lundi 15 décembre 2008
obscurité et lumière
le "yin-yang" est une notion philosophique, une synthèse de deux aspects de l'opposé pour certains phénomènes naturels qui se relient les uns aux autres et les deux aspects opposé d'un même phénomène.
Il n'y a pas de yin sans yang, comme il n'y a pas de féminn sans masculin.
Tout est équilibre. Marée basse d'un côté, haute, de l'autre. Quand il fait jour en Alberta, il fait nuit en Suisse. C'est un mouvement, et ce mouvement est parfaitement illustré par le tai chi. Cette alternance d'appuis qui fait appel au corps entier.
Cela explique parfois pourquoi, lorsqu'un côté va bien, l'autre va moins bien.
Le dessin a été réalisé à l'aide du logiciel Photophiltre
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... et c'est toujours en allant vers un des pôles qu'on oublie que son existence dépend de celle de son contraire... et que l'équilibre nécessite l'existence et la complémentarité des deux.
RépondreSupprimerL'illustration est très belle.
Merci pour cette critique positive.
RépondreSupprimerJe crois que je commence à savoir utiliser l'outil informatique pour mes images. Ce qui ne me paraissait pas évident au début.
Bien que ce soit un petit logiciel ultra-simple (rien à voir avec Photoshop) il y a des possibilités intéressantes.
Pour ce qui est de l'équilibre, on pourrait dire sans se tromper que tout est en inter-dépendance.
C'est le battement d'ailes du papillon qui engendre le tsunami.
On peut dire "dialectique" - déjà à l'âge de 17 ans j'ai accepté cette phylosophie. Comme notre vie est haut ou bas, comme notre humeur, dans les bonnes nouvelles il y a qq mal mais le contraire aussi, etc.
RépondreSupprimerKrn, si t'as des problèmes en faisant qqchose avec tes images, dis moi, je peux t'aider, je metrise assez bien photoshop !
aujourd'hui je ne peux pas plonger plus sur vos blogs, hier j'ai dormit 4 heures seulement. dommage, il y a bcp de chose a attrapé :)
Les heures de lumière d'Igor empiètent sur ses heures d'ombre...
RépondreSupprimerIn medio stat virtus... mais la passion ne se contente souvent pas du «juste milieu». Je comprends ça.
Tu sais, Igor, «nous» ne sommes pas près de disparaître! N'est-ce pas, KRN?
Quant à la dialectique, comme historien, je connais assez...
Non non non ! Doréus, ici nous sommes, ici nous resterons. Bon, à moins qu'une subite lubie du gouvernement occulte du monde ne décide de supprimer l'internet... mais ça ne va pas ariver demain matin.
RépondreSupprimerEt puis, là, pour le coup, je bougerais.
Igor, ce serait avec plaisir, mais je n'ai pas photoshop.
RépondreSupprimerEn fait, vu que je fonctionne avec Linux, je vais sans doute adopter the gimp. C'est toujours de l'open source.
Doreaus : In medio stat virtus... ouiii, surtout pour un scorpion comme moi :)
RépondreSupprimerKrn : je voulais dire que si t'as une photo et une idée mais tu ne sais pas comment faire, j'ai photoshop, je peux t'aider j'espère...
Scorpions d'octobre
RépondreSupprimerne sont pas sobres
Scorpions de novembre
aiment le gingembre.
(silence)
Je n'ai que ça? Igor, des idées. Mais je commence d'une façon et ce que je vois me fait souvent changer d'orientation au milieu de la réalisation.
Tu vois, par exemple, le mot "scorpion" et ça y est, c'est parti.
Doréus, la passion en tant qu'avidité n'engendre que des déceptions, soit quand elle s'affaiblit, soit quand elle nous dévore.
RépondreSupprimerVrai, mais la passion, la vraie, celle qui fait se dépasser, elle, est l'essence de la vie.
RépondreSupprimerElle naît de l'amour de la vie et perpétue l'amour et la vie.
C'est celle-là qui me fait vivre, vibrer et apprécier la vie.
Entendu comme ça, sans doute,
RépondreSupprimerJe crois qu'il faut s'entendre sur la signification des mots, la passion me semble tellement proche de ce qu'on ne peut pas maîtriser, comme la colère, qu'il me semble toujours que c'est négatif.
Je comprends. Enfin, je pense comprendre.
RépondreSupprimerMaîtriser, non. Guider, peut-être? La passion peut quand même être assujettie à des objectifs ou des priorités plus grandes qu'elle.
La passion, comme la colère, c'est l'énergie brute, quelque part.
Comme il est difficile de répondre à cette question lorsqu'on n'a pas la sérénité nécessaire et que tout semble vous dominer.
RépondreSupprimerDoréus, vous êtes un exemple de tempérance, malgré un caractère que je soupçonne bouillant.
Croyez-moi, je suis soumise à bien des émotions que je ne contrôle pas. Or, si certaines me remplissent de joie, d'autres me blessent.
Bouillant, vous dites?
RépondreSupprimerUn peu...
Mais je vis dans un monde bien Anglo-Saxon... qui aime le beige.
J'ai appris la tempérance comme instrument de survie.
Cela ne m'empêche pas de me livrer à ce qui me passionne!
En passant, j'aime beaucoup votre musique (dont l'apparition m'a beaucoup surpris au départ). Drôle, cette pièce en majeure qui est pourtant si pleine de mélancolie.
RépondreSupprimerJe vois bien pourquoi Momo l'associe à La leçon de piano de Michael Nyman.
Momo m'étonnera toujours. J'ai découvert la leçon de piano de Michael Nyman il y a peu.
RépondreSupprimerCelle-ci est la valse d'Amélie, de Yann Tiersen.
Curieux que vous la trouviez mélancolique, elle me fait un effet euphorisant. Je ferme les yeux et je me vois danser sans toucher un pied par terre.
Mélancolie... mais pas nécessairement tristesse. C'est dans le rythme et le jeu de la main gauche que je la ressens. La main droite est effectivement plus légère et je peux voir pourquoi la pièce vous donne l'envie de danser.
RépondreSupprimerMerci de cette petite bulle de douceur musicale.