée Républicaine)

vendredi 22 août 2025

Les conséquences de l'ouragan Erin

 Je vais être franche et c'est à la limite du coup de gueule, personne n'en a rien à faire de cet ouragan, à part ceux qui ont eu peur que ça traverse leur île car un ouragan, ce n'est pas rien. Un ouragan, ce sont des maisons dévastées, des arbres arrachés, des noyés, des gens perdus, des pluies diluviennes et un vent de  fou. Lorsqu'on voit des chiffres comme des vents de plus de 200 km par heure, on ne se rend pas bien compte, mais quand on le vit, c'est un enfer. 

Quand je constate mes statistiques et que je vois qu'un accident de chemin de fer ayant eu lieu il y a presque un siècle a eu presque cent fois plus de visites que le billet sur l'ouragan, je me dis que quelque  chose ne va pas bien. Mais alors, ce changement climatique dont la presse nous rebat les oreilles, c'est vrai ou ce n'est pas vrai ? En vérité, le climat n'intéresse personne. Tant qu'il n'y a pas de morts, on passe à autre chose. 

Et bien, ne vous en déplaise, voici les nouvelles de l'ouragan : Il n'a traversé aucune terre et c'est tant mieux. Pas de victimes à déplorer, pas de villes en ruine avec des tôles arrachées. Ne vous en faites pas trop, l'actualité va bien vous donner une ou deux mauvaises nouvelles. Il y en a tous les jours.



jeudi 21 août 2025

Les réseaux sociaux ou prétendus tels

 Il parait que tout le monde a un compte Facebook. Et bien non. Je n'en ai pas et deux de mes amis n'en ont pas non plus. Un autre en a créé un sous la pression de ses proches et ne s'en sert pas.

Toute ma famille communique sur Facebook et de ce fait, je suis écartée des nouvelles qu'ils y mettent. Dire que je m'en fiche, ce n'est pas vrai, la vérité est plutôt que je le déplore. Ça me navre. 

On ne me fête pas mon anniversaire "parce que ce n'est pas écrit sur Facebook" J'en déduis qu'avoir un compte Facebook efface la mémoire, la vraie, celle des gens. Si Facebook efface la mémoire, pourquoi Facebook n'effacerait pas aussi la capacité de penser et de réfléchir ? 

D'autre part, Facebook est un modèle dangereux pour les gens. Le réseau permet d'effacer une personne de son entourage. "Je ne lui parle plus, elle m'a bloquée sur Facebook". Cette petite phrase, entendue plusieurs fois me conforte dans l'idée que je fais bien de ne pas avoir de compte dans ce réseau qui, finalement, montre là une caractéristique anti-sociale. On ne s'explique pas, on ne se pardonne pas, on se bloque, et parfois, c'est pour l'éternité. 

Le second aspect désagréable, c'est le blocage qui vient d'en haut. Pas celui de vos proches mais celui des gestionnaires du réseau qui, sur leur propre initiative ou sous l'injonction du gouvernement, supprime des publications ou carrément des comptes qui ne "respectent pas les conditions". Facebook est donc une secte. Un lieu où seuls ont droit de s'exprimer ceux qui filent droit. Le mot pour les autres est "suspendu". 

Twitter n'échappe pas à la règle de la secte. C'est toutefois différent. Sur Twitter, les usagers peuvent s'exprimer beaucoup plus librement depuis que le milliardaire Elon Musk a racheté le réseau, cependant, ils le disent eux-mêmes: "Nous ne sommes plus bloqués mais nos publications sont invisibles". Ah oui, parce que j'ai oublié de préciser que tout le monde ne lit pas ce qui est écrit. Seulement une dizaine pris au hasard parmi les abonnés peut lire dans une sorte de journal qui change sans cesse. Social, vraiment ?

Il y a d'autres réseaux dont on ne m'a pas vraiment vanté les mérites. Il faut s'inscrire pour partager des images, des idées et je ne sais pas trop quoi d'autre. La seule chose qu'ils ont en commun, c'est d'empêcher les autres de voir et de ne pas vouloir vous désinscrire si vous avez commis l'erreur de cliquer. Sans doute pour pouvoir se vanter du nombre de leurs adhérents. 

