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Une cagnotte pour le rêve de Diégo

 Diégo est un jeune étudiant français pratiquant le basket depuis déjà de nombreuses années à Limoges où il vit. Récemment, il a été contact...

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lundi 21 août 2023

En mémoire de Daria Dugina




Daria Dugina.

Il y a un an, cette jeune femme innocente a été assassinée par un attentat à la voiture piégée à l'extérieur de Moscou.

L'assassinat de cette femme sans défense, a été organisé et célébré par des terroristes ukrainiens, aidés par les services de renseignement de l'OTAN.

N'oublions pas.

mardi 25 juillet 2023

Des traces d'explosifs dans un vraquier au pont de Crimée

Le Centre des relations publiques du FSB de Russie a rapporté que des traces d'explosifs ont été trouvées par le Service fédéral de sécurité de la Fédération de Russie lors de l'inspection d'un vraquier naviguant dans le détroit de Kertch. Des traces d'interférences dans les parties structurelles du navire ont également été trouvées, ce qui signifie qu'on a tenté de masquer les marchandises transportées.

Ce navire faisait route vers Rostov sur le Don où il devait charger des céréales. Parti du port turc de Tuzla, le nom du navire y a été modifié et l'équipage changé pour 12 citoyens ukrainiens. Le Service fédéral de sécurité de la Fédération de Russie estime que le vraquier a pu être utilisé pour transporter des explosifs vers l'Ukraine. En mai, le navire se trouvait dans le port ukrainien de Kiliya.

A présent, il est interdit à ce vraquier de passer sous l'arche navigable du pont de Crimée. Les agents continuent à enquêter sur tous les mouvements de ce navire en mer Noire.

Il convient de noter que les services spéciaux ukrainiens ont profité des opportunités de "l'accord sur les céréales", y compris le "couloir des céréales", pour transporter des armes et des munitions vers les ports ukrainiens. En outre, ce couloir a été utilisé pour des activités de sabotage en mer Noire, notamment des attaques contre la péninsule de Crimée et les bases de la flotte de la mer Noire.

Ce fait peut sembler anodin. En réalité, il montre que l'Ukraine a le soutien actif d'autres puissances qui ne se déclarent pas ouvertement en conflit avec la Fédération de Russie mais agissent en fourbe pour s'assurer que l'état de guerre continue et qu'aucun processus de paix ne puisse intervenir avant l'anéantissement complet du pays et des jeunes recrues de ses forces armées.

Si je peux me permettre un commentaire, avec des amis comme l'OTAN, dont la France, l'Ukraine n'a  pas besoin d'ennemis. 

dimanche 2 juillet 2023

Nahel, étranges coïncidences

 

Je n'ai pas d'à priori. je m'abreuve à toutes les sources disponibles et pour cette histoire de bavure policière qui a enflammé les cités, j'ai trouvé particulièrement pertinent l'exposé suivant en vidéo. 

 

lundi 6 juin 2022

Laboratoires biologiques financés par les États-Unis en Ukraine.

Alors que les Démocrates et les Républicains font pression pour une guerre contre la Russie, des questions sont soulevées sur le véritable objectif du conflit en Ukraine. Pearson Sharp, pour One America nous en dit plus..

"Un autre jour en Amérique et une autre guerre. Il n'y a pas de nourriture sur les étalages, pas d'essence dans les stations, rien que vous puissiez vous permettre en tous cas. Nos bébés sont affamés mais, encore une fois, c'est très bien, ça évite aux Démocrates d'avoir à les tuer. Les frontières sont grandes ouvertes, les criminels et les gangs errent dans les rues, les terroristes nationaux de Black Lives Matter mettent le feu à nos quartiers, des fous racistes de la gauche radicale tirent sur nos écoles, notre argent ne vaut plus rien et les injections expérimentales qu'on nous a promises pour gu. érir du virus chinois ne fonctionnent pas et nous empoisonnent depuis tout ce temps. On dirait que c'est le bon moment pour nos politiciens sanguinaires pour commencer une autre guerre. 

Alors, bien sûr, maintenant, les Républicains et les Démocrates qui ne sont jamais d'accord sur rien semble tous les deux penser que nous devons combattre la Russie. Nous ne pouvons pas sécuriser nos propres frontières mais mentionnez la Russie et soudain Nancy Pelosi fait passer en un jour un projet de dépenses massives avec 368 voix contre 57 seulement en faveur de l'injection de 40 milliards de dollars de notre argent dans la machine de blanchiment d'argent en Ukraine. Chaque fois que les Démocrates et les Républicains sont d'accord sur quelque chose, vous pouvez être sûr que le peuple américain se fait avoir. Il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'argent sale et qu'il va disparaître dans les poches des politiciens ukrainiens corrompus qui cachent tous les sales petits secrets de la famille criminelle Biden, comme les laboratoires biologiques qui n'existent pas et que l'entreprise de Hunter Biden a aidé à financer. C'est exact et dans les dizaines de milliers d'e-mails provenant de l'ordinateur portable dégoûtant de Hunter Biden, il a été confirmé par des experts indépendants en cybersécurité que le fils de Joe Biden finançait des laboratoires biologiques en Ukraine

Les autorités russes ont affirmé que ces laboratoires produisaient des armes biochimiques à la demande de la mafia Biden. Moscou a prévenu que Joe Biden devrait expliquer l'implication de son fils dans ces laboratoires. 

Maria Zakharova : "Nous pouvons confirmer que le régime de Kiev est engagé dans des programmes biologiques militaires financés par les États-Unis. Il est impossible que ces programmes aient été utilisés au profit de la science et de la paix car ils ont été financés par le Ministère Américain de la Défense. Le Pentagone et Joe Biden doivent officiellement expliquer à la communauté mondiale les programmes menés en Ukraine. "

Il s'avère que les Russes avaient raison. La société de Hunter Biden, Rosemont Seneca, a effectivement investi un demi million de dollars dans la société de recherche sur les pathogènes à San Francisco, Metabiota, qui travaille en Ukraine en plus des millions de dollars de financement supplémentaire que Hunter a obtenu par le biais d'autres société comme Goldman Sachs. Metabiota est un sous-traitant de la société d'ingénierie du département de la Défense Black & Veatch. Souvenez-vous de ce nom. 

C'est là que ça devient vraiment intéressant car selon les documents officiels découverts par les enquêteurs du journal The Exposé, les dossiers de financement du gouvernement montrent que le ministère de la Défense à accordé 370.000 dollars à des biolabs en Ukraine pour la recherche sur le COVID19 en novembre 2019. Pour tous ceux qui suivent, c'est 3 mois avant que l'OMS n'ait même officiellement nommé le virus chinois COVID19. Vous pouvez le voir par vous-même, c'est mis en évidence : 12 novembre 2019, rédaction de manuscrit scientifique et recherche sur le COVID19. 


Les États-Unis et Hunter Biden en particulier, aidaient apparemment à financer la recherche sur le coronavirus avant qu'il n'existe officiellement dans ces mêmes laboratoires que le département d'État a également insisté ne pas exister. Et quel biolab a reçu cette généreuse donation pour mener des recherches sur le virus chinois ? Il s'agit bien-sûr de Black & Veatch, le même laboratoire que Hunter Biden aidait à financer. Soulignons que lorsque Hunter Biden siégeait au conseil d'administration de la très suspecte compagnie gazière ukrainienne Burisma, il a aidé à mettre en place des introductions auprès des responsables des biolabs dirigés par Metabiota. 

