Citation

Cherchez et vous trouverez. C'est ce que je fais dans ces pages. Il y a de tout : de la science, de l'humour, du scandale, de la passion, de l'histoire, en bref, tout ce qui fait une vie.

mercredi 15 octobre 2025

Google attaque

 Une nouveauté sur Blogger : la possibilité de faire des aperçus sous forme de liens sur les gens ou sur les évènements dont on parle. Il va de soi que c'est Google qui va maîtriser ces liens et on va se retrouver avec une intrusion insupportable de style Wikipedia qui ne se réfère qu'à la presse subventionnée, donc sous influence gouvernementale. Alors non merci. J'espère seulement que ça va rester un choix, sinon, ce sera la vraie fin de la liberté d'expression. 

le problème des peuples, c'est que leur principale préoccupation pour le moment, c'est de savoir quoi mettre dans son assiette qui soit à la fois comestible et sain à prix raisonnable. C'est une lutte de tous les instants. Le choix du commerçant est vite fait, c'est supermarché ou hypermarché. Aller chez un boucher ou un boulanger est devenu marginal. J'ai connu l'époque des petits épiciers et des verres consignés. On y allait à pieds et on rencontrait en chemin tous les gens du quartier avec qui iol y avait de vrais échanges de personne à personne. On ne se parlait pas entre voisins avec Whats'App et personne ne cherchait à savoir ce qu'on se disait. L'espionnite, ou surveillance extrêmiste, est la vraie maladie du 21ème siècle et pour ça, les champions sont Facebook et Google. Lorsqu'on fait une recherche et que dans les résultats se trouvent des liens vers Facebook, qui ne sont pas explicitement signalés, on se trouve avec un mur de connexion. Je n'ai pas de compte, donc, je n'ai pas accès. Instagram, c'est pareil mais Youtube aussi. Contrôle, contrôle, contrôle... Je l'ai déjà dit, les réseaux sociaux fonctionnent comme des sectes. Je ne sais pas si Twitter, maintenant X, est aussi sectaire car il y a des résultats visibles, même s'il y a une invitation à créer un compte pour découvrir plus. 

Un autre problème avec internet et l'information qui y circule, ce sont les ultra-protections que les navigateurs et moteurs de recherche se vantent d'offrir à leurs utilisateurs. Sous ce prétexte, l'information est bloquée. J'ai un exemple qui date d'hier. Un blogueur qui d'un coup ne peut plus accéder à l'écriture de nouveaux articles et à la publication des ses propres images avec l'excuse de la sécurité. Après plusieurs heures de lutte, il abandonne. Il faut dire que bloguer est un travail qui ne rapporte rien d'autre que des attaques personnelles lorsqu'on ne répète pas servilement le politiquement correct. Qu'on mette en doute un discours officiel et d'un coup, on est un vieux con qui pérore sur le banc devant la mare pour se venger d'une calvitie naissante ou d'une vie de merde avec une mégère ou un alcoolo. Ceux dont le discours pourrait avoir un intérêt fuient. Google aussi fait le tri. Aussitôt que ce que vous écrivez sort du chemin, il relègue votre lien en fin de 34ème page, là où personne ne va voir. L'intolérance est devenue la règle. Les gens se regroupent par famille d'opinion. C'est la fin de la diversité, un mot désormais utilisé pour autre chose. Tout ce dont vous ne trouvez pas les liens sur Google est invisibilisé. Google se prend pour un dieu et malheureusement, en haut lieu, on le laisse faire car "on" en profite.

La question est de savoir si un état démocratique peut accepter ça.

lundi 6 octobre 2025

Naufrage du Sewol, encore quelques questions.

 Il faut bien le dire, mes articles les plus lus ces derniers temps sont ceux sur le Sewol, ce ferry sud-coréen dont le naufrage a causé la mort de 304 personnes sur les 476 qui étaient à bord. Ces lecteurs ne sont pas tous sud-coréens. Ils viennent de partout. Comme moi-même, ils cherchent une explication au comportement impossible, pour un ferry de sa catégorie, qui a précédé le naufrage.

Parmi les évènements inexplicables par le récit officiel, il y a le vol plané d'un professeur accompagnant les étudiants, que les élèves témoins du fait ont décrit comme un homme de plus de 100 kilos, littéralement arraché de son banc avant de traverser sans toucher le sol toute la largeur du salon soit une dizaine de mètres et qui a disparu dans la mer en passant par les portes latérales du côté bâbord. C'est l'une des victimes non retrouvées. Ceci s'est produit lors du demi-tour serré, non expliqué, lui aussi, donc, tout au début de l'accident, imédiatement avant que le ferry gîte sur bâbord.