Je n'ai pas parlé des forums de discussion qui sont, à mon avis, révélateurs de la manière dont une dictature fonctionne. Un "modérateur", je mets le mot entre guillemets car il est très mal choisi. Censeur ou directeur de pensée serait plus adapté. Un modérateur, disais-je, avec un ou plusieurs complices, impose sa façon de voir, censure, éjecte, non ceux  qui insultent, ceux-là restent, ils mettent de l'ambiance, mais plutôt ceux qui donnent des infos réelles qui dérangent. Je consacrerai peut-être un billet à part entière pour ça mais là, j'ai d'autres chats à fouetter.

Oublions les réseaux dans lesquels les seules choses admises sont les anniversaires, les chiens et les chats. Dans la vraie vie, on ne parle pas à beaucoup plus d'une dizaine de personnes non plus, mais on les choisit et quand on ne s'entend plus, on peut cesser de communiquer mais ça n'empêche pas de continuer à se dire bonjour. C'est ça, une société et c'est un énorme avantage. Personne ne vous dit à qui vous avez le droit de dire bonjour. 

lundi 18 août 2025

La guerre sous faux drapeau en Ukraine

La rencontre entre le président des États-Unis d'Amérique, Donald Trump et celui de le Fédération de Russie, Vladimir Poutine n'a échappé à personne. Elle a été abondamment commentée par tout un chacun et tout ce que la presse compte de journalistes plus ou moins corrompus. Ce qu'il en est sorti ? Rien, du moins en apparence. 

Tout pourrait séparer ces deux hommes. Vladimir Poutine, né dans un contexte d'après guerre difficile et dans une famille modeste a du gravir un par un les échelons pour parvenir au poste qu'il occupe à présent et a  largement mérité sa popularité auprès du peuple russe, même si, comme tout dirigeant, il a des opposants. C'est grâce à une détermination sans faille qu'il a transformé ce pays ravagé par le communisme et la corruption où peu de gens mangeaient à leur faim et dans lequel les différentes familles d'un immeuble devaient se partager les équipements ménagers en la Russie d'aujourd'hui. Il peut en être fier.

Donald Trump, pour sa part, est né dans une famille aisée. Ses parents lui ont transmis une grosse fortune et il n'a jamais manqué de rien. C'est un atout dans le monde occidental. On achète sa popularité en même temps que d'énormes propriétés, de gros avions et de somptueuses limousines. L'occident est un lieu où la fortune dirige le monde. S'il avait été pauvre, personne n'aurait fait attention à lui. Il est monté en popularité comme une star du showbiz. Ça n'enlève rien à l'amour qu'il porte à son pays, qu'il travaille à débarrasser de la corruption. 

Le prétexte à la rencontre était le conflit apparent entre la Russie et l'Ukraine. En réalité, il s'agit d'une tentative de l'OTAN, organisation terroriste officielle qui prend ses moyens dans les pays qui en sont membres, pour réduire à néant l'œuvre de Poutine et renvoyer la Russie à la pauvreté afin d'en exploiter les richesses. L'Ukraine n'est que le champs de bataille. Porochenko et ensuite Zelenski ne sont que des pions. Il n'y a pas besoin d'être bien malin pour s'en apercevoir. 

Depuis 2014, le régime de Kiev, mis en place par les États-Unis sous Barack Obama avec le coup d'état de Maidan, massacre les civils de la région sud est de l'Ukraine, le Donbass en bombardant les quartiers d'habitation, mais aussi et surtout les écoles, les crèches et les transports scolaires. Les armes sont fournies par l'OTAN,  dont la France fait malheureusement partie de nouveau depuis Sarkozy. 

Tout le monde a entendu cette partie délirante du discours de Petro Porochenko. Ceux que ça ne choque pas sont bien à plaindre.
"Nous aurons du travail, eux non ! Nous aurons des retraites, eux non ! Nous aurons des avantages pour les retraités et les enfants, eux non ! Nos enfants iront à l’école et à la garderie, leurs enfants resteront dans les caves ! Parce qu’ils ne savent rien faire ! Et c’est comme ça, précisément comme ça que nous gagnerons cette guerre !" 

Ce qui est le plus difficile à entendre dans ces propos, c'est le mot "guerre". Il parle de populations ukrainiennes, de compatriotes et dans les faits, il ne donne pas l'ordre de négocier loyalement avec les insurgés qui ont refusé le vol de leur démocratie par la ruse et la corruption, il fait bombarder les civils avec des bombes à fragmentation ou à sous munitions afin de faire le plus de dégâts humains possible. L’organisation humanitaire Handicap International avance que 98% des victimes de ces armes sont des civils. 

