dimanche 11 septembre 2011

11 septembre 2011

Et bien, voilà dix ans aujourd'hui, trois immeubles de grande hauteur étaient détruits à New-York, faisant approximativement trois mille morts.

Je pourrais m'arrêter là, car ce sont les seuls faits avérés.

Le problème est que cet évènement a profité à toute une catégorie de parasites de la société qui se frottent encore les mains de cette opération juteuse.

Au cours de la journée du 10 septembre 2001, les transactions sur les deux compagnies United Airlines et American Airlines sont 25 fois supérieures à la moyenne des transactions opérées habituellement sur ces deux compa­gnies.
De plus des niveaux élevés d’options de vente sur les actions de sociétés financières qui seront touchées par les attentats et de sociétés de réassurance qui couvriront les dégâts sont constatées les jours précédents, ainsi que des options d'achat énormes et inhabituelles sur les actions de la société Raytheon, fabricant d'armes.

Il s'agit du plus grand délit d'initié jamais vu.
Ceux qui ont impunément assassiné ces milliers de personnes le 11 septembre et conduit à la mort plusieurs millions d'autres en ont profité pour s'en mettre plein les poches. D'ailleurs, dans le monde de la finance, personne ne croit à la version officielle. Ils font juste semblant, ils n'ont pas envie de fournir des comptes.

Mais il n'y a pas que le crime financier. Il y a aussi le crime contre la démocratie.

Ces évènements ont eu pour effet d'anesthésier les populations qui ont avalé le morceau, lesquelles supportent sans trop broncher des lois anticonstitutionnelles et liberticides, ou acceptent de graves entorses aux droit fondamental de l'être humain comme l'usage de la torture, légitimé par les présidents Bush et Obama. Une soumission essentielle pour l'avènement du "nouvel ordre mondial".

Jusque là, ma définition du terrorisme était une guerre où, faute de moyens, tous les coups sont permis. C'est la raison pour laquelle je dirai que ce qui s'est passé en Afghanistan et en Irak, sans parler de la Serbie et de la Libye où les procédés ont été les mêmes mais ne découlent pas directement des évènements du 11 septembre 2001, est du terrorisme et non une guerre, car les guerres ont des règles qu'il faut respecter et les marchands d'armes à travers leurs marionnettes les présidents des Etats-Unis, ne respectent rien.

2 commentaires:

  1. Entièrement d'accord avec toi concernant ceux qui ont profité du 11 septembre pour spéculer, ses Etats qui nous contrôlent toujours plus au nom de la sécurité, alors que la délinquance n'a pas baissé. Ce qui parait évident, la répression n'est là que pour masquer le fait qu'aucun ne souhaite s'occuper de la source du problème qui remettrait en cause notre système.

    Il me parait clair aussi que ces soi-disantes guerres, sont basées sur des réalités, mais qui permettent de masquer les intentions peu louables de ses commanditaires, dont certains combattent au nom de Dieux...les Américains. A l'instar des musulmans que l'on met en exergue pour amoindrir les prières étasuniennes.

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  2. Ce qui me parait grave c'est qu'on n'ait pas cherché à savoir qui avait profité de cette "aubaine", car ces spéculateurs étaient certainement au courant de ce qui allait arriver et ont préféré encaisser le pactole plutôt que de sauver des vies.

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