Le premier niveau de stress, c'est quand on dort d'un vrai sommeil, calme et profond.
Ensuite, c'est le calme, le bonheur.
Puis le stress de fonctionnement, on travaille, on conduit, on marche, un stress normal.
Au stade suivant, on est mal à l'aise, on ne sait pas ce que l'on a mais on n'est pas bien dans sa peau.
La suite nous donne des migraines, ou des maux d'estomac, ou des palpitations, c'est à ce stade qu'on va consulter un médecin, on pense être malade, avoir un cancer, faire de l'hypoglycémie, et bien entendu, la médecine ne trouve rien.
Et enfin, à la limite de ce que notre corps peut supporter...
...La panique.
La panique du samedi soir, par exemple, celle qui vous met dans un état second. Vous ne vous rendez plus compte de rien. Une grande souffrance et puis soudain cette fameuse "petite goutte"...
RépondreSupprimerLes trahisons.
Les amis.
Vous êtes sauvé, pour cette fois, cependant la blessure refermée laisse une cicatrice, douloureuse.
Par cette douleur, vous savez cependant que vous êtes en vie, encore en vie.
Mais est-ce cela qui est important ?
La cicatrisation sera-t-elle achevée un jour ? Il restera tout de même une trace ; à chacun de faire de cette trace une ligne si ténue qu'elle ne sera gênante pour personne, ni pour soi, ni pour les autres - ou bien de cultiver une énorme boursouflure horrible à voir et à supporter.
Parfois, on n'a pas le choix et la chéloïde s'impose d'elle même avec sa peau tendue et fragile qui saigne à la moindre écorchure.
Non, Lolasellamalaluna, la blessure ne guérit pas.
RépondreSupprimerpudiquement, on y met un pansement pour que les autres ne soient pas témoins, mais dessous, la plaie se creuse toujours plus profondément et elle n'en finit pas de traverser.
Elle vide l'être de sa substance sans jamais l'achever, le torturant jour après jour, nuit après nuit, ne touchant jamais à sa vigilance, pour qu'il se voit souffrir et ne trouve d'apaisement que le temps de mieux attendre le prochain combat.
Mais c'est un monde intérieur, et comment mieux le décrire que de dire qu'il est inconnu de ceux qui ne l'ont jamais vu. Que c'est un monde dans lequel on n'entre pas de son plein gré et duquel on ne peut sortir volontairement.
Zétes bien sérieuses mes p'tites femelles ! Moi je suis couvert de cicatrices ...Ah ! DORMIR ! DORmirrr...
RépondreSupprimerDormir ?
RépondreSupprimerMais z'avez eu une semaine entière de méditations transcendantales et transversales pour ça !
Nous z'aut' on a besoin de vous maintenant ! Allez, au travail...
Bonsoir Général,
RépondreSupprimerMon Antonov An-225 Mriya ayant eu du mal à atterrir dans mon allée, j'ai du remettre en place les tulipes de l'adjudant qui avaient été quelques peu dérangées.
Le temps de remettre ma nuisette de camouflage et j'arrive au mess.
L'abbaye n'est pas loin. Demain matin dimanche, j'irai à la messe...
RépondreSupprimerC'est presque pareil, on y sert des mets délicats et on y boit du vin.
Pan, pan, pan, Peter pan !
Toc, toc toc...
Voici la porte du confessionnal qui s'ouvre : entrez jeune fille... Confiez moi vos tourments !
Quelle est la différence entre un général et un curé ? Il n'y en a pas : les deux font du baratin.
Buona notte !
C'est ^pas tout le monde qui connait l' ANTONOV ! Oussé ktu a appris ça ? Quand tu travaillais pour le KGB ?
RépondreSupprimerJe ne suis pas la larve ignorante que tu imagines, Général.
RépondreSupprimerJe sors parfois de ma cambrousse pour aller voir ce qui se passe sur les terrains d'aviation.
J'ai, malgré ma sainte horreur de l'altitude une attirance particulière pour ce monstre, qui est aussi une merveille de technique.
J'ai également eu le plaisir de voir (et surtout entendre) son petit frère, l'Antonov 124 passer au dessus de chez moi.
Pas pu prendre de photos, c'était la nuit (mais j'en ai à terre, de jour)
Mon avion fétiche reste quand même le Fouga CM170 Magister que la patrouille de France a magnifiquement mis en valeur jusqu'en 1980 avant d'être affublée de l'Alpha Jet qui est loin d'avoir la même classe.