En 2022, après 8 années de massacre de la population civile russophone du Donbass, la Russie a été le seul état à intervenir militairement pour faire cesser l'hécatombe et empêcher l'OTAN de continuer sa  progression militaire vers son territoire. Les autres, dont la France, qui fabrique les armes, font partie des couards qui restent tapis en attendant de voir s'ils peuvent ramasser des morceaux. Cependant, en armant et en payant Zelenski, la France (et avec elle l'Union Européenne) a choisi le mauvais camp. Nous en reparlerons bientôt.

samedi 16 août 2025

La saison des ouragans

 La saison des ouragans a commencé dans l'Océan Atlantique. Celui que je suis aujourd'hui a été appelé Erin. Il a pris naissance à l'ouest de l'Afrique sous la forme d'une tempête tropicale qui s'est peu à peu renforcée pour passer aujourd'hui en ouragan de catégorie 5, la plus élevée.  Il a été prévu qu'il passe au nord de la République Dominicaine et qu'il poursuive sa course vers le nord, passant à l'ouest de l'île d'Hamilton dans quelques jours. 

Capture d'écran du site Windy sur Erin.

Bien que la trajectoire de l'ouragan Erin ne passe pas sur les Antilles, le temps va quand même se dégrader et la prudence reste de mise. Un ouragan est un phénomène météo extrêmement violent et il est arrivé que des personnes perdent la vie. On pense toujours à ceux qui vivent ces moments où ils perdent parfois jusqu'à leur habitation. 

La prétendue mort de Ben Laden au Pakistan


Un article déjà publié dont je n'ai pas changé une ligne. (La vidéo a été censurée, bien entendu.)

Ce qui suit est la traduction en français de la vidéo de l'interview donnée à une journaliste pakistanaise par l'homme qui habite la maison en face de la présumée résidence d'Oussama Ben Laden à Abotabad. C'est un peu long, mais ça vaut le coup d'être lu.

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Muhammad Bashir : Nous étions réveillés lorsque l'hélicoptère est arrivé,
Des personnes ont débarqué de l'hélicoptère et sont entrées dans la maison qui est présentée comme celle de Ben Laden,
L'hélicoptère est parti après avoir débarqué les personnes sur la terrasse de la maison.

La journaliste : Combien de personnes ont débarqué de l'hélicoptère ?

Muhammad Bashir : Environ dix ou douze.
Ensuite, l'hélicoptère est parti et pendant environ vingt minutes, il a tourné au dessus des montagnes environnantes.
Après vingt minutes, l'hélicoptère est revenu et avec lui, deux autres hélicoptères. L'un venait de la direction de Meghrab, l'autre de la direction de Shamal.
Lorsque le premier hélicoptère a atterri, il y a eu une explosion à bord et il a pris feu. Nous nous sommes précipités vers le complexe de Ben Laden. Lorsque nous sommes arrivés, l'hélicoptère était en feu. Après vingt minutes, la police et l'armée sont aussi arrivés sur place. La police et l'armée nous ont mis sur le côté et ont dispersé la foule. A mon avis, tous ceux qui étaient dans l'hélicoptère sont morts dans l'explosion, y compris Ben Laden s'il s'y trouvait.
Qui a emmené le corps de Ben Laden en Amérique ?
Parce que nous avons vu que l'hélicoptère américain avait explosé et que tout le monde dedans était mort.
Si les américains avaient mis Ben Laden dans cet hélicoptère, il aurait été explosé en morceaux. Si Oussama était dans cet hélicoptère, il aurait été tué avec les autres qui sont morts dans l'explosion et l'incendie.
Si l'hélicoptère qui transportait ces gens, Oussama inclus, a été détruit ici, comment les américains ont-ils pu dire qu'ils avaient emporté le corps de Ben Laden en Amérique ?
Il est surprenant d'entendre les déclarations du gouvernement des Etats Unis sur l'assassinat de Ben Laden.
Comment l'Amérique peut-elle déclarer avoir ramené Ben Laden dans l'hélicoptère ? Parce que l'hélicoptère américain qui a atterri dans le complexe a été détruit par l'explosion et le feu.

Journaliste : N'y avait-il qu'un seul hélicoptère ?