Pour résumer, vous avez donc le fils déshonoré du vice-président des États-Unis, engagé pour faire des faveurs à une compagnie de gaz ukrainienne corrompue et qui fait le lien également entre cette compagnie et une société de recherche sur les armes biologiques effectuant des recherches sur le coronavirus avant même sa diffusion. 

Tout cela nous amène à poser la question, qui peut sembler incroyable mais nous sommes sérieux : 

Joe Biden est-il personnellement responsable d'avoir contribué à la création du COVID19 ?

Peut-être que ce n'est pas le virus de la Chine, après tout, mais le virus Biden. C'est une chaîne d'événements incroyable mais tous les faits sont là. Le virus qui l'a aidé à truquer les élections est maintenant le même que celui qu'il essaie de dissimuler avec une fausse guerre pour cacher les laboratoires biologiques illégaux que lui et son fils ont financés en Ukraine. Nous devons souligner que Moscou a dit cela depuis le début. Moscou a averti le monde que des laboratoires américains secrets de guerre biologique opéraient en Ukraine et développaient des armes biologiques à des fins militaires. On a dit que c'était de la propagande russe, mais les faits commencent à s'accumuler. Si tout cela est vrai, il semble que l'invasion de l'Ukraine soit tout à fait justifiée pour empêcher l'utilisation de ces armes contre la Russie et le reste du monde. Il se peut même que le Russie ait eu l'obligation morale de riposter au bioterrorisme que les États-Unis mènent apparemment en Ukraine. 

Est-ce une coïncidence si l'un des plus grands laboratoires d'armes biologiques du monde est situé à Marioupol que la Russie vient de libérer des nazis ukrainiens financés et entraînés par les États-Unis ? 

La Russie n'est pas l'agresseur ici. En réalité, ce sont les États-Unis et le Pentagone, avec leurs alliés de l'U.E. et de l'OTAN, qui sont responsables du déclenchement et de l'instigation de ce conflit. Les critiques et les marchands de guerre appelleront ça de la propagande russe mais si vous avez compris un seul mot de ce rapport, vous savez que ce n'est pas vrai. C'est peut-être impopulaire mais nous n'avons présenté que des faits et des preuves. Maintenant, vous pouvez tirer vos propres conclusions. 

Pearson Sharp, pour One America News.


vendredi 11 février 2022

COVID19 le crime

L'origine du virus N.C.O.V.19 et la corruption des ministres de nombreux pays ainsi que de l'Etat français dans une grande expérimentation criminelle sur l'espèce humaine à l'échelle mondiale.
Tout ce qui est révélé dans cette vidéo est étayé par des documents officiels.


vendredi 20 août 2021

Situation en Martinique

Quand toute cette mascarade a commencé, je m'étais promis de ne pas parler de cette prétendue pandémie. C'était difficile car les media, comme un seul homme, ne parlaient que de ça.
Le défouloir est, malgré tout, toujours consacré à ce qui ne va pas, à ce qui est contradictoire et nuit au plus grand nombre. C'est pourquoi je vous invite à aller écouter ce témoignage : 


L'état français a envoyé en Martinique, non pas les soignants dont ils auraient eu besoin, mais des militaires pour confisquer les stocks d'Ivermectine, de vitamines et d'oxygène. 
C'est clair, ils organisent le génocide. 
On le savait, mais là, on a quand même une preuve flagrante. 
Bravo et merci à ceux qui résistent encore.


lundi 2 novembre 2020

Du temps pour les recherches - Jour 4

Il y a un côté positif à chaque situation. Ceux qui suivent ce blog depuis quelques temps ont pu se rendre compte que j'y avais exprimé des doutes sur la véritable origine de certains attentats attribués à des fanatiques islamistes ou bien, version alternative, d'extrême droite. J'ai passé beaucoup de temps à recenser les invraisemblances et désormais, je regarde avec un œil critique ce que nous sert la presse. 

J'ai découvert avec beaucoup d'étonnement que des personnes croyaient encore à la version officielle des attentats survenus le 11 septembre 2001, et ce malgré tout ce qui a pu être démontré depuis. On peut dire que ce jour a marqué le départ d'une vague médiatique mensongère de grande ampleur. Je suis incapable de lister de tête tout ce que j'ai repéré au fil de mes lectures mais à chaque fois que j'entends que "le terroriste" a été abattu par les 'forces de l'ordre", une lampe rouge s'allume dans ma tête car pour avoir

vu plusieurs fois comment des vétérinaires procédaient avec des fusils à seringues hypodermique pour anesthésier en quelques secondes des bêtes autrement plus grosses que des humains, je dis qu'une autre solution est toujours possible et que donc, tuer résulte d'une volonté. 

La question se pose alors, pourquoi tuer ? La réponse qui s'impose est que les morts ne parlent pas. Il y a donc fort à parier que l'identité des commanditaires du meurtre ou de l'attentat ne doit pas être connue. 

Pour avoir exprimé ces idées sur un forum (dont je tairai le nom et les coordonnées) J'ai eu droit à de nombreux noms d'oiseaux, le moins infamant étant celui de conspirationniste, que je prends pour un compliment car tout comme les anesthésistes sont des spécialistes de l'anesthésie, les conspirationnistes sont des spécialistes des conspirations et ça m'honore. Le re-confinement, en me permettant de ne pas travailler, me laisse donc plus de temps pour exposer le grain de sable dans les récits médiatiques. Merci.

mercredi 29 juillet 2020

Jacques Hogard sur Hashim Thaçi



Hashim Thaçi, l'actuel président du KOSOVO a été entendu récemment pour crimes de guerre par la cour pénale internationale de La Haye. Le colonel Jacques Hogard revient sur l'histoire de son arrivée à la tête de la province serbe du Kosovo grâce à Madeleine Allbright et de son soutien par l'OTAN.



samedi 15 juin 2019

Stone Cold Justice

Un film australien de 45 minutes, en anglais, sur la torture subie par des enfants palestiniens parfois seulement âgés de 5 ans de la part des Israéliens. Police et militaires.

 Certains obéissent seulement aux ordres venus d'en haut, d'autres sont des intégristes croyant réellement qu'un dieu leur a promis cette terre et que cette promesse est plus importante que les lois.


 

mardi 28 novembre 2017

Mensonges et fake news


Il se pourrait que cette vidéo disparaisse rapidement, comme toutes celles qui dénoncent la tromperie organisée.



dimanche 3 septembre 2017

RIP Panoramio

"Panoramio is closing.

In their infinite wisdom, arrogance and not being able to communicate in a normal manner Google is under the impression that what they offer on Google Maps is sufficient to compete with other photo sites and Panoramio. This announcement is made in a single line on your photo page as thank you for all the money you generated for Google."

Ce message, posté sur un forum dédié à la fermeture de Panoramio, la meilleure application jamais acquise par Google, sabotée par le groupe, comme tout ce qu'il avait de propre, résume parfaitement la situation.
Certains utilisateurs ont placé et géolocalisé des centaines de milliers de photos. Elles leur ont tout simplement été volées par Google pour leur exploitation dans Google Maps.  

