mercredi 1 juillet 2009

Maria Valtorta


Si vous saviez quel esclavage c’est que d’être instrument de Dieu […] Cela entraîne sommeil, faim, souffrances, fatigues, envie de penser à autre chose, de lire des écrits qui ne soient pas des paroles de source surnaturelle, de parler et d’entendre des choses ordinaires, l’envie d’être et de vivre comme tout le monde, ne serait-ce qu’un seul jour : tout cela, la brûlure inexorable de la volonté de Dieu les empêche de l’avoir et de le réaliser. Sur tout cela, la hargne des hommes dépose son sel et son acide, comme si le maître de la galère mettait du sel et du vinaigre sur les brûlures de ses esclaves

Maria Valtorta
"l'Évangile tel qu'il m'a été révélé" (Il Poema del Uome Dio)

7 commentaires:

  1. Ce n'est pas courant, me semble-t-il, d'entendre des mystiques tenir de tels propos. On croirait entendre une personne qui souffre d'attaques de panique. Pourquoi ce billet ? Qu'est-ce qui l'a inspiré ?

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  2. Bonne question.
    Un sursaut pour vivre comme les autres peut-être alors que je me sens de plus en plus faite pour le sacrifice.
    Tout a commencé hier soir.

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  3. J'avais allumé quatre bâtonnets d'encens et l'un d'entre eux s'est éteint.
    J'ai brûlé plusieurs allumettes en vain et ça m'a troublée.

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  4. C'était lequel de bâtonnet d'encens ? Troublée ? pourquoi ?

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  5. Un sublime encens rosicrucien que j'avais allumé pour moi.

    La fumée des autres s'est envolée vers le ciel, comme d'habitude.

    C'est la première fois que ça m'arrive et ça fait des dizaines d'années que je brûle de l'encens.

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  6. Maria Valtorta a dit avoir écrit ces "évangiles" sous la dictée du Christ, remplissant des cahiers les uns après les autres sans hésitations ni ratures.

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  7. En fait, je me demande ce qui pousse ces femmes (car ce sont principalement des femmes) à laisser de côté toute vie sociale pour accepter une vie de souffrances pour racheter les péchés de l'humanité.

    Il doit y avoir une sacrée contrepartie. Mais comment avoir la certitude que ce n'est pas en vain ?

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