Muhammad Bashir : Un seul hélicoptère a atterri dans le complexe, celui qui a explosé. Les autres n'ont pas atterri. Les autres sont repartis sans atterrir dans la direction de mansera. Aucun autre hélicoptère que celui qui a explosé n'a atterri dans le complexe de Ben Laden. L'hélicoptère qui a déposé des personnes dans le complexe est le seul qui soit revenu atterrir dans le complexe pour reprendre les personnes, et l'hélicoptère a explosé.

La journaliste : Y avait-il des personnes dans l'hélicoptère qui a explosé ?

Muhammad Bashir : Oui, il y avait des personnes dans cet hélicoptère.

La journaliste : Comment savez-vous qu'il y avait des personnes dans cet hélicoptère ?

Muhammad Bashir : Nous avons vu les cadavres de ces personnes dans le complexe de Ben Laden.

La journaliste : Les cadavres des personnes qui étaient dans l'hélicoptère. Vous avez réellement vu ces cadavres ?

Muhammad Bashir : Bien sûr que nous avons vu ces cadavres !

La journaliste : Combien y avait-il de corps ?

Muhammad Bashir : Nous ne pouvions pas compter les corps, parce qu'il y avait le feu dans le complexe après que l'hélicoptère a explosé. Nous sommes entrés dans le complexe par la porte principale, qui était ouverte à ce moment-là. Lorsque nous sommes entrés, la police et l'armée n'étaient pas arrivés sur les lieux. Il y avait des officiels de quelques organisations avant que les militaires et la police arrivent mais ils n'ont empêché personne d'entrer dans le complexe. Beaucoup de personnes de la banlieue sont entrés et ont été témoins de ce que je dis. De nombreuses personnes du quartier qui sont entrés dans le complexe ont été les premiers témoins de l'accident. Nous avons vu que la porte était ouverte, nous sommes entrés. Nous avons vu que l'hélicoptère était en feu et les cadavres gisant autour dans le complexe.
Mais maintenant, la scène dans le complexe a changé. Les cadavres ont été retirés et emmenés ailleurs et il n'y en a plus trace.

La journaliste : Combien y avait-il là de cadavres ?

Muhhamad Bashir : Nous ne pouvions pas compter les cadavres parce qu'ils étaient carbonisés et mutilés, et il y avait des morceaux de corps disséminés partout. Les cadavres étaient éparpillés tout autour.

La journaliste : Quelle était la scène exactement, lorsque vous êtes arrivé ?

Muhammad Bashir : Je vous ai dit exactement ce que j'ai vu.

La journaliste : J'ai des difficultés à croire ce que vous dites.

Muhammad Bashir : Je suis en train de vous dire ce dont mes propres yeux ont été témoins.

La journaliste : Lorsque vous avez vu l'hélicoptère, que pensiez-vous qu'il faisait dans votre ville ?

Muhammad Bashir : Nous étions perplexes. Nous nous demandions pourquoi un hélicoptère venait à cet endroit. Je ne m'attendais pas à ce qu'un hélicoptère lance une attaque sur moi ou dans le voisinage de mon quartier. Nous présumions que cet hélicoptère venait mener une opération secrère sur la base militaire proche. Il n'y avait aucun signe de bataille ou de combat dans ce coin. Tout le monde devait probablement dormir lorsque l'hélicoptère est arrivé.

La journaliste : Lorsque l'hélicoptère s'est arrêté sur le complexe juste en face de chez vous, qu'avez-vous ressenti ?

Muhammad Bashir : J'étais mort de peur ! J'ai pensé, nous sommes des hommes morts à présent.

La journaliste : Comment les Américains sont repartis, après leur opération ?

Muhammad Bashir : C'est ce que nous demandons. Si leur hélicoptère a été détruit et qu'ils ont été tués, comment ont-ils pu repartir ?

La journaliste : Donc, vous déclarez que vous avez été témoin des cadavres de l'hélicoptère explosé avec vos propres yeux.

Muhammad Bashir : Oui, mais il y a autre chose. Je veux vous dire autre chose importante. Les personnes qui ont débarqué de l'hélicoptère sont aussi venues dans les rues et ont frappé à la porte des maisons des alentours. Ils nous ont ordonné de rester à l'intérieur, sinon, ils nous tueraient.
Les personnes qui ont débarqué de l'hélicoptère parlaient en langue pachtoune, comme s'ils étaient des Pachtounes.