Pour rappel, Google avait officiellement procédé au rachat du site et du service espagnol de photos géolocalisées Panoramio en 2007. Ce service gratuit permettait d'intégrer directement les photos prises par les utilisateurs au logiciel Google Earth à l'endroit même où elles avaient été prises.

Il va sans dire que Google Earth va perdre beaucoup de son intérêt sans ces photos d'utilisateurs bénévoles qui y ont parfois passé beaucoup de temps. S'agissant des solutions de sauvegarde, Google qui ne s'exprime qu'en anglais (pourquoi pas en chinois... ), a volontairement compliqué la procédure de façon à ce que les internautes soient obligés de recourir à leurs services. Ce n'est pas la première fois que Google utilise ce procédé, les modérateurs des forums étant incapables de répondre correctement à la moindre question. 
Pour ma part, je pense que cette entreprise est gérée par des incapables, au sens véritable du mot, c'est à dire ne sachant ni réfléchir, ni communiquer, et ne tient que par l'emprise financière qu'elle a sur le monde. 
Face à ces complications et à cette attitude malfaisante, la plupart des utilisateurs de Panoramio laissent les escrocs de Google les dépouiller, par lassitude. Récupérer ces milliers de photos leur prendrait autant de temps que de les avoir mises en ligne.

Lorsque vous irez sur Google Maps, pensez-y, les images que vous verrez ont été volées par Google, qui n'avait sans doute pas les moyens de les payer honnêtement.

mardi 18 juillet 2017

Vol MH17, rappel

Au moment où Porochenko tire encore à boulets rouges sur la Russie, il est bon de relire ce texte envoyé en décembre 2016 par Alexandre Netyosov , membre de l'Union des Journalistes de Russie, rédacteur en chef du journal "Messagerie Militaire du Sud de la Russie", auteur de dizaines de publications d'histoire militaire et originaire de Donetsk.
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Les événements survenus y a plus de deux ans, concernant le Boeing 77 MH17 qui est écrasé sur le territoire de l'ex-Ukraine (actuellement la République Populaire de Donetsk) font maintenant partie de l'histoire. Une équipe d'enquêteurs des Pays-Bas travaillant sur cette affaire qui avait promis de publier les résultats de son enquête en octobre a fini par faire des déclarations générales dans lesquelles, contrairement aux faits, les forces de l'ordre du "pays des tulipes" ont rejeté la responsabilité de ce crime sur la milice du Donbass et la Russie. L'auteur de cet essai a compris lui-même que cette accusation est sans fondement après avoir passé un certain temps dans sa région d'origine, dans la capitale du pays du charbon, à présent capitale du DPR, la belle ville de Donetsk.


Mes camarades de classe qui occupent maintenant des postes importants en DPR et qui connaissent ma carrière de journaliste, m'ont organisé des rencontres avec des gens intéressants qui, du fait de leurs emplois à l'époque, étaient les premiers arrivés après l''écrasement du Boeing et ont procédé à une inspection du site du crash, nécessaire dans de tels cas. J'ai passé plusieurs jours avec les forces de l'ordre de Donetsk qui ont rempli leurs fonctions jusqu'au bout, en dépit du fait que l'Ukraine avait tout sauf abandonné ses responsabilités et a essayé d'utiliser une variété de mesures administratives et psychologiques visant d'abord à retarder l'enquête, puis à l'arrêter complètement. Ceci est très révélateur de qui était le bénéficiaire de tout ce bruit concernant la "piste russe" dans la tragédie MH17 qui s'est déroulée le 17 Juillet, 2014 dans le ciel au-dessus des villages de Grabovo et Rassypnoye, raion de Shakhtyorsk, région de Donetsk au sud est de l'Ukraine.

La situation politique interne à ce moment-là semblait confuse et même bizarre. La guerre civile au Donbass s'accélérait, le premier sang avait déjà été versé, mais les forces de l'ordre ukrainiennes à Donetsk au Donbass coexistaient pacifiquement avec le DPR qui faisait ses premiers pas. Jusqu'à ce coup de tonnerre dans le ciel, dans un sens très littéral, qui a créé une division entre les militaires et la police locale. Il y a eu un "avant" et un "après". 

Malheureusement, le travail des enquêteurs de Donetsk qui ont passé deux jours sur le site du crash de Boeing 777 n'a été utilisé par personne. Ce qui signifie que c'est la première tentative pour mettre leurs paroles et leurs actions à l'attention d'un large éventail de lecteurs afin de jeter la lumière sur ces événements qui ont eu lieu il y a plus de deux ans.

S'il vous plaît retenez ceci : le conseiller principal de la justice, Alexandre Vassilievitch Gavrilyako, chef de service du bureau du Procureur général de la DPR, un professionnel avec 32 années et demi de service irréprochable et de haute qualité, contre lequel les dirigeants post-Maidan de l'entité "Ukraine souveraine" ont lancé une accusation criminelle alors qu'il maintenait son intégrité professionnelle avec une nouvelle réalité politique. A cette période, le colonel de la police Gavrilyako était le chef du département d'enquête du bureau régional des affaires intérieures de Makeevka, et était considéré comme l'un des meilleurs chefs de département d'enquête dépendant du Ministère des Affaires Intérieures de l'Ukraine. Voici ce qu'il a dit:

"J'ai appris le crash du Boeing de Malaysia Airline par le journal télévisé. Je me suis surpris à penser qu'il serait peut-être bon d'inspecter le site. Quand j'étais sur le point de partir, j'ai reçu un appel téléphonique. C'était Aleksandre Vassilievitch Mostovoy, chef du Service de sécurité interne du DPR, qui suggérait que je prenne un groupe d'enquêteurs pour procéder à une inspection du site. Je lui ai demandé : pourquoi ai-je été choisi ? A quoi il a répondu que j'étais recommandé comme le meilleur spécialiste. Je devais donc répondre qu'en tant qu'officier de service actif pour les Affaires Intérieures de l'Ukraine, je ne pouvais pas prendre cette décision moi-même, j'avais besoin de l'approbation des autorités supérieures.
En arrivant au travail, je reçus une directive du directeur de la Direction principale des affaires intérieures de la région de Donetsk, le major général Pozhidayev, pour rassembler une équipe d'enquête et de l'emmener sur le site de l'accident. Cette directive a été confirmé par le colonel Goncharov, chef du Bureau des Enquêtes de la Direction des affaires internes de la Région de Donetsk, que j'ai appelé peu après avoir reçu la directive pour lui rappeler que le site était hors de ma compétence officielle. "Les habitants vont vous aider", m'a t-il encouragé. Et il me fut permis de réunir une équipe de mon choix, qui comprenait deux personnes de chacun des cinq départements régionaux de Makeevka. Ce qui faisait un total de dix, plus moi et deux enquêteurs de la Direction des affaires Intérieures de la ville de Makeevka. Je demandais à mes supérieurs leur soutien pour ces experts et je l'ai reçu.

Notre groupe a travaillé avec quatre experts, dont Bogdan Olegovich Maklakov et le chef du Bureau régional de médecine légale de Donetsk, Dmitriy Anatolyevich Kalashnikov.