Limage qui me vient est celui du club de golf qui frappe la balle pour l'envoyer à l'autre bout du parcours. A un détail près, au golf, on ne peut pas parler d'accident. Le ferry lui-même n'ayant pu générer le "coup de club" il faut nécessairement qu'une force extérieure soit venue frapper le ferry qui en a transmis la force à cet homme, mais aussi à des réfrigérateurs qui se sont déplacés ou sont tombés dans les ponts inférieurs et aux véhicules, qui, étant attachés au sol ont simplement transmis cette force aux chaînes de fixation.

Une force extérieure ce peut être un relief, mais on a vu qu'il n'y en avait pas. Ce peut aussi être un autre navire. Un navire invisible à la surface et dont l'AIS est silencieux. Hum... je ne vois qu'un bâtiment militaire qui navigue sous l'eau, autrement dit un sous-marin. Cette hypothèse aurait le mérite d'expliquer la trace d'un objet de taille importante, une centaine de mètres, repérée par le radar qui se sépare de la trace du ferry après le choc et redisparait aussi soudainement qu'elle était apparue. 

Le Sewol indiqué en blanc, et à droite, imédiatement sous le repère rouge qui montre le moment de l'accident, la deuxième trace enregistrée par le radar, qui ne sont pas des conteneurs  mais un objet bien plus important.

Ceci expliquerait aussi la suite. Pas d'ordre d'évacuation, pas ou très peu d'aide au sauvetage, en empêchant ceux qui auraient pu aider d'intervenir car on ne sait pas qui a vu quoi et les morts ne parlent pas. Peut-être est-ce pour voir ce qui se passait sous le ferry, notament au cours des minutes précédant l'accident pendant lesquelles le ferry a constamment changé de cap, faisant comme une sorte de zig-zag, que l'échosondeur a été utilisé et non pour mouiller une ancre qui est peut-être tout simplement restée en place. La course en arc de cercle parfait du ferry penché pouvant n'être qu'une coïncidence que je n'explique donc pas. 

Il y avait des bâtiments de la marine américaine dans le coin. Leur espace de manœuvre était tout près. D'ailleurs, le "Bonhomme Richard" était l'un des premiers sur place, l'armée coréenne lui a interdit d'intervenir. Si sous-marin il y avait, c'était peut-être un essai. 304 morts pour une faute non avouée, ça fait beaucoup quand même. Bien entendu, ce n'est, encore et toujours, qu'une hypothèse. Pour les familles, par contre, ce sont 304 personnes qui manquent et manqueront toujours.

.


jeudi 2 octobre 2025

Orthographe et grammaire

 Comme beaucoup de personnes, il m'arrive de me tromper lorsque j'écris un mot. Le plus souvent, il s'agit de fautes de frappe ou d'inattention. J'ai eu la chance d'avoir de bonnes maîtresses d'école qui ne laissaient rien passer et insistaient sur les règles d'écriture, les accords et les autres subtilités de la langue française. Qu'elles en soient remerciées. Nous allions à l'école pour apprendre l'essentiel.

Ce qui déclenche cet article est la réception d'un commentaire, que je n'ai pas publié, qui avait été modéré par Blogger, et qui comportait un nombre de fautes tellement important que j'ai du le relire pour être certaine de comprendre. On pourrait dire que je censure. Alors oui, je censure. Grossièretés, insultes, publicité, je censure, mais c'est la première fois que je suis confrontée à ce problème sur la langue française, du moins, à ce point, car d'autres commentaires, au moment où j'en avais, sont passés avec des fautes mineures qui n'affectaient pas la compréhension. D'autre part, j'ai moins de scrupules à le laisser dans le spam car, si j'en ai bien compris le sens, il laissait entendre que je n'avais pas toute ma tête.

Le français est une langue difficile. En réalité, toutes le sont pour qui ne les pratique pas, mais j'entends par difficile qu'elle est subtile et exigeante. "J'ai été au coiffeur" disait une voisine. C'est du language parlé, certes, mais ce qui était plus ennuyeux, c'est qu'elle était institutrice. On dirait aujourd'hui "professeur des écoles" mais ça ne change rien au fait qu'elle devait être un modèle pour des enfants qui allaient plus tard tous "être au coiffeur" car, qu'on le veuille ou non, "été" est le participe passé du verbe être et non du verbe aller. 