La journaliste : Qui étaient ces personnes ?

Muhammad Bashir : Tout ce que je sais, c'est que ces personnes venaient de l'hélicoptère américain.

La journaliste : Oui, d'autres personnes ont confirmé que les personnes qui étaient descendues de l'hélicoptère parlaient en pachtoune.

Muhammad Bashir : Ils parlaient en pachtoune mais je ne peux pas dire de façon certaine s'ils étaient pakistanais ou américains, ni même si c'étaient des militaires ou des civils, mais ils parlaient pachtoune lorsqu'ils marchaient dans la rue.

La journaliste : Ces personnes ont-elles questionné sur Oussama Ben Laden lorsqu'elles ont frappé à votre porte ?

Muhhamad Bashir : Non, ils n'ont rien demandé au sujet d'Oussama, ils nous ont seulement menacé de nous tuer si nous sortions de nos maisons.

La journaliste : Ces personnes qui vous menaçaient vous semblaient-elles pakistanaises ?

Muhammad Bashir : Ils parlaient en pachtoune

La journaliste : Que disaient ces personnes ? Où étiez-vous exactement lorsque l'accident est arrivé ?

Muhammad Bashir : J'étais sur la terrasse de ma maison, d'où j'ai tout vu. De ma terrasse, j'ai assisté silencieusement à toute l'opération.

La journaliste : Vous n'étiez pas effrayé ? N'avez-vous pas essayé d'appeler quelqu'un ?

Muhammad Bashir : Mes enfants et ma famille m'appelaient du bas des escaliers dans ma maison. Je leur ai dit de rester tranquille et de rester à l'intérieur. Je ne savais pas du tout ce qu'était cette opération. Plus tard, nous avons découvert que c'était au sujet de l'assassinat de Ben Laden.

La journaliste : Comment êtes-vous entré dans le complexe de Ben Laden après le feu et l'explosion ?

Muhammad Bashir : A ce moment là, la porte du complexe était ouverte.

La journaliste : La porte principale ?

Muhhamad Bashir : Oui. Alors moi, comme des douzaines d'autres personnes, nous nous sommes précipités jusqu'au complexe et nous avons aussi été témoin de tout.

La journaliste : Donc, ces douzaines de personnes qui sont arrivées en même temps que vous ont vu les cadavres qui gisaient là ?

Muhammad Bashir : Oui, tous ceux qui sont entrés dans le complexe ont vu les cadavres et tout le reste.

La journaliste : parlez-nous des détails de la situation à ce moment-là.

Muhammad Bashir : je vous ai dit tout ce dont j'ai été témoin à ce moment-là. Quand nous sommes entrés dans la maison, nous avons vu les morceaux de l'hélicoptère partout, c'était la conséquence de l'explosion. Les morceaux de l'hélicoptère jonchaient le sol partout dans le complexe et dans la rue. Certains morceaux de l'hélicoptère ont même atteint ma maison et ma terrasse, à cause de la force de l'explosion.
Le complexe de Ben Laden est très grand, d'une superficie d'environ quatre kanal (entre 2 000 et 2200 m²)
C'est un grand complexe et personne ne peut le voir complètement en un seul coup d'œil. C'est un grand complexe. Nous avons vu les cadavres mutilés et carbonisés qui gisaient à cet endroit. Il y avait des morceaux de corps, des jambes, des têtes et des bras, et des mares de sang, dans ce complexe. Nous ne pouvions pas examiner les cadavres soigneusement dans ces terribles conditions. Puisque les personnes qui venaient de l'hélicoptère parlaient pachtoune, nous pensons qu'il est possible que les personnes qui sont mortes soient pakistanaises.
Mais le langage ne garantit pas la nationalité des personnes, les gens de l'armée et des services secrets ont la connaissance de beaucoup de langues. Il est possible que ceux-ci aient été des troupes américaines entraînées qui connaissaient le pachtoune courant. Ces personnes devaient parler pachtoune pour tromper les gens, comme une partie de l'opération.

La journaliste :  N'étiez vous pas effrayé lorsque vous avez vu les cadavres dans le complexe de Ben Laden ?

Muhammad Bashir : Nous étions beaucoup plus inquiets pour notre propre sécurité après avoir été témoin de l'accident.

La journaliste : Après avoir vu tout ça dans le complexe, comment êtes-vous sortis de là ?