Je connais ton attirance pour les monstres merveilles de technique .
RépondreSupprimerAlors voilà, moi je n'y connais pas grand chose en aviation, si ce n'est qu'on affirme que ça peut pas tomber - mais je cherche toujours malgré moi la ficelle au bout de laquelle ces zozios sont suspendus, c'est dire !
RépondreSupprimerRestons civils ! J'aime beaucoup deux modèles de ce véhicule : le playmobil offert à mon fils et qui dort au grenier... et la Caravelle, car pour la ligne, si on excepte le Concorde, elle n'avait pas de rivale, ni de rival.
Cependant, compte tenu de ma claustrophobie irrépressible (et de certains événements personnels), c'est pas demain la veille que je retournerai au ciel !
De toute façon, ni la Caravelle ni le Concorde ne volent plus et le seul ciel qui pourrait-être à ma portée serait le septième, mais faut avoir le bon "véhicule".
Pas simple à trouver.
Je reste donc platement sur le plancher des vaches et me contente d'envier les hirondelles...
LOLA viation légére , esayez le Cerf Volant ! en rut de préférence .
RépondreSupprimerUn peu MOU comme réponse... (Attention, nous sommes surveillés, donc surveillons notre langage. Tout débordement sera sévèrement sanctionné.)
RépondreSupprimerLOLA ! j'vous ai raconté l'histoire de WONDERWOMAN , SUPERMAN et l 'HOMME INVISIBLE ?
RépondreSupprimerDis Cousine krn, je crois que le Général est souffrant. Faudrait faire quelque chose : il radote et voilà la cinquième fois en trois jours qu'il veut me raconter la même histoire qu'il m'a déjà racontée.
RépondreSupprimerÇa se soigne ça tu crois ?
C'est à cause de la photo dans le jardin , un joli jardinet d'ailleurs .
RépondreSupprimerAllo ; appelle 95 C ET 80 A ...Répondez ...
RépondreSupprimerKRN 100 ! Baby , pourquoi y a une poubelle à coté de mes posts ? trouve ça désobligeant !
RépondreSupprimerTu rigoles petit, si je te colle mon 110 D en guise d'oreillettes, tu n'entendras plus la tour de contrôle...
RépondreSupprimerTéléphone over ! (snifff)
RépondreSupprimerTour de contrôle, nous pouvons reprendre nos exercices.
Azimut je vous prie ?
180°
RépondreSupprimer180° ???
RépondreSupprimerOuille ! Ma tête se brouille !
Mayday, mayday, mayday...
Quelle est votre position je vous prie ?
RépondreSupprimerJe répète, quelle est votre position ?
EN LEVRETTE ? OVAIRE .
RépondreSupprimer... de terre...
RépondreSupprimerTrès plat, effectivement !
Ce site est de plus en plus convenable , je m'en réjouis .......AAAARRRGGHHH ! Sorry !
RépondreSupprimerKoikinia Père Ubu ?
RépondreSupprimerPour les réclamations voyez le Général.
C'est le délire total, là!
RépondreSupprimerça se barre en sucette.
Puis-je suggérer un retournement de la situation ?
Je me suis laissée dire que certains n'appréciaient pas du tout, du tout...
RépondreSupprimerÀ la guerre comme à la guerre.
Faut faire front !
Kilo Roméo November à Papa Alpha Tango :
RépondreSupprimerLa piste du jardinet est trop courte, même pour le Baron Rouge. Renoncez.
Bien !
RépondreSupprimerJe commençais à sombrer dans la mélancolie !
Fait un temps affreux, il pleut sur Paris paraît-il et il pleut ici aussi.
J'ai commencé à remplir les cases de mon blog. Vais faire un peu de piano, ça va me dégourdir les doigts et mon jardinet est détrempé - un hydravion peut-être (sur l'étang) ?
Nouvelles du Front : Le sinistre Fourniret , dans son intervention ultime , brisant sa loi du Silence, a décerné "bons " et "mauvais" points aux avocats et magistats , en termes pompeux , condescendant (!) , ironiques ....Ce petit homme , autodidacte , dévoreur de dictionnaire , infatué de sa personne , a décidemment toutes les audaces . Attendons le verdict .
RépondreSupprimerCette histoire est lamentable. Elle montre tellement de travers des êtres humains, tant dans le box des accusés qu'autour de lui.
RépondreSupprimernous, les hommes, sommes bel et bien capables du meilleur et du pire.
« Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire ».
RépondreSupprimerAlbert Einstein.