Ce blog a l'air en jachère. Il ne produit plus. C'est ce qui arrive parfois aux meilleures terres qui ont aussi besoin de rester sans être exploitées pendant un petit moment.
L'hiver a été rude et le printemps ne l'a pas été moins.
On ne peut semer que sur un sol fertile. Or, là, tout est saturé. La presse agit comme l'agent orange. Tout anéantir, tout désertifier.
J'ai pu constater en plusieurs lieux de discussions, que l'esprit avait quitté les contributeurs, que le COVID19 qui avait commencé comme une épidémie, se poursuivait, des mois après, comme une expérience en vraie grandeur sur la facilité à générer des esclaves.
Il est notable que la plupart des intervenants se comporte comme un bloc ne supportant aucune contradiction dans l'empilage des chiffres catastrophe et des pires scénarii qui pourraient se jouer tels que décrits dans les media.
Le mot "cluster" bien plus terrifiant que l'expression "foyer infectieux" semble désigner une sorte de cocotte minute prête à exploser en projetant en l'air des milliards de petites bêtes féroces et sans doute radioactives qui sautent comme des puces sur des hérissons. Des puces immortelles, bien entendu.
Face à tant de crédulité, j'attends la suite. La situation ne peut pas durer éternellement. Il va y avoir un tournant et c'est ce qu'il en faudra pas louper.
En attendant, j'ai le sentiment, comme déjà à plusieurs autres occasions, d'être née dans un pays de pleutres et de ratés et ça me fait vraiment chier. J'aimerais pouvoir être fière de ce pays et en ce moment, je ne cache pas que c'est très difficile. Les coqs sont enroués et ne chantent plus.
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