la conquête de l'espace a commencé dans les années 30 en Allemagne avec Wernher von Braun. Cet ingénieur a conçu les premiers missiles pour l'armée allemande. A la fin de la seconde guerre mondiale, il a émigré aux Etats-Unis avec son équipe de chercheurs.
L'URSS s'est illustrée en mettant en orbite les premiers satellites. Ils ont également été les premiers à envoyer des êtres vivants autour de la terre. Nul ne sait combien périrent avant le vol de Youri Gagarine, qui a quand même expliqué qu'il avait du s'éjecter de la capsule bien plus haut que prévu à cause de la température infernale qui régnait à l'intérieur. En Union Soviétique, la clarté n'était pas la règle. On taisait les mauvaises nouvelles.
Après le triomphe de Gagarine, les États-Unis, mortifiés de ne pas avoir été les premiers, sont alors entrés dans la course, promettant, par la voix de son président John Kennedy, qu'un Américain poserait le pied sur la lune avant la fin de la décennie.
Le 21 juillet 1969, la NASA nous gratifie d'un spectacle de mauvaise qualité, en direct : le premier pas de Neil Amstrong sur le sol lunaire. J'avais passés la nuit devant le petit écran et franchement, si c'était du Stanley Kubrick, il a fait mieux.
Évidemment, j'ai d'énorme doutes sur la véracité de la visite de la lune par les astronautes américains et ce pour de multiples raisons, dont la lecture des compte-rendus de Youri Gagarine et plus tard, de German Titov, les cosmonautes, qui semblent dire que sur cette histoire d'espace, tout le monde a brodé. D'ailleurs, la mort de Gagarine est arrivée au bon moment pour arrêter son envie de parler. Originaire d'un milieu modeste, il n'était probablement pas habitué aux mensonges des "élites" et pour l'URSS mieux valait un héros mort qu'un traître vivant. Ils n'avaient d'ailleurs pas l'exclusivité du procédé.
Ce dont je voudrais parler, c'est de la navette Challenger et de son explosion quelques minutes après le décollage de Cap Canaveral. L'année ne faisait que commencer et le monde venait déjà d'être secoué par l'annonce de la mort de Thierry Sabine, Danierl Ballavoine et leur équipe sur le Paris-Dakar. De plus, par pure coïncidence, je venais d'acheter à mes filles des survêtements dont le haut comportait l'écusson ci-contre et la première chose à laquelle j'ai pensé, c'est que le créateur de ces vêtements était un visionnaire inspiré. Mais finalement, après avoir regardé le film ci-après, je me dis qu'il y avait peut-être une autre raison.
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