vendredi 31 juillet 2009
samedi 11 juillet 2009
Honfleur
De par sa situation, Honfleur est à la fois un port maritime et fluvial. Juste à la limite entre Manche et Seine.
Voici le vieux bassin du port de Honfleur, dont toutes les façades sont classées et qui sont autant de témoins de l'architecture des villes normandes des derniers siècles. Dommage que les bateaux qui y font escale ne soient pas tous de vieux gréements.
Et oui, en Normandie, il arrive qu'il pleuve. Là ce n'était pas encore tombé, mais il s'en est fallu de peu que la photo soit mouillée. Le vieux Bassin du port de Honfleur, maintenant juste un port pour la navigation de plaisance. Le port de pêche ayant été relégué à l'extérieur. Je ne vous montre pas les quais vides, tous les bateaux étaient en mer.
A l'entrée du vieux bassin, la Lieutenance, vestige des fortifications de la ville, constituait, au seizième siècle, la demeure du Lieutenant du Roi. La photo a déjà quelques années, mais rien n'a changé. On ne la voit pas, mais elle se trouve juste à droite de la photo suivante.
Honfleur est réputé pour être la cité des artistes. Il y a toujours quelques peintres sur le vieux bassin et parmi les commerces du port, un sur deux est une galerie d'art. Cette photo a d'ailleurs été prise devant la galerie Katia Granoff, où, encore très jeune j'ai vu les premières marines de Jean Jacques Morvan, ignorant encore que, quelques années plus tard, il allait devenir mon ami.
Mais Honfleur, ce n'est pas seulement la mer. C'est aussi une cité médiévale très bien conservée.
Ci dessus, l'intérieur de l'une des deux nefs en forme de coques de bateaux renversées de l'église Sainte Catherine, construite à la fin de la guerre de cent ans, tout en bois.
Le clocher de cette église se dresse à quelques mètres des porches. complètement séparé, ce qui en fait une exception. Au début du 19ème siècle, un fronton de style empire avait été construit à l'extérieur. Fort heureusement, en mauvais état, il a été démoli.
Tout près du bassin, cette maison témoigne du style dominant la vieille ville de Honfleur, colombages avec soubassement en pierre et encorbellements..
Honfleur a vu au cours de siècles son territoire disparaitre peu à peu dans l'eau, victime du courant de 700 m3 par seconde du débit de la Seine, le va-et-vient de la marée, sans compter le vent, les tempêtes et le mascaret.
On estime à un kilomètre plus avant dans la mer la situation du port romain de Portus Niger il, y a 20 siècles et depuis, la Seine s'est élargie de plus d'une centaine de mètres.
Sur cette dernière photo, le Havre, de l'autre côté de la Seine.
Voici le vieux bassin du port de Honfleur, dont toutes les façades sont classées et qui sont autant de témoins de l'architecture des villes normandes des derniers siècles. Dommage que les bateaux qui y font escale ne soient pas tous de vieux gréements.
Et oui, en Normandie, il arrive qu'il pleuve. Là ce n'était pas encore tombé, mais il s'en est fallu de peu que la photo soit mouillée. Le vieux Bassin du port de Honfleur, maintenant juste un port pour la navigation de plaisance. Le port de pêche ayant été relégué à l'extérieur. Je ne vous montre pas les quais vides, tous les bateaux étaient en mer.
A l'entrée du vieux bassin, la Lieutenance, vestige des fortifications de la ville, constituait, au seizième siècle, la demeure du Lieutenant du Roi. La photo a déjà quelques années, mais rien n'a changé. On ne la voit pas, mais elle se trouve juste à droite de la photo suivante.
Honfleur est réputé pour être la cité des artistes. Il y a toujours quelques peintres sur le vieux bassin et parmi les commerces du port, un sur deux est une galerie d'art. Cette photo a d'ailleurs été prise devant la galerie Katia Granoff, où, encore très jeune j'ai vu les premières marines de Jean Jacques Morvan, ignorant encore que, quelques années plus tard, il allait devenir mon ami.
Mais Honfleur, ce n'est pas seulement la mer. C'est aussi une cité médiévale très bien conservée.
Ci dessus, l'intérieur de l'une des deux nefs en forme de coques de bateaux renversées de l'église Sainte Catherine, construite à la fin de la guerre de cent ans, tout en bois.
Le clocher de cette église se dresse à quelques mètres des porches. complètement séparé, ce qui en fait une exception. Au début du 19ème siècle, un fronton de style empire avait été construit à l'extérieur. Fort heureusement, en mauvais état, il a été démoli.
