Qu'elle vous apporte la joie et l'insouciance,
La santé, la gaîté et l'amour.
A la mort en terre bourbonnaise de l'évêque irlandais Menulphe, vers le VIIe siècle, son fidèle serviteur, Blaise, bredin comme une huitre, perça un trou dans le flanc du sarcophage du saint homme, afin d'y passer la tête pour embrasser une fois de plus son vénéré maître.
Blaise est ressorti "débrediné" de cette aventure.
Saint-Menoux est devenu lieu de pélerinage, et il est de bon ton de passer la tête dans la débredinoire afin d'y abandonner sa folie.
Mais attention, ne pas toucher la pierre du sarcophage avec sa tête, sinon l'on hérite de la bredinerie des autres !
En réalité, cette débredinoire pourrait être bien plus efficace si elle était remise à sa place initiale.
En effet, La débredinoire, telle qu'elle se présente ordinairement, a une valeur d'énergie assez basse, et l'on ne craint rien si l'on met la tête dans l'orifice prévu à cet effet.
En revanche, lorsqu'on se rend compte que cette machine d'un autre âge peut être activée par un "point d'acupuncture" situé très près, on est stupéfié devant l'énergie dégagée (270 000), qui serait sûrement supérieure si l'église était remise correctement en ordre de marche, auquel cas elle atteindrait la valeur de 1 242 000 u.B.
Ainsi, il faut bien l'admettre, la débredinoire est, réellement, un instrument de soin qui donne, lorsqu'on l'utilise correctement, l'équivalent d'un électrochoc de forte intensité à celui qui s'y soumet. Cela est certainement très efficace dans le cas de certaines dépressions nerveuses ou de désordres énergétiques.
Il redescend de l’échelle - haute, haute, haute,
Et, depuis, le hareng saur - sec, sec, sec,
Le premier jour Dieu créa la vache.
Dieu dit : "Tu dois aller au champ avec le fermier toute la journée et souffrir sous le soleil, avoir des veaux et donner du lait pour soutenir le fermier. Je te donne une durée de vie de soixante ans."
La vache répondit : "C'est une sacrée vie et dure que tu veux pour moi pendant soixante ans. C'est d’accord pour 20 ans et je te rends les quarante autres."
Et Dieu fut d'accord.
Le deuxième jour, Dieu créa le chien.
Dieu dit : "Reste assis toute la journée sur le seuil de la porte de la maison et aboie sur quiconque entre ou passe devant. Je te donne une durée de vie de vingt ans."
Le chien dit : "C'est trop long pour aboyer. Donne-moi dix ans et je te rends les 10 autres."
Dieu fut à nouveau d'accord (soupirs).
Le troisième jour Dieu créa le singe.
Dieu dit : "Amuse les gens, fais des tours savants, fais les rire. Je te donne une durée de vie de vingt ans."
Le singe répondit : "Faire des singeries pendant 20 ans ? C'est trop ennuyeux ! Le chien a rendu 10 ans, non ? Alors je fais pareil, d’accord ?"
Encore une fois Dieu fut d'accord.
Le quatrième jour Dieu créa l'Homme.
Dieu dit : "Mange, dors, joue, fais l’amour, amuse-toi, ne fais rien. Je te donne 20 ans."
L'homme s’exclama : "Quoi ? Seulement vingt ans ? Rien à faire. Écoute, je prends mes 20, les 40 que la vache a rendu, les 10 du chien et les 10 du singe. Ca fait 80. D’accord ?"
"Accepté !" répondit Dieu, "Marché conclu".
Et c'est ainsi que pendant les vingt premières années de notre vie nous mangeons, dormons, jouons, faisons l’amour, nous nous amusons et ne faisons rien, durant les quarante années suivantes nous travaillons comme un forçat au soleil pour entretenir notre famille, pendant les dix années suivantes nous faisons des singeries pour distraire nos petits-enfants et les dix dernières années nous sommes assis devant la maison à aboyer sur tout le monde !
“I am a most unhappy man. I have unwitingly ruined my country. A great industrial nation is now controlled by its system of credit. We are no longer a government by free opinion, no longer a government by conviction and the vote of the majority, but a government by the opinion and duress of a small group of dominant men”
Woodrow Wilson 1919 , twenty-eighth President of the United States.
"Je suis un homme des plus malheureux. J'ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est maintenant contrôlée par son système de crédit. Nous ne sommes plus, ni un gouvernement par la libre opinion, ni un gouvernement par la conviction et le vote de la majorité, mais un gouvernement par l'opinion et la coercition d'un petit groupe d'hommes dominants"Woodrow Wilson 1919, trente-huitième Président des Etats Unis.