mardi 31 décembre 2013

2013

L'année a vécu, il ne lui reste que quelques minutes, et 2014 est bientôt là, sans doute dans la continuité.
Malgré tout, il est de coutume de parler de l'année écoulée et de ses évènements marquants, alors allons-y.

Stéphane Hessel et Hugo Chavez nous ont quittés en 2013 et si, pour le premier, on peut incriminer la vieillesse, pour le second, tout porte à croire qu'on l'a un peu aidé à franchir le seuil. J'y reviendrai peut-être plus tard, bien que ce ne soit pas certain. Il y a plus urgent que l'irréversible, même si ça pourrait éclairer certains qui, pour le moment, vivent dans le brouillard avec la béatitude du bousier qui pousse sa boule de crotte.

En 2013, sans surprise, comme à chaque fois que la gauche est au pouvoir, de nouvelles impositions et de nouvelles taxes nous écrasent. On en vient à regretter le temps de la dîme et de la gabelle, au moins, en échange, les paysans avaient droit à la protection du seigneur du lieu. Maintenant, en plus d'être taxés à des pourcentages indécents, il faut se défendre contre un état malhonnête.
Gérard Depardieu a choisi de partir de France et il a bien fait de le faire tant qu'il en avait encore les moyens, 100% de prélèvements sociaux et fiscaux, c'est pour quand ?
On pourrait comparer la condition des travailleurs à une sorte d'esclavage, en pire, car les esclaves étaient nourris alors que les smicards doivent aller mendier des bons alimentaires pour survivre ou faire la queue au restau du cœur où on gère aussi la pénurie. La situation en France pourrait bientôt être aussi catastrophique que celle des Etats-Unis.
La Bretagne s'est révoltée et je suis complètement d'accord avec le mouvement des bonnets rouges. L'éco-taxe, c'était la grosse goutte qui fait tout déborder.

Mais le pire de cette années 2013 à mon sentiment, c'est la dégringolade de la société occidentale vers des profondeurs insondables. La théorie du genre, que le gouvernement socialiste tente d'imposer dès le plus jeune âge, va déstabiliser les enfants, leur enlevant leurs derniers remparts contre la bestialité des adultes. Les affaires de pédophilie éclaboussent artistes, députés et ministres en toute impunité, au vu et au su du public qui reste les bras ballants en attendant sans doute que ça arrive à leurs propres enfants avant de lever un sourcil.
Malgré l'opposition absolue des Français, les députés de gauche, aux ordres de leur chef de file, ont voté sans état d'âme une loi qui permet le mariage entre deux personnes de même sexe. Pour fonder une famille, je me demande comment ça va se passer, sans la cellule de l'autre sexe pour faire un nouvel être humain. Je crains le pire, c'est à dire, la traite des utérus. La femme ravalée au rang de reproductrice, comme au temps des camps de reproduction du Lebensborn. Cette traitrise va sans doute coûter fort cher aux socialistes, et je souhaite que les Français s'en souviennent longtemps.
Farouchement opposée au mariage pour tous malgré mon indifférence à l'égard de la sexualité de ceux que je connais, j'ai été traitée d'homophobe. Je ne vis pas avec mon temps, parait-il. Sans doute. Il est vrai qu'à l'école, j'ai appris à lire et à écrire correctement et l'histoire et la géographie. Maintenant, la priorité, c'est le sexe, dès le CP. Combien faudra t-il de temps aux partisans des pratiques pédophiles pour me traiter de pédophobe rétrograde ? La justice italienne vient de faire un nouveau pas dans ce sens en qualifiant de relation amoureuse l'acte sexuel d'un travailleurs social de 60 ans sur une fillette de 11 ans qu'il était censé cadrer. Je les entends déjà agiter leurs slogans , les socialos LGBT : "Quel intégriste décadent va oser s'indigner ?" Un peu de patience, ça va bientôt arriver en France. On parie pour 2014 ?



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