mardi 1 septembre 2015

De la lâcheté en politique

S'il y a bien quelque chose que j'ai en horreur, c'est la couardise. Or, il faut bien en avoir conscience, la plupart des dirigeants de ce monde sont des couards.
Prendre des prétextes à la con comme le pseudo attentat dans le Thalys pour ne pas dire carrément ce qu'il en est, c'est à dire "Je suis votre président à la suite d'un vote bidon dans lequel vous n'avez pas eu le choix et je vous impose ce que d'autres m'obligent à vous imposer" c'est vraiment manquer du plus élémentaire savoir vivre, d'abord, et aussi faire preuve d'une lâcheté qui semble être devenue la règle dans le monde occidental.

Maintenant, pour comprendre un discours politique, il faut traduire :
"L’agression qui s’est produite vendredi dans le Thalys Amsterdam-Paris, qui aurait pu dégénérer en un carnage monstrueux est une nouvelle preuve que nous devons nous préparer à d’autres assauts et nous protéger"
 Comprendre :
"En plus de vous obliger à considérer nos maîtres comme des amis, Je vous annonce que vos libertés vont être drastiquement restreintes."

Exactement comme lorsque la marionnette malfaisante Condoleeza Rice disait "Nous avons la preuve que l'Irak détient des armes de destruction massives et nous vous les fournirons en temps utile", il fallait comprendre "Nous n'avons rien contre Saddam Hussein, mais les personnes qui manipulent le gouvernement des Etats-Unis ont décidé que nous devions implanter des bases en Irak".

De même que les concerts de gémissements sarkobéhachéliens du genre "Oh l'autre ! Il tire sur ses rebelles ! Vite, une révolution en Libye!" n'étaient que de fallacieux prétextes. Entre nous, j'aurais bien voulu voir la tête des mêmes si quelques agitateurs basques, corses ou bretons avaient décidé de renverser le gouvernement français.
On va d'ailleurs voir ça très prochainement, vu que le monde agricole, lassé qu'on se foute de lui, a décidé de venir voir comment ça se passe à Paris.

Il se peut que les couards du gouvernement fassent appel à une division blindée ou à des tireurs d'élite, vu que les Français sont leurs ennemis. Maintenant, ce sera selon que les militaires se considèrent comme des patriotes au service de la France ou bien comme des mercenaires au service de l'oligarchie. A moins que les instigateurs des attentats de New-York et d'Oslo n'en profitent pour faire un nouveau carton, qui sait...

En politique, Thalys rime avec factice et couilles rime avec trouille.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

D'avance, merci de vos réactions.