Le matin du 18 Juillet, nous avons été accueillis par des représentants du bureau du Procureur général de la DPR avec deux voitures pour nous emmener sur le site. Bien à ce moment là, le procureur du ministrère des Affaires Intérieures de l'Ukraine était encore en service et que le ministère des Affaires Intérieures de la DPR n'était pas encore formé. Pendant le voyage, je reçois un appel du colonel Goncharov qui voulait savoir où nous étions. "Où êtes - vous?" demanda t-il avec insistance. Naturellement, lui ai parlé de la route que nous avons pris, avec des collègues de la DPR, vers Rassypnoye et Grabovo pour nous rendre sur le site de l'accident, où l'Emercom ukrainien avait déjà commencé à travailler. Goncharov m'a alors catégoriquement ordonné de faire demi-tour, en citant les ordres qu'il a reçus du Ministère des Affaires Intérieures de l'Ukraine ne pas inspecter le site du crash. Naturellement, je refusais. J'étais dans un véhicule qui appartenait à mes collègues de la DPR. Ils ont même fait des plaisanteries me proposant de sauter en dehors du véhicule en mouvement.

Je dois ajouter qu'à ce moment-là, il y avait un remaniement des cadres en cours, avec la direction régionale du Ministère des Affaires Intérieures qui déménageait à Mariupol, avec leurs subalternes directs, les policiers de Donetsk et de Makeevka ont continué à travailler comme avant. Il n'y avait pas de sentiment de division entre nous et eux, mais il y avait une certaine aliénation dans les relations interpersonnelles. En arrivant sur le site, nous avons été accueillis par le groupe du ministère de la gestion des situations d'urgence (aussi désigné par le nom Emercom (contraction de l'expression Emergency Control Ministry) et l'autonomie locale qui avait déjà une idée de base de ce qui était arrivé. Il s'est avéré que la masse principale de l'épave, y compris la section de la queue, les moteurs, les ailes, et la plupart des cadavres étaient aux alentours de Grabovo. Ils étaient éparpillés dans tous les champs.

Mais nous, à la demande des autorités locales, avons commencé par l'inspection de Rassypnoye et ses environs où, selon les rapports des habitants, il y avait des cadavres dans les cours et même dans les rues. La cabine avec les restes de l'équipage a également été trouvé là. nous avons donc rapidement commencé à enquêter dans le village, et nous avons laissé les champs environnants pour plus tard. Le temps de régler toutes sortes de questions, y compris celles de l'organisation, il était presque le soir. J'ai donc décidé, vu l'énorme volume de travail, d'inspecter les cadavres, dont il y avait 36 ​​dans le village, de noter les endroits où ils ont été trouvés, et les entrer dans le protocole. Je prenais en considération la chaleur, les pluies torrentielles et le bétail, qui menaçaient d'annuler nos efforts. De plus, j'avais déjà discuté avec le colonel Goncharov et le colonel Miroshnichenko, à la tête de l'unité de gestion des situations d'urgence de Makeevka, qui m'avait ordonné d'aller sur le site de l'accident, de divers aspects techniques du travail sur le site.

Celà concernait en particulier, l'obtention d'un camion avec une grue, d'une chambre froide pour les cadavres, et d'un hangar pour disposer les pièces de l'avion. D'autant plus que nous savions déjà ce qui avait causé l'accident, ce qui signifiait une inspection plus approfondie du site de l'accident afin de localiser les éléments meurtriers qui pourraient être à l'intérieur des corps des passagers, le fuselage, ou la couche superficielle de terre, et de trouver des traces des explosifs. Afin d'identifier la munition qui a fait tomber le Boeing.

Nous avions déjà eu la triste expérience d'un travail similaire, lorsque nous avons étudié les sites de crash de plusieurs avions de ligne dans la région de Donetsk mais nous n'avions subi aucune ingérence extérieure dans ces affaires. Le plus récent de ces accidents avait eu lieu en 2006, quand un Tu-154 avec 176 passagers reliant Anapa à Saint-Pétersbourg s'est écrasé. La première inspection du site de l'accident est cruciale pour une telle enquête, car il contient tous les indices nécessaires à la reconstruction de la tragédie.

Le centre régional nous a affecté une installation sur le territoire d'un parc de véhicules dans leur juridiction, avec des véhicules et une grue. Nous avons donc commencé l'inspection du site. Ce que nous avons vu nous a choqués. Dans une maison, un cadavre de femme a éclaté en passant à travers le toit et était coincé dans les carreaux du plafond. Une jambe s'était détachée et avait atterri directement sur un lit. Dans une autre propriété, six "paquets" de restes des passagers avaient atterri sur les légumes du jardin. La cabine de pilotage fracassée s'était écrasée juste en dehors du village. Les restes de l'équipage étaient dispersés à proximité, et nous les avons reconnus grâce aux lambeaux de leurs uniformes. Après avoir placé nos enquêteurs à travers le site, j'ai appelé le colonel Goncharov. Il n'a même pas voulu m'écouter, exigeant que je lui explique pourquoi j'avais désobéi à son ordre de faire demi-tour et de ne pas enquêter sur le site. En réponse, je lui ai dit littéralement ce qui suit : tout d'abord, le groupe se déplaçait dans un véhicule appartenant au Bureau du Procureur de la RDP, d'autre part, je ne vois pas comment j'aurais pu faire cela en présence de personnes armées, d'ailleurs l'inspection avait déjà commencé.

Alors, il a exigé que je sabote l'enquête de toutes les manières possibles et de créer des retards. Naturellement, je lui ai demandé pourquoi. D'abord on me donne l'ordre d'y aller, et maintenant de revenir. Il a expliqué que les ordres qui venaient de Kiev étaient de ne pas inspecter quoi que ce soit, parce que le SBU se penchera dessus. Cependant, il me permettait d'emporter les 36 cadavres trouvés dans Rassypnoye.

Naturellement, nous avons jamais vu de personnes du SBU, parce qu'ils avaient quitté Donetsk déjà en mai. Bien sûr, nous avons emballé les restes humains trouvés et les avons étiquetés avant de les envoyer à la morgue de la clinique régionale Kalinin. À la dernière minute, on nous a amenés le cadavre d'un enfant trouvé quelque part dans Grabovo. Nous l'avons envoyé à la morgue avec les autres. Nos activités ont été réduites par ce même Goncharov qui avait d'abord approuvé que nous visitions le site, et ensuite catégoriquement interdit de l' inspecter. Puis tout est devenu clair pour moi. Si l'Ukraine s'est intéressée à enquêter sur cette affaire dans laquelle, selon la version officielle de Kiev, à la fois des milices locales et la Russie ont été impliqués, personne ne nous aurait retardés. Plutôt le contraire, ils nous auraient demandé de ne rien négliger pour trouver chaque petit élément de preuve, suivi tous mes mouvements, confiants dans ma rigueur et mon aptitude professionnelle.
Nous sommes arrivés au QG local d'Emercom, situé à Grabovo, dans la soirée. Naturellement, j'ai rapporté les ordres ci-dessus au Bureau du Procureur de la DPR, mais j'ai répondu par l'affirmative à leur question de savoir si je continue, estimant que les victimes innocentes de cette tragédie devaient être recueillies et inspectées, sinon qui le ferait autrement. Après cela, nous sommes partis. Le samedi matin du 19 Juillet, nous sommes retournés sur le site comme si rien était arrivé hier. En route, j'ai reçu, une fois de plus, un appel de Goncharov qui voulait savoir où je me trouvais. Je lui ai carrément dit : Les champs sont jonchés de cadavres de personnes innocentes, nous ne pouvons pas les laisser là, ce qui serait le cas si nous avions obéi aux ordres de Kiev "Dans ce cas, Aleksandre Vassilievitch, vous avez fait votre choix," Répondit-il et il mit fin à la conversation. J'ai jamais entendu à nouveau sa voix.

