"Les utilisateurs non payants du réseau social ne peuvent plus consulter que 600 tweets dans la journée depuis ce samedi 1er juillet. Le patron assure compenser ainsi l’utilisation massive des données pour l’intelligence artificielle."
C'est dans Libération.
Vous pouvez lire l'article pour plus de précision sur la guerre que se livrent Twitter et Microsoft, un géant de l'informatique qui a réussi le même coup qu'avec le COVID en informatique, c'est à dire semer les virus pour vendre les "vaccins", comprendre les antivirus et ainsi pourrir avec sa corruption tout le web.
Elon Musk aurait donc limité les flux disponibles pour barrer la route à Microsoft.
Admettons. Mais ce n'est pas pour tout le monde pareil :
- 6 000 messages par jour pour les comptes vérifiés et payants
- 600 pour les utilisateurs non vérifiés
- 300 pour les nouveaux comptes.
Le faire savoir est donc une véritable campagne en faveur de ce petit macaron bleu qu'on colle près de votre identifiant mais qui vous coûte 9,60€ TTC par mois (11€ pour l'application Androïd, 12 pour l'iOS. )8€ HT. Elon Musk avait oublié la TVA dont l'état français n'envisage évidemment pas de se passer.
Une première manipulation avait concerné la visibilité des tweets, nettement différente selon qu'on paye ou non. Avoir un compte gratuit, c'était 10 fois moins de lecteurs.
Hier, c'était le premier jour du changement et ça a engendré un fouillis monstrueux. Dans un premier temps, j'étais incapable de lire les tweets de ceux à qui je me suis abonnée alors que je n'en ai pas vraiment beaucoup. Immédiatement après, je ne pouvais plus accéder à la page où je vois ce que j'ai moi-même publié et donc contrôler ce qui a été vu ou aimé et le ratio des deux. Quelques minutes seulement plus tard, tout était vide à l'exception des bannières d'en-tête. J'avais bien des notifications mais j'étais incapable de les lire. Je ne pouvais plus qu'écrire. Ok, je me rends, je pars.
J'ai donc jeté une bouteille à la mer avec l'adresse de ce blog, un endroit où personne ne demande d'argent à personne et où l'expression est libre. Seules les insultes et la raillerie sont interdites.
Il se chuchote qu'il s'agirait d'une forme de censure et que seule la France serait touchée. Cette manœuvre permettrait en effet de réduire la visibilité de certaines infos sans encourir les foudre de la censure française, la plus active au monde, bien avant la Chine, la Russie ou même la Corée du Nord.
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