Muhammad Bashir : L'armée est arrivée et nous a demandé de partir. L'armée a alors créé un périmètre autour du complexe et après l'avoir installé, ils ont sécurisé le périmètre.

La journaliste : Est-ce que Sahbrez, votre cousin, a aussi été témoin de l'accident ?

Muhammad Bashir : Oui, il est venu avec moi dans le complexe et a aussi été témoin de tout. La police ou les militaires, ont brièvement détenu mon cousin après l'accident.

La journaliste : Votre cousin est-il revenu ?

Muhammad Bashir : Oui, il a été relâché.

La journaliste : Avez-vous parlé avec lui depuis sa libération ?

Muhammad Bashir : Il est assigné à résidence. Nous ne sommes pas autorisés à le rencontrer ou à entrer en contact avec lui en aucune manière.

La journaliste : Comment êtes-vous sorti du complexe ?Après avoir été témoin du feu et de l'explosion de l'hélicoptère et des cadavres, combien de temps êtes-vous resté dans le complexe ?

Muhammad Bashir : Nous avons été dans le complexe environ cinq à six minutes. Il y a alors eu une petite explosion qui nous a poussés à sortir du complexe. Une fois sortis du complexe, nous n'avons pas été autorisé à y entrer de nouveau.

La journaliste : Pourquoi, à part vous, personne n'a parlé de ce que vous mentionnez ?

Muhammad Bashir : Je raconte ce dont j'ai été témoin. Cette ville est tranquille et pacifique. Je suis stupéfait de voir que les media décrivent cette région comme le repaire du terroriste Ben Laden. J'ai choisi de parler parce que j'ai vu que les media font passer les bonnes personnes de notre ville pour des terroristes.

La journaliste : Alors, les deux autres hélicoptères ont emporté les corps de ceux qui étaient morts dans l'explosion du premier hélicoptère ?

Muhammad Bashir : Non, les autres hélicoptères n'ont pas atterri. L'hélicoptère qui venait de Meghrab est reparti dans la direction de Shamal. L'hélicoptère qui venait de Shamal est parti vers Junok. Aucun hélicoptère n'a atterri pour retirer les corps. 

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Je n'ai pas traduit les commentaires de la présentatrice du journal de la chaîne pakistanaise , je retiens malgré tout qu'il y avait dans le complexe des plantations et un potager où poussaient des légumes et que le cousin de Bashir y travaillait comme jardinier. Deux hommes vivaient dans ce complexe, Arshad et Tariq, qui étaient clients habituels des boutiques locales. Bashir avait l'habitude de dîner en leur compagnie.

Tout ceci semble indiquer que la probabilité pour que Oussama Ben Laden ait été tué à cet endroit est de zéro. Par contre, le nombre de mensonges créés par les dirigeant corrompus des pays occidentaux, lui, tend vers l'infini. Pensez-y lorsque vous les entendez parler de la Syrie ou de l'Afrique.

False Flag n°1

 Faire un coup, si possible avec beaucoup de victimes visibles ou supposées, pour retourner l'opinion publique en sa faveur, c'est le but d'une opération sous faux drapeau. Si j'ai mis mon titre en anglais, c'est parce que l'opération majeure à laquelle on pense est évidemment l'attaque du 11 septembre 2001 sur les tours du Word Trade Center et le Pentagone. 

Cette attaque a choqué beaucoup de monde et le premier surpris a dû être Oussama Ben Laden lui-même, qui sortait d'un hôpital militaire américain où il avait subi une dialyse la veille, le 10 septembre et s'en retournait dans la zone désertique où il vivait tranquille depuis qu'il était retiré de la CIA. 

En dehors des invraisemblances flagrantes sur ce coup, la précipitation de la prétendue commission d'enquête dont les résultats ont été diffusés dans la presse avant qu'elle ne commence à enquêter est révélatrice et que dire de la réaction du Président Bush qui aurait vu les images du premier crash alors que personne ne les avait encore, surtout pas les chaînes de télévision ?

Oussama Ben Laden, le premier accusé dans cette histoire., a été remarquablement bavard, surtout après sa mort, intervenue au terme de la maladie invalidante dont il souffrait depuis déjà longtemps, le 13 décembre 2001, à Tora Bora. Les envoyés du gouvernement américain en Afghanistan sont arrivés trop tard pour appréhender un malade grabataire qui venait d'être inhumé dans la tradition wahhabite, une sépulture anonyme dans la terre, sans marque extérieure. 