Notre première trouvaille ce jour-là faisait partie du revêtement du fuselage, dans lequel certains objets pénétrants avaient laissé des ouvertures avec des bords repliés vers l'intérieur. Ceci suggére que la pénétration s'est produite à partir de l'extérieur. À notre arrivée à Rassypnoye, nous avons continué à inspecter le site, mais nous avons été immédiatement avertis de ne pas nous égarer en lisière des bois sauf si nécessaire en raison des mines placées là par les deux parties belligérantes. À ce moment-là, les bénévoles parmi les mineurs sont venus pour aider, afin que nous puissions couvrir la plus grande partie possible du site. Ce fut alors que 20 cadavres ont été retrouvés dans un champ de blé sur le bord de Grabovo. Mais, en règle générale, les cadavres avaient été dispersés: un ici, un autre ou plusieurs ailleurs.

Ce fut alors que les membres de la mission de l'OSCE sont arrivés, accompagnés par les troupes Berkut et le directeur adjoint du MVD de la région de Donetsk , le colonel Aleksey Aleksandrovich Dikiy.

Je me suis tourné vers Dikiy pour avoir de l'aide, parce que je n'avais assez de gens pour faire tout le nécessaire: l'inspection, l'extraction, l'emballage et, plus important encore, l'enregistrement de toutes ces actions dans le protocole. Il m'a connecté au général Pozhidayev, qui a d'abord été surpris par ma présence contraire aux ordres. Il écouta silencieusement mes arguments sur les devoirs chrétiens et humains, mais il était curieux de savoir où nous envoyons les corps, et nous indiqua de les envoyer à Kharkov au lieu de Donetsk, mais il n'a pas expliqué comment faire cela, compte tenu de la poursuite des combats, en particulier depuis qu'ils se rapprochaient. Après avoir appris la présence de représentants de la DPR, il a raccroché. En tout cas, un groupe de chercheurs de Shakhtyorsk, quatre personnes au total, est venu m'aider. 

Dans une tente de commandement on m'a montré une annonce sur certain site ukrainien qui a déclaré que les travailleurs Emercom locaux et le groupe d'enquête de Donetsk étaient parmi les séparatistes, les aidant à cacher les cadavres.

Néanmoins, tous les restes trouvés le 19 Juillet ont été correctement inspectés, conformément à toutes les procédures pertinentes, et envoyés à Kharkov. Par la suite, nous avons suspendu nos travaux sur l'insistance de notre force de sécurité, parce que les coups de feu s'approchaient clairement de notre emplacement. Après cela, nous sommes rentrés, en passant par Rassypnoye afin d'interroger les témoins de l'accident du Boeing parmi les habitants locaux qui étaient très heureux de nous voir.

Mais ce sont les actions de la partie ukrainienne qui donnent des raisons de se poser des questions. Tout d'abord, ils ont approuvé l'inspection, puis l'ont interdite. Si les milices avaient participé à cela, la situation aurait eu l'air très différente. Ce est pas par hasard que deux jours plus tard, tous les responsables des forces de l'ordre ont reçu des ordres, dont je n'avais pas connaissance, pour reprendre les routes à Slavyansk. La majorité a obéi, mais certains, surtout ceux qui sont nés au Donbass, sont restés.


Considérons la conclusion qu'il y a pratiquement à tirer de cela, conformément à l'ancienne question "cui bono?"

Si l'on regarde qui était le bénéficiaire , alors ça n'a pas de sens pour la Russie d'avoir descendu le Boeing. Compte tenu de la situation internationale, il n'en a pas tiré de profit mais plutôt le contraire, la partie russe était la plus intéressée par une enquête transparente. Mais la Russie a été étiquetée coupable dès le lendemain par les médias occidentaux. Désigner la milice est également sans objet. Il y a toutes sortes de gens parmi eux, certainement. Mais descendre un Boeing, excusez-moi, c'est jouer dans une autre cour. Déjà parce qu'ils auraient été étiquetés terroristes au niveau international et ensuite parce qu'abattre un avion volant à une altitude de 10 kilomètres est au-dela de leurs capacités, maintenant, et encore moins il y a deux ans alors que certains d'entre eux n'avaient que des fusils de chasse.

La promotion de l'hystérie visant la Russie était très révélatrice en soi. Comme d'habitude, la partie coupable crie "au voleur!" le plus fort. Mais toute l'histoire était très pratique pour l'Ukraine et ses sponsors. Les Américains ont longtemps maîtrisé des provocations similaires.

Je ne peux même pas appeler les "spécialistes" néerlandais, qui ont repris là où nous nous sommes arrêtés, des enquêteurs appropriés. Pour être honnête, ils ont choisi toutes sortes de laissés-pour-compte pour cette tâche importante. Peut-être qu'ils appliquaient la loi d'une certaine manière mais ce ne sont pas des spécialistes. Je suis venu à cette conclusion pour une raison simple. Après leur départ du site de l'accident, ils ont laissé derrière eux beaucoup de choses qui ont attiré l'attention des enquêteurs professionnels. Dans un cas comme celui-là, non seulement l'épave et les cadavres sont retirés, mais également une couche de terre végétale en dessous. Les Néerlandais n'ont rien fait de ce genre, après avoir recueilli seulement les gros morceaux et laissé le reste derrière eux, ils n'ont même pas demandé l'aide de personne, compte tenu du grand territoire sur lequel l'épave a été dispersée. Par conséquent, l'inspection du site a été effectuée de manière non professionnelle par ces Hollandais. Après leur visite, les habitants continuent de trouver des pièces de l'avion ".

Un second témoignage dans cet article.
Traduction krn

Quand l'état joue au terroriste

10 juillet 1985. Le Rainbow Warrior, un navire de l'organisation écologique Greenpeace, portant la bannière "Nuclear Free Pacific" est coulé par l'explosion de deux bombes dans le port d'Auckland, en Nouvelle Zélande.

Les militants de Greenpeace avaient pour but d'appareiller vers le site de Mururoa pour perturber les essais nucléaires français. En très peu de temps, la police Néo Zélandaise démasque deux agents de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure, couramment connue sous le sigle DGSE comme étant les auteurs de cet attentat qui a coûté la vie au photographe Fernando Pereira. Censés être en vacances, ils ont des passeports suisses au nom de Turenge. Ces passeports sont faux. Ce sont des militaires français.

 

Après avoir nié toute implication, condamné publiquement l'attentat et promis de faire toute la lumière sur cette histoire, la France va devoir reconnaître les faits.
Le 20 septembre, soit 2 mois après l'affaire, le ministre de la défense, Charles Hernu est contraint de présenter sa démission.

Association de malfaiteurs, incendie volontaire et homicide. En novembre de la même année, "les faux époux Turenge" comme la presse les appelle, sont condamnés à 10 ans de prison par la justice néo-zélandaise. Conscient qu'ils ne sont que des exécutants, le premier ministre néo-zélandais, David Lange, refuse leur extradition vers la France. En réponse, le gouvernement français menace la Nouvelle Zélande de sanctions économiques. Ça s'appelle du chantage, mais ça marche puisque les agents seront finalement rapatriés en territoire français moins d'un an après leur forfait.