Tout près du bassin, cette maison témoigne du style dominant la vieille ville de Honfleur, colombages avec soubassement en pierre et encorbellements..
Honfleur a vu au cours de siècles son territoire disparaitre peu à peu dans l'eau, victime du courant de 700 m3 par seconde du débit de la Seine, le va-et-vient de la marée, sans compter le vent, les tempêtes et le mascaret.
On estime à un kilomètre plus avant dans la mer la situation du port romain de Portus Niger il, y a 20 siècles et depuis, la Seine s'est élargie de plus d'une centaine de mètres.
Sur cette dernière photo, le Havre, de l'autre côté de la Seine.
vendredi 10 juillet 2009
Normandie
La Normandie est une région qui ne correspond pas à une réalité géographique, mais à une réalité historique.
Son territoire est celui des anciens ducs de Normandie durant 5 siècles.
Mon ambition n'est pas de faire ici un cours d'histoire de la Normandie, mais de situer certains endroits de cette belle province où je suis venue pour travailler et où je suis restée.
Les endroits remarquables dont je veux parler sont écrits en rouge, mais pour pouvoir lire la carte, il est indispensable de l'agrandir.
J'ai déjà parlé de l'abbaye du Bec Hellouin et de La Haye de Routôt près de la forêt de Brotonne, et il me semble que je ne peux pas passer sous silence des endroits comme Honfleur, les falaises d'Etretat ou Varengeville sur Mer. Les articles qui vont suivre seront donc consacrés à ces merveilleux endroits.
Son territoire est celui des anciens ducs de Normandie durant 5 siècles.
Mon ambition n'est pas de faire ici un cours d'histoire de la Normandie, mais de situer certains endroits de cette belle province où je suis venue pour travailler et où je suis restée.
Les endroits remarquables dont je veux parler sont écrits en rouge, mais pour pouvoir lire la carte, il est indispensable de l'agrandir.
J'ai déjà parlé de l'abbaye du Bec Hellouin et de La Haye de Routôt près de la forêt de Brotonne, et il me semble que je ne peux pas passer sous silence des endroits comme Honfleur, les falaises d'Etretat ou Varengeville sur Mer. Les articles qui vont suivre seront donc consacrés à ces merveilleux endroits.
80's
Quand on a trente ans et qu'on est amoureux, c'est une façon extrêmement sympathique d'occuper ses samedis soirs et ce n'est pas aussi difficile que ça en a l'air, il suffit de bien s'entendre avec son partenaire, le reste vient avec de l'entraînement.
jeudi 9 juillet 2009
Des artistes en herbe
Une quarantaine d’enfants, âgés de 8 à 13 ans, issus de six centres d'accueils de loisirs de l’agglomération de Rouen, Haute Normandie, vous proposent de visionner leur œuvre, filmée dans le cadre des Ateliers du mercredi organisés par la Communauté.
Les enfants ont préparé le tournage, élaboré le scénario, créé les décors et costumes, recherché les accessoires et répété la chorégraphie en participant à des ateliers animés par les professionnels de la société Arcanes Productions. (le 20/05/2009 la Halle aux toiles, Rouen, Don't worry be happy de Bobby Mac Ferrin)
vendredi 3 juillet 2009
In affectionate remembrance of Brian Jones
Peace, peace! he is not dead, he doth not sleep -
He hath awakened from the dream of life -
'Tis we, who lost in stormy visions, keep
With phantoms an unprofitable strife,
And in mad trance, strike with our spirit's knife
Invulnerable nothings. -We decay
Like corpses in a charnel; fear and grief
Convulse us and consume us day by day,
And cold hopes swarm like worms within our living clay.
--From Adonais by Percy Bysshe Shelley
Brian Jones 28/02/1942 - 03/07/1969
mercredi 1 juillet 2009
Maria Valtorta
Si vous saviez quel esclavage c’est que d’être instrument de Dieu […] Cela entraîne sommeil, faim, souffrances, fatigues, envie de penser à autre chose, de lire des écrits qui ne soient pas des paroles de source surnaturelle, de parler et d’entendre des choses ordinaires, l’envie d’être et de vivre comme tout le monde, ne serait-ce qu’un seul jour : tout cela, la brûlure inexorable de la volonté de Dieu les empêche de l’avoir et de le réaliser. Sur tout cela, la hargne des hommes dépose son sel et son acide, comme si le maître de la galère mettait du sel et du vinaigre sur les brûlures de ses esclaves
Maria Valtorta
"l'Évangile tel qu'il m'a été révélé" (Il Poema del Uome Dio)
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