La presse occidentale a rapporté :

"Oussama Ben Laden s'est échappé de Tora Bora, au début du mois de décembre : le général Tommy Franks, qui dirigeait les opérations depuis le commandement de Tampa, en Floride, n'y aurait vu que du feu. Selon le Washington Post, l'administration Bush estimerait avoir subi là le pire ratage de cette campagne, s'appuyant sur les analyses confidentielles des services de renseignement et de l'armée."

Les renseignements n'étaient pas mauvais mais sauf à retourner plusieurs kilomètres carrés de désert caillouteux, ils ne pouvaient pas y trouver celui qui s'était endormi paisiblement entouré des siens quelques jours plus tôt. S'ils avaient mis la main sur la dépouille, auraient-ils fait preuve d'une ignominie supplémentaire en tirant sur le cadavre pour dire qu'ils l'avaient tué dans sa fuite ? Je n'en doute pas vraiment. J'ai évidemment déjà publié sur ce sujet et aussi sur la prétendue attaque d'Abbottabad où des soldats américains auraient trouvé la mort dans l'explosion de leur hélicoptère, explosion vue par de nombreux voisins qui ont témoigné. Un sacrifice inutile pour ces soldats dont les familles n'avaient, pour se consoler de la perte de leurs enfants, que les mensonges du président Barack Obama. 

Le mystère des attentats lui-même se dissipe peu à peu à la lumière des nombreuses investigations néanmoins compliquées par le fait que les décombres ont été retirés précipitamment afin de laisser le moins de traces possibles aux enquêteurs. Il faudra sans doute longtemps avant qu'on sache le fin mot de cette histoire et ici, il faut entendre l'expression fin mot comme si on disait révélation finale.

vendredi 15 août 2025

Une petite revanche ?

 Mon dernier article, intitulé "faux drapeau" n'en listait pas. Je ne suis pas Wikipédia, je ne tente pas d'influencer qui que ce soit. Je dis seulement ce que je pense et vous avez le droit de ne pas être d'accord avec moi et de le dire en expliquant pourquoi. Dans ce blog, je me suis appliquée à chercher des explications rationnelles à certains évènements qui m'ont paru trop énormes pour être honnêtes. Je n'ai pas retenu ceux qui n'ont pas compris que me traiter de folle ou de Normande de l'arrière pays ne fonctionnait pas. Il en faut plus pour me décourager.

Je me souvient parfaitement d'avoir suscité des remous au moment de l'élection de Barack Obama parce que j'avais des doutes sur sa légitimité et sur la façon dont il allait mener les États-Unis d'Amérique, appelons ce pays par son nom. Les personnes dont il s'entourait ne me paraissaient pas dignes de foi et je l'ai dit. J'ai également cité une personne qui se présentait comme historien et à qui mes interlocuteurs ont dénié cette fonction, comme si pour faire des recherches en histoire, il fallait avoir un titre et être reconnu.

J'aimerais bien être, quelques instant seulement, dans les pensées de ces personnes pour voir ce qu'elles vont penser lorsque Barack Obama va se retrouver avec les menottes aux poignets. Il semble en effet que ce soit sur le point de se produire, mais vous avez le droit d'en douter. Nous autres, les Français, nous avons mené un roi à l'échafaud. La prison ne devrait pas trop nous effrayer pour un ancien président. Peut-être y aura t-il de nouveau des lecteurs qui vont s'indigner de ce que j'ose dire. Je les rassure, je peux me tromper. Quelqu'un d'aussi fortuné que Barack Obama a sans doute les moyens d'échapper à la justice de son pays pour avoir commis un crime de haute trahison. Souvenez vous que lorsque j'ai dit que Donald Trump allait revenir à la Maison Blanche, on m'a ri au nez. Alors à bientôt, pour d'autres nouvelles.

jeudi 14 août 2025

Faux drapeau

Une opération sous faux drapeau est une opération connue de peu de personnes et conçue pour tromper. Le but est de faire accuser une personne, un groupe ou une nation particulière et de désigner celui-ci comme le responsable d'un événement ou d'une activité, afin de dissimuler la source réelle de sa responsabilité.