On me dira que ça fait plus de 30 ans et je répondrai que les méthodes n'ont pas changé. Tant qu'ils n'ont pas le nez dedans, les terroristes d'état ne reconnaissent pas être impliqués. Pour plus d'opacité, la presse leur est acquise, peu à peu achetée par de grands groupes financiers, les mêmes que ceux qui tirent les ficelles du pouvoir politique et cela ne concerne pas que la France.


vendredi 16 juin 2017

Hasard, coïncidence et 11 septembre 2001

Le neuvième anniversaire du défouloir, une série de spams sur un article ancien qui me l'a remis en mémoire, le sujet de la photo du mois sur la lumière et l'actualité convergent pour me pousser à reprendre des sujets que j'avais fini par laisser de côté car ils sont pour moi tellement évidents que j'ai du mal à imaginer un manque de réflexion sur les évènements.

Je vais donc reprendre un par un ces sujets en commençant par celui qui a frappé les esprits et a généré de nombreuses guerres actuelles, je parle bien entendu de ce qui s'est passé le 11 septembre 2001 aux États-Unis.

Vous connaissez tous l'histoire qu'on nous a rapportée. C'est l'histoire de l'islamiste vivant dans une grotte de l'autre côté de la terre. qui aurait recruté 19 musulmans bons vivants, amateurs de drogues, de femmes et d'alcool, pour les persuader d'aller se suicider en les jetant sur des bâtiments. Les classiques bombes qui ont fait leurs preuves, ça aurait été trop simple. On ne connait pas ses motivations, car il a nié avoir quelque chose à voir avec ça.
Ces "pilotes"improvisés, que leurs instructeurs prenaient pour des nuls, auraient pris le contrôle de quatre gros avions de ligne avec de simples cutters et seraient devenus des as de la voltige aérienne, suivant des trajectoires que des pilotes chevronnés ayant plus de 25 ans de métier disent ne pas pouvoir accomplir, au delà des possibilités techniques des aéronefs utilisés. Déjà, ces premiers faits sont invraisemblables.

A Manhattan, deux de ces avions auraient mis le feu à trois immeubles parmi les plus solides au monde, lesquels se sont effondrés après seulement une heure d'incendie dans les étages supérieurs. Les énormes structures métalliques qui forment l'armature de ces bâtiments auraient fondu. Je suppose que pour devenir ministre ou journaliste, les matières scientifiques sont facultatives car c'est évidemment une ânerie. Revoyez vos cours de physique et de résistance des matériaux.

A Washington, un avion serait devenu liquide (sic) après avoir pénétré dans un bâtiment au ras du sol par un trou ridicule et avoir perdu ses ailes et sa dérive de queue qui se sont volatilisées. Ce bâtiment est réputé être le plus surveillé du monde mais aucune caméra n'a rien enregistré, ni à l'extérieur, ni à l'intérieur. 

En Pennsylvanie, on a retrouvé des débris à 14 km du point où un avion aurait été entièrement "avalé" par la terre avec tout son contenu et sans laisser de traces. 

Cet islamiste de génie, atteint d'une maladie incurable nécessitant une dialyse tous les 3 jours a échappé à l'immense et sur-équipée armée américaine en fuyant à travers la montagne sur la mobylette d'un copain. Dois-je commenter ?

Au nom de la loi du Talion et de la vengeance, cet évènement a permis d'envoyer des milliers de tonnes de bombes sur les civils au Moyen Orient. L'Irak est revenu à l'âge de pierre, 500.000 enfants ont été sacrifiés et on a pendu le dirigeant de ce pays sous le prétexte mensonger des armes de destruction massives. 
Or, le pays de menteurs qui possédait le plus d'armes de destruction massive à cette époque était les États-Unis et ni Bush, ni Obama, ni Allbright, ni Rice, ni Powell n'ont été pendus.

Le vingt-et-unième siècle est pour le moment la continuité de la seconde moitié du vingtième, un siècle de mensonge, d'illusion et de tromperie. Ouvrez les yeux. Je n'ai aucun intérêt dans cette histoire, je veux seulement un monde vrai et juste.

A titre de documentaire, vous pouvez regarder ce crash-test réalisé avec un avion de ligne :
La version courte (2:18) https://www.youtube.com/watch?v=kJZ1eHU_JZg
La version longue (1:12:34) https://www.youtube.com/watch?v=WvbGiuKbmGM
Vous verrez qu'un avion n'est pas plus solide que des poutres d'acier. Au moindre choc, il se disloque, même lorsqu'il rencontre du sable.

samedi 10 juin 2017

Politique républicaine

Avant d'écrire et article, j'ai été tentée de consulter la page de la fausse encyclopédie participative wikipedia en espérant qu'un contributeur occasionnel aurait écrit une page neutre et intelligente. Peine perdue, j'aurais mieux fait de continuer à boycotter ce site où l'opinion de quelques censeurs prime sur le savoir et où on pratique allègrement censure et contrevérités.

Je ne citerai aucun parti dans cet article. Les dénominations changent sans cesse et il est illusoire de vouloir écrire un article pérenne sur le sujet. Je me pencherai plutôt sur l'histoire.

En 1789, à la suite de la famille royale qui quitte Versailles pour Paris, l'Assemblée Constituante s'installe aux Tuileries, dans la salle du Manège. Spontanément, les députés se répartissent selon leurs opinions à la droite ou à la gauche du président. A droite, les monarchistes, à gauche, les révolutionnaires. 

Autant les monarchistes respectent les traditions, la religion et les institutions, autant les révolutionnaires donnent dans la démesure en ne respectant rien, même la vie des Français, comme La Fayette qui n'hésite pas à faire tirer sur la foule au Champs de Mars, faisant des dizaines de morts parmi la population alors que le roi de France, face à l'insurrection, avait ordonné à ses gardes suisses de poser les armes. Il aimait son peuple. Tous les 600 gardes suisses seront massacrés. A l'issue de cette journée du 10 août 1792, 200 nobles sont également assassinés avec leur famille et leurs domestiques et la famille royale est jetée en prison au Temple. Le lendemain, un millier de prisonniers royalistes ou soupçonnés de l'être sont tués. 

La convention est légalement constituée le 21 septembre 1792 et la royauté est abolie. La France devient donc une république. Il est à noter que les députés sont tenus d'assister à toutes les séances, ce qui a bien changé, l'absentéisme constituant même à présent une règle absolue, il suffit de consulter pour les lois qui sont votées le nombre de votants. 

La république, ne voulant rien garder du passé abolit également le calendrier. Du jour au lendemain, des millions de Français découvrent de nouvelles dates, de nouvelles fêtes et perdent leurs repères. 

Il ne faut pas se leurrer. Les idées révolutionnaires n'étaient pas majoritaires. Le peuple mourrait de faim après plusieurs années de mauvaises récoltes mais l'immense majorité d'entre eux soutenaient le roi. Seul un petit nombre d'exaltés ont manipulé les Parisiens, la gauche finissant par obtenir la condamnation à mort du roi Louis XVI. Ces révolutionnaires fous, Robespierre, Danton, Saint-Just, Marat... J'en oublie mais ce sont les principaux, vont bien tôt faire régner sur la France ce qu'on va appeler "la Terreur". Un état d'exception, la Convention ayant déclaré "la patrie en danger". la guillotine va faire 20.000 morts. 

