jeudi 18 juillet 2013

Varg Vikernes, épisode 1

A quoi sert la presse aujourd'hui, si ce n'est comme instrument de propagande des gouvernements ?
Tous les jours, les journalistes répètent les uns copiés sur les autres, des mensonges auxquels, hélas, la plupart des personnes qui en prennent pas le temps de s'informer croit.

Nouveau coup de Tarnac de la DCRI.
Parmi les personnes qui pourraient, au conditionnel, faire l'objet d'une médiatisation à outrance au profit du blason défraîchi du gouvernement, ils ont choisi Varg Vikernes. Je ne renvoie pas à la page wikipedia qui en parle en français, bien qu'elles soit assez distrayante par son français approximatif de pur style google-traduc.

Il ne nous appartient pas de juger des actes l'ayant déjà été par un tribunal légal et pour laquelle une peine a été purgée. On ne présume pas de l'intention de commettre un acte terroriste sur des rumeurs, surtout lorsqu'elles proviennent de services secrets dont les méthodes sont contestables. A ce propos, j'ai retenu au moment de la nomination de Manuel Valls au ministère de l'intérieur, qu'il ferait toute la lumière sur l'affaire Merah. Une lumière qui reste comme un étron de chien dans une lanterne, étouffée.

La déclaration de Manuel Valls concernant Varg Vikernes fait surtout ressortir le fait qu'ils n'ont rien contre lui. Ils l'arrêtent pour des propos tenus sur son blog. Un délit de liberté d'expression ?
Après le refus d'accorder le droit de survol à l'avion du président Bolivien et s'être mis à dos toute l'Amérique Latine, est ce que les agissements du gouvernement français vont aussi nous créer une brouille avec la Norvège où cette affaire fait passer les Français pour des clowns ?

Le point positif de cette affaire, c'est que ça m'a permis de prendre connaissance des écrits de Varg Vikernes. Sans doute faudra t-il apprendre à Varg que la France a de beaux villages où on s'entend bien avec ses voisins, mais que la liberté d'expression n'y est pas du tout la même qu'en Scandinavie. La presse est prisonnière et surveillée et à terme, ce seront toutes les personnes qui se trouvent sur le territoire national qui seront soumis à cette censure.

Il y a des personnes dangereuses en France, certes, mais elles ne sont pas là où on les croit.
La video qui suit, même si son objectif était la vérité sur le terrorisme islamique montre qu'en réalité, les extrémistes de droite et les djihadistes ne sont pour rien dans le terrorisme en France et dans l'Union Européenne, contrairement aux différentes mafias et aux indépendantistes. Il serait temps de rétablir la vérité en haut lieu au lieu d'agiter les épouvantails d'Al Qaida et des néo-nazis. Ce n'est pas moi qui le dis, ce sont les rapports de toutes les polices d'Europe.


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