Le terme "faux drapeau" ou "faux pavillon" vient de la marine et faisait à l'origine référence aux navires pirates arborant les pavillons d'autres pays pour surprendre leurs victimes. Lorsque le faux drapeau était  conservé, la responsabilité de l’attaque était imputée à tort au pays auquel le pavillon avait été emprunté. L'expression s'étend aujourd'hui aux attaques organisées par des pays contre eux-mêmes et donnent l'impression que les attaques sont le fait de nations hostiles ou de terroristes, donnant ainsi à la nation qui aurait été attaquée un prétexte pour une répression ou une agression militaire.

Ma propre opinion est qu'une opération sous faux drapeau ne peut être commise que par des lâches qui fuient leur responsabilité. Les attentats commandités et les assassinats sous contrats font également partie de ces lâchetés. Ce qui était auparavant le fait de pirates est devenu si courant que l'expression "c'est pas moi" pourrait être gravée au fronton de tous les édifices publics, mais bien entendu, cette opinion n'engage que moi.

Sur le sujet des faux drapeaux, je vous conseille la lecture de cet excellent article historique qui ne surprendra que peu de monde :
"Quand Israël créait un groupe terroriste pour semer le chaos au Liban"


mercredi 30 juillet 2025

Accidents dus aux infrastructures

 Mes deux derniers articles étaient consacrés à des déraillements qui concernaient le même matériel roulant, des locomotives à vapeur de type Mountain 241. Ils ont eu lieu, l'un en 1932 et l'autre en 1933.

Bien que la catastrophe, on peut l'appeler ainsi à cause du nombre des victimes, de La Croisille, ait été rapidement considérée comme n'ayant aucune cause. Il aurait suffit de considérer le déraillement du Paris-Bâle comme exemplaire. Un léger affaissement de la voie sur un passage à niveau a entrainé la sortie des rails de la grosse locomotive, qui a entraîné les voitures à la suite, fait sauter rails et traverses sur 200 mètres et démoli une partie de la gare. Les deux locomotives étaient identiques, avec chacune un fourgon et des voitures passagers, les trains roulaient tous les deux à 110 km par heure et les accidents se sont déroulés exactement de la même manière. Dire qu'il n'y a pas de cause à la catastrophe meurtrière de La Croisille, c'est sans doute faire preuve de mauvaise foi.

Plus près de nous, un déraillement spectaculaire a fait 7 morts et 70 blessés dont certains sérieusement, en gare de Bretigny-sur-Orge le 12 juillet 2013. 3 des victimes décédées se trouvaient dans le train, 4 attendaient sur le quai. Le train s'apprêtait à traverser la gare de Brétigny à environ 135 km par heure, ce qui est une vitesse normale à cet endroit. A l'entrée de la gare, une éclisse qui maintenait une jonction entre 2 rails s'est soulevée et retournée, entraînant le déraillement d'une voiture en milieu de train. Il s'en est suivi un chaos que je ne décris pas, il se trouve beaucoup d'informations détaillées à ce sujet. Mon propos est de souligner que malgré des normes toujours plus exigeantes et des performances accrues des rames, l'infrastructure, la voie, est primordiale. A n'importe quelle vitesse, le train aurait déraillé, même si on peut imaginer que les victimes auraient été moins nombreuses. Si l'éclisse avait été correctement fixée, il n'y aurait pas eu du tout de victimes. N'est-ce pas ce qu'on cherche lorsqu'on parle de sécurité ?

Je vais faire un parallèle avec la route, sur laquelle le gouvernement réduit la vitesse autorisée et la contrôle au moyen de radars qui sont de véritables tirelires pour ceux qui les exploitent. Parallèlement, les infrastructures sont dans des états qui obligent les automobilistes à s'avertir entre eux de telle portion défoncée ou des nouveaux nids de poule apparus après l'hiver. Ces dégradations sont également des facteurs d'accident. Malgré tout, la responsabilité est toujours portée sur l'automobiliste, pénalisé par des malus sur ses primes d'assurance, jamais sur celui chargé d'entretenir la route. Les routes nationales sont d'ailleurs devenue départementales, ce qui est une façon de faire porter la charge à d'autres que l'état, qui perçoit néanmoins les impôts. Il serait temps d'avoir une politique responsable en matière de sécurité et non simplement des fonctionnaires déjà outrageusement trop rémunérés qui ne pensent qu'aux fifrelins qu'ils encaissent sur le dos des utilisateurs. On entend souvent dire que la route tue. C'est vrai. La route et ses malfaçons, ses trous et son manque d'entretien.