samedi 6 mai 2017

Pauvre France

Je dis pauvre France, mais je devrais dire, c'est bien fait, vous avez mérité ce qui vous arrive. Le souci, c'est que vous avez entraîné dans vos choix indignes nombre de ceux qui voulaient un réel changement de politique en France et non "Macron la continuation" dont le mouvement ne peux que nous emmener "en marche arrière" vers plus de socialisme décadent, plus de Hollande, plus de Manuel Valls alors que vous disiez tous en avoir marre jusqu'à la nausée.

Aucun des deux candidats qui restent en lice ne va rompre avec la désastreuse politique de l'Union Européenne mais Marine Le Pen promet un référendum, ce qui est tout de même une lueur d'espoir pour ce combat que je considère comme étant l'absolue priorité, rien n'étant possible tant que la France reste dans ce carcan qui interdit à n'importe quel chef de gouvernement de prendre la moindre décision mais oblige à la stricte obéissance aux directives européennes et plus particulièrement aux "Grandes Orientations de Politique Économique" publiées en juin 2016 et qui devront être suivies à la lettre par celui, n'importe lequel, qui sera élu. D'ailleurs, Macron l'a bien dit "On se moque des programmes..." parce qu'il sait qu'il n'a qu'un rôle à jouer, répercuter ce qu'on va lui ordonner. Alors si on pense printemps,comme il nous l'a suggéré, on pense aux printemps arabes téléguidés de l'étranger qui ont mis la Libye à sang et agit de même en Syrie, on pense aussi à l'Ukraine où le président élu régulièrement par le peuple a été remplacé par un coup d'état organisé outre-Atlantique. Alors "pensez printemps" pour moi, c'est l'annonce de la guerre civile, des exécutions sommaires auxquelles nous avons déjà été un peu habitués avec les deux précédents présidents, de l'autoroute de la finance et des laissés pour compte de plus en plus nombreux. Macron, c'est "en marche ou crève". Derrière Macron, c'est Hollande, mais c'est aussi Attali, c'est la peste qu'on connait trop alors même si ce n'est pas mon choix véritable mais plutôt un sauve qui peut, je le dis, pour moi, c'est tout sauf Macron.

Voilà ce que ceci m'a inspiré :

Je ne le signe pas, je ne mets pas de copyright, au contraire, plus il sera copié et plus je me réjouirai.

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