Cette inauguration a été le prétexte a un spectacle pour le moins douteux, de mauvais goût et qui a généré énormément de tentatives d'explications, parmi lesquelles le satanisme de nos dirigeants, sur lequel il y aurait beaucoup à dire, mais ce n'est pas là le sujet.
Ces explications ne tiennent pas compte des légendes qui accompagnent les constructions de ponts un peu partout, surtout lorsque leur réalisation semble du domaine de l'impossible. Ainsi en est-il du pont de Beaugency qui, d'après la