Je ne vais pas vous raconter toute la révolution, vous l'avez sans doute apprise à l'école si vous avez eu le bonheur de la fréquenter avant mai 1968. 

Nous y sommes. La gauche actuelle a déclaré la patrie en danger et a déclenché un état d'exception. Ne nous y trompons pas, le président que 25% d'inconscients ont placé sur le trône de France en mai dernier est de ceux-là. Il est de cette gauche qui veut tout révolutionner et bouscule les institutions. Robespierre aussi avait été élu président de la Convention Nationale. La seule différence c'est que Robespierre avait réellement le pouvoir. Notre pantin national est lui, piloté de l'extérieur. 

On vous agite les épouvantails de droite, mais c'est la gauche qui est le vrai danger. Ils sont les héritiers des révolutionnaires, des "Montagnards", de la Terreur et de sa guillotine. L'état d'urgence est issu de l'état d'exception de la Terreur. Souvenez vous bien aussi que Robespierre, bourgeois, avocat, président de la Convention, a été victime de sa propre terreur. L'histoire est un éternel recommencement. Celui qui ignore les erreurs du passé perd du temps à les refaire.

Demain on vote. Ne vous trompez pas et laissez la Terreur de côté. Ne mettez pas tout dans les mêmes mains au risque de voir revenir la guillotine. 

Merci à Marie Gloris Bardiaux-Vaïente pour cette photo
d'une exécution publique en France en 1909.
lien à visiter




jeudi 25 mai 2017

Manchester, retour en arrière

Que se passerait-il s'il y avait une attaque terroriste dans un lieu public à Manchester ?

C'était le 10 mai 2016 dans un centre commercial.
800 personnes participaient à un exercice répondant à la question posée en tête de cet article. Des centaines d'acteurs dans le rôle des acheteurs, des dizaines d'officiers de police et l'Unité de Lutte contre le Terrorisme du Nord-Ouest étaient mobilisés pour cette simulation grandeur nature à laquelle participaient également la direction du centre commercial, les pompiers et les Ambulances du Nord-Ouest.

Regardez la vidéo, c'est stupéfiant de réalité :



The Gardian avait publié cet article avec des photos qui nous en rappellent d'autres, qu'on nous a présentées comme des actualités.
Qui peut dire, de ces photos, laquelle a été prise en 2016 et l'autre en 2017 ?


On peut quand même se poser la question légitime suivante : Est-ce que tout ce qu'on nous a montré comme étant du terrorisme en était réellement ou bien, comme pour la reconstitution à Doha du décor de la place Verte de Tripoli au moment où la France avait déclaré une guerre illégale contre la Libye, tout n'est que du cinéma ?

Le réalisme des scènes de guerre ou de crime à Hollywood est si intense qu'on s'y croirait. D'ailleurs, lorsqu'elle avait vu la chute des tours du World Trade Center en passant devant un magasin, une de mes filles avait immédiatement pensé à une bande-annonce pour un nouveau film catastrophe.

Le problème est là. Nous vivons tellement à l'ère du mensonge qu'on ne peut jamais exclure une mise en scène. Ceux qui ne se rendent pas compte que les media nous mystifient les trois-quarts du temps sont ceux qui réclament plus de sécurité, plus de police et une surveillance accrue de leur vie privée.

Nous valons mieux que ce rôle d'éternels apeurés encadrés n'osant pas s'exprimer, soumis à un état d'urgence absurde et à des lois qui restreignent de plus en plus nos droits jusqu'à ne plus être que des zombies en esclavage qui travaillent pour enrichir une caste de feignants, consomment à caddies pleins la nourriture trafiquée des multinationales et devraient avoir le bon goût de crever une fois devenus "inutiles".

Un peu d'esprit critique est parfois salutaire.


jeudi 18 mai 2017

La gestion des évènements

Tous les jours, ceux qui suivent l'actualité reçoivent des informations au sujet de ce qui s'est produit, en France ou à l'étranger, en fonction de l'intérêt que ça peut avoir, soit pour le public, soit pour le gouvernement.

Si, par exemple, un crime a été commis, les journalistes donnent logiquement les détails dont ils disposent et nous font ensuite part du suivi de l'enquête, puis de l'arrestation du criminel, des raisons de son acte et, plus tard, rappellent les faits lorsque le procès a lieu. L'affaire s'arrête lorsque la sentence a été prononcée. L'enquête et le jugement font partie de l'évènement.

Il y a un certain nombre d'évènements pour lesquels des étapes sont sautées, ne permettant pas au public de "classer" l'affaire. C'est le cas pour de nombreux évènements. L'assassinat de John F. Kennedy, celui du premier ministre suédois Olof Palme, les évènements du 11 septembre 2001, les naufrages du ferry Estonia et du navire Costa Concordia, les incendies des ferries Scandinavian Star et Moby Prince, l'affaire Merah, la tuerie de Charlie Hebdo, les évènements de novembre 2015 à Paris et du 14 juillet à Nice ne sont que des exemples de ces évènements auxquels il manque un morceau essentiel. Ces seuls évènements ont fait plus d'un millier de victimes.

En ce qui concerne les attentats, nous sommes confrontés, avec des images dont la violence dépasse souvent ce qui est admissible, à un évènement brutal le plus souvent qualifié de "terreur". L'étape suivante est l'exécution sommaire de présumés coupables sans enquête et sans jugement.

C'est George W. Bush qui a inauguré cette notion de terreur permanente en répétant des dizaine de fois ce mot inemployé depuis la Révolution Française et depuis lors, on nous le martèle à chaque actualité et c'est à dessein, car "La Terreur" désigne la période au cours de laquelle, en France, des mesures d’exception ont été prises par le gouvernement révolutionnaire entre juin 1793 et juillet 1794, à la chute de Robespierre. Ces mesures d'exception comprenaient entre autres des perquisitions sans jugement et de nombreuses exécutions capitales sans véritable procès. Le but était de provoquer un effroi paralysant sur la population.

Ai-je besoin de dire que l'état d'urgence est également une période au cours de laquelle ces mesures d'exception sont appliquées ? Initié par le président Hollande, cet état a été prolongé pour une période indéfinie par le président actuel, soutenu par un "Front Républicain" qui, explicitement, nous ramène aux pires heures de la Révolution Française, un président pour lequel ont voté tous les naïf qui n'ont comme seule excuse que d'avoir eu la trouille d'une ombre qui pourrait être celle d'un loup, l'ombre d'un masque de papier fabriqué pour faire peur. Pourquoi se priver de cet artifice qui marche si merveilleusement bien ?

Avant même d'être proclamé, l'état d'urgence était implicitement en préparation. On n'a pas vu de véritable changement. La transformation des policiers en robots surprotégés et sur-armés date déjà de plusieurs années, la diffusion télévisée à des heures de grande écoute d'images de cadavres éparpillés sans avertissement préalable, la mise en scène de la moindre arrestation par des pseudo-terroristes cagoulés de noir qui ont pour principale mission de terrifier et de faire le maximum de dégâts. Je pense à deux exemples en particulier. Les assauts au moyen d'armes lourdes des maisons d'habitations de Varg Vikernes, et de Wilfried Paris (où se trouvaient également des enfants en bas-âge et des personnes en retraite). Le premier avait été accusé par Manuel Valls d'avoir reçu un courriel d'Anders B. Breivik et le second d'avoir menacé un bâtonnier. Les deux accusations n'ont jamais pu être prouvées mais dans le premier cas, il s'agissait de faire croire aux Français qu'on agissait pour faire reculer le terrorisme et dans le second cas, cet avocat avait déposé une Question Prioritaire de Constitutionnalité auprès du Conseil Constitutionnel. Le Gouvernement n'aime pas qu'on vérifie si ce qu'il fait n'est pas en accord avec la Constitution de la Cinquième République. Wilfried Paris souffrant d'une pathologie cardiaque, les media auraient parlé d'un regrettable accident. C'est ça, la terreur.

Tant en ce qui concerne les assassinats qu'en ce qui concerne les quatre catastrophes maritimes que j'ai citées, et malgré l'avis de plusieurs experts, aucune enquête sérieuse n'a été menée et les preuves disponibles, entre autres les épaves, ont été soustraites, comme l'acier des tours du World Trade Center, de façon à faire avorter toute tentative de trouver la vérité. La presse a fait le reste. Le mensonge et la manipulation sont devenus permanents.

C'est cette gestion des évènements qui donne la vraie mesure des régimes sous lesquels on vit. Le seul mot de démocratie devrait éveiller la méfiance.

dimanche 30 avril 2017

Le camion fou de Drottninggatan

Lorsque j'ai commencé à écrire cet article, une vidéo prise de l'intérieur d'un magasin, montrait, de manière exagérément floue, le passage du camion et les gens qui entraient en le fuyant, elle n'est plus disponible mais les média l'ont relayée et je crois que tout le monde l'a vue.

Des gens qui se ruent dans un magasin pour échapper à un véhicule fou, ça ne vous rappelle rien ?
Regardez cette vidéo :


C'était 77 jours avant, le 20 janvier 2017, à Melbourne.

Le plan de la vidéo de Drottningatan n'est pas fixe. Elle bouge sans cesse comme si elle était tenue à la main. J'ai trouvé ça étrange car les caméras de surveillance sont généralement sur un mur ou un plafond.
J'ai cherché la boutique et je l'ai trouvée. Merci Google Street View.
Cette image est ce qu'on voit depuis devant le magasin, on y retrouve le même pavage avec sa bouche d'égout.


Et voici la boutique :


et sa caméra :


Bien qu'elle soit fixée au plafond, je ne veux pas en faire trop alors je supposerai que cette caméra est pilotée et que "le pilote", pas trop doué, avait choisi de surveiller la porte.
Qu'il me soit quand même permis de faire remarquer qu'une caméra de surveillance est en théorie assez précise pour pouvoir y reconnaître des personnes, ce qui est strictement impossible ici. Non seulement les gens sont couverts jusqu'aux oreilles alors que ce vendredi 7 avril  il faisait plus de 10° à Stockholm mais la qualité de la vidéo est improbablement dégueulasse. On supposera que la vidéo a été floutée exprès ou retouchée, et j'en conclus donc qu'il ne s'agit pas d'un témoignage objectif auquel on peut se fier.

Maintenant, autant je comprends assez bien qu'à Nice des personnes se soient laissées surprendre à cause du bruit ambiant du à la fête, de la musique, du monde rassemblé sur la promenade, autant dans cette rue parsemée d'obstacles Je vois mal comment un camion peut passer inaperçu, surtout lorsqu'il heurte un lion en béton d'un volume d'un demi mètre cube, qui pèse environ 900 kg, à 80km/h, ce qui, au niveau du bruit doit quand même attirer l'attention. On retrouvera ce lion couché sur le côté au milieu du carrefour H&M/Åléns.

Je ne peux pas m'empêcher de rappeler une fois encore la rencontre du Costa Concordia avec le rocher du Giglio. Malgré une inertie très importante, ce navire de 56.000 tonnes a vu sa vitesse se réduire en une seconde de moitié suite au choc avec le rocher qui a pourtant cédé. Les nombreux obstacles que le camion a rencontrés lors de son périple dans Drottninggatan ont forcément aussi réduit sa vitesse, qui ne pouvait au départ être supérieure à 90 km/h, les camions, je vous le rappelle, étant tous munis de limiteurs de vitesse qu'on ne peut pas désactiver. C'était forcément le cas, vu que le véhicule a été volé quelques minutes avant de descendre Drottninggatan et n'a forcément pas pu être modifié.

Voici le camion accidenté. Je crois reconnaitre un Scania,à cause des déflecteurs, mais rien de sûr car en général, la marque sur les camions est très visible à l'avant et là, rien ne l'est plus.


Je veux bien considérer que le lion en béton a ruiné le pare-choc avant, mais rien d'autre n'a pu causer ces terribles dommages vu qu'il a terminé sa course dans une vitrine qui a du céder sans résister. La question qui vient alors à l'esprit est "Qu'est-ce donc qui a pu causer autant de dégâts à ce camion ?"



samedi 29 avril 2017

Les lions de Stockholm 2

J'aurais également pu intituler ce billet "attention !" car en effet, il faut prêter attention à tout.

Revenons sur l'image de l'article précédent sur laquelle j'ai entouré de rouge ce qui me parait important. Suis-je vraiment la seule à avoir remarqué dans cette image que les flammes de la prétendue explosion ressemblaient à une tête de lion ? C'est ce qu'il fallait remarquer dans l'image et peut-être que la dame voilée était là comme une façon déguisée de nous alerter sur la manipulation de ces images.

Les lions sont un élément important dans cette histoire, un fil rouge. Tout ce que j'ai indiqué sur l'image me parait digne d'être souligné. Le 7 mai, un dimanche, le second tour des éléctions présidentielles. J'en reviens à mon avertissement préalable du 6 avril dernier et je comprend plus que jamais ces repères que sont les lions, ces chiffres et cette tour-horloge de la gare de Lyon.


Ci dessous, un agrandissement de la zone de feu en forme de tête de lion mais également comme une silhouette vêtue de sombre, toute proche de l'endroit où se situe la cabine du camion. A comparer éventuellement avec l'homme arrêté avec sa veste verte.



La tête du lion de feu a été expliquée comme une explosion. Gare à l'attentat à l'explosif, donc, sans jeu de mot. C'est une grande gare et il y a toujours du monde. De plus, un attentat le jour des éléctions permettrait, si le candidat choisi n'est pas en bonne posture de reporter les élections aux calendes grecques et de prolonger non seulement l'état d'urgence qu'on nous impose depuis 2015, mais aussi le mandat de François Hollande, la France devenant alors ainsi une dictature.

D'autres indices, semés ça et là semblent pointer une attaque chimique au Danemark. "Just Eat" sur le scooter de Westminster et le restaurant Jensen's Bøfhus juste derrière l'officier de police portant un masque à gaz, cependant, même si je me suis déjà rendue au Danemark, il serait présomptueux de ma part de vouloir interpréter ces signes pour définir une alerte. N'importe quel Danois est mieux à même de voir ces indices.

Vous l'aurez compris, je souhaite réellement me tromper, mais dans le cas contraire, protégez-vous car rien ne les arrête.