On critique parfois ma façon d'écrire. Elle serait "élitiste". Peut-être. J'ai été nourrie de littérature classique. Émile Zola et Victor Hugo ont été mes maîtres. Les grands auteurs français ont une bonne place dans ma bibliothèque. Je ne dédaigne pas les relire. 

Je crois utile de préciser que le langage des premiers "textos" facturés au caractère par des crétins avides de profit n'a pas été pour rien dans la dégradation de l'orthographe des jeunes générations. J'en ai reçu quelques uns, je n'ai jamais pu en décrypter le sens. Je pense à présent si le commentaire dont je parlais au début de cet article fait partie de ces messages étranges qu'il faudrait traduire. N'en ayant pas la clé, je le laisse donc dormir.

mardi 30 septembre 2025

Double nationalité et patrie

La nationalité, en droit, est le lien juridique et politique qui rattache un individu à un État souverain. 
La France ne fait aucune distinction entre ce qu'elle nomme les binationaux et les autres Français dans les domaines des droits et des devoirs liés à la citoyenneté française. Autrement dit, il est légal, en France, de servir plusieurs maîtres, moins élégamment dit, d'avoir le cul entre deux ou même plusieurs chaises.

Si on laisse de côté la dimension juridique de la notion de nationalité, on peut se poser la quesion de savoir ce que posséder plusieurs nationalités suppose. Qu'en est-il de l’attachement de la personne à la nation ? A quel pays le binational va t-il être fidèle ? Lequel vont-ils servir en cas de conflit ? Ces questions auxquelles il appartient à chacun de donner une réponse, posent un problème lorsqu'il s'agit d'élire une personne à une fonction publique. Tous les élus devraient évidemment être exclusivement français, dans le cas de la France, qui est mon pays. Je ne comprends même pas que ça puisse être discuté. 

Qu'on ait une afinité particulière avec un autre pays ou qu'on désire fuir le sien, ceux qui s'expatrient n'ont pas plus de raison de garder leur ancienne nationalité. L'adoption du nouveau pays devrait être une adoption absolue. Langue, coutumes, traditions, manière de vivre. Il est difficile, dans ce cas, d'envisager de garder une ancienne nationalité. Je comprends parfaitement que certains pays exigent certaines connaissances sur leur pays et une bonne maîtrise de leur langue avant d'accepter qu'un étranger prenne leur nationalité. Si c'est pour y travailler, un permis de séjour suffit. 

A cause de ce qui précède, et parce que certains naissent de parents de nationalités différentes, la double nationalité devrait être réservée aux enfants mineurs. A eux de choisir lorsqu'ils arrivent à la majorité. Je reconnais que l'abaissement de la majorité à 18 ans complique les choses car à cet âge, on n'a pas encore vraiment la maturité nécessaire pour décider d'un choix aussi important pour le reste de sa vie. Mais lorsqu'on a dépassé la cinquantaine et qu'on reste entre deux pays sans être capable de se décider, où est le problème ? 

L'un de mes anciens voisins, après un grave accident de voiture qui a failli le tuer, a décidé brusquement de s'expatrier au Canada. Il a fait des démarches, a trouvé un emploi, est parti en quittant femme et enfants et depuis, on n'a plus jamais entendu parler de lui, sauf chaque mois pour le paiement de la pension alimentaire jusqu'à la majorité du dernier. Il n'est plus français et c'est bien comme ça que je l'entends.

Parallèlement, je vois régulièrement passer des infos sur des binationaux qui importent en France leurs coutumes, leur religion (de façon envahissante) et affichent publiquement qu'ils sont fidèles à un autre pays bien plus qu'à la France dont ils profitent cependant largement grâce à leurs mandats électoraux ou à leurs postes bien placés dans la presse et l'audiovisuel. Et bien, je pense que nous ne devrions pas accepter ça. S'ils sont élus, il faut qu'ils fassent le choix de la France. Exclusivement.

D'autre part, si on est attaché à la notion de nationalité, on ne peut qu'être défavorable aux dispositions qui tendent à effacer celle-ci. L'Union Européenne est un bon exemple. On ne peut pas se sentir essentiellement français si on accepte de faire partie de cette bouillie de 27 états qui ont perdu leur souveraineté. La nationalité européenne n'existe pas plus que son drapeau. 

mercredi 24 septembre 2025

L'assassinat de Charlie Kirk - balistique et autres infos

 En cherchant ce sujet, je suis tombée sur plusieurs enquêtes de vidéastes. Celle que je partage aujourd'hui m'est apparue comme pertinente car son auteur examine pluieurs possibilités et souligne les invraisemblances de la version officielle. C'est en anglais, c'est aussi sous-titré en français. 1h03 :


samedi 20 septembre 2025

RGPD c'et quoi ?

RGPD c'est l'acronyme de "Règlement Général sur la Protection des Données". 
Il s'agit d'un texte réglementaire européen qui vise à harmoniser et renforcer les règles de traitement des données à caractère personnel au sein de l'Union européenne. 

Entré en application le 25 mai 2018, il protège les droits des personnes en accordant aux individus un meilleur contrôle sur leurs données personnelles, notamment le droit d'accès, de rectification, d'effacement, de limitation du traitement, de portabilité des données et d'opposition. D'autre part, il vise à responsabiliser les acteurs traitant de ces données. Les responsables du traitement et leurs sous-traitants doivent mettre en place des mesures techniques et organisationnelles pour garantir la protection des données. Enfin, il a été rédigé dans le but d'harmoniser les règles au sein de l'Union Européenne en créant un cadre juridique unique.

Pour plus de détails, rendez-vous sur le site de la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés)
https://www.cnil.fr/fr/reglement-europeen-protection-donnees

vendredi 19 septembre 2025

Charlie Kirk, Trump et les autres

 Comme tout le monde, j'ai été saisie par l'actualité outre Atlantique avec l'assassinat de Charlie Kirk. Si vous ne saviez pas qui était Charlie Kirk, il me semble que cette lacune a été largement comblée depuis une semaine mais vous pouvez encore vous informer en utilisant les ressources d'internet. Méfiez-vous cependant de ces sources peu fiables que sont les media subventionnés, qui ne vivent que grâce à ces subventions et sont donc redevables à leurs généreux pourvoyeurs ainsi que de Wikipédia, encyclopédie autoproclamée dont la plupart des contenus pourraient être discutés mais ne sont pas discutable du fait de leur fonctionnement sectaire.

J'ai, bien entendu, une opinion sur cet évènement. Je ne dis pas que j'ai raison, mais il me semble que le discours officiel est suspect. Si vous vous souvenez de l'attentat contre Donald Trump lors de son rallye à Butler, en Pennsylvanie, en juillet 2024, il va vous être difficile de considérer les deux affaires comme étant différentes. 

Je pense que l'élection de Donald Trump est une bonne chose pour les États-Unis car il fallait en finir avec la corruption que je pourrais appeler en raccourci "Obama/Clinton" mais a commencé bien avant eux et  comporterait bien plus de noms si on voulait tous les citer. Donald Trump bouscule ce qu'il nomme "le marais" et place ses pions. Il a de nombreux adversaires et doit utiliser certaines ruses  pour parvenir à les contrer. Je pense personnellement, même si je ne vais pas me faire que des amis, que ce tir qui a éraflé l'oreille du futur président des États-Unis était vraiment providentiel pour lui attirer la sympathie de ceux qui hésitaient encore. Que le tireur ait été immédiatement éliminé est un argument de plus. Plus de tireur, pas de procès. On a fait la même chose avec John F. Kennedy et la plupart des gens ignorent encore, 60 ans après, ce qui s'est réellement passé. 

Je vais vous dire honnêtement que je ne sais pas si Charlie Kirk est mort ou vivant. Ce que je pense, c'est que s'il est mort, il se peut que le tireur ait raté l'oreille. je ne dis pas que j'ai raison, mais la mort de Charlie Kirk est quand même une bénédiction pour les États-Unis. Ce tir en a fait un martyr. Pour ce qui est de l'auteur présumé et des circonstances, il faut compter avec l'arsenal policier et judiciaire américain pour embrouiller les faits. En deux mots, zéro confiance. 

A ce sujet, je vous suggère l'écoute de cette émission de Candace Owens, dont Charlie Kirk était l'ami et qui ne lâchera pas l'affaire. Version doublée en français, 1h05. Pour la version originale, cherchez sur Youtube. Je ne donne pas de lien. Merci d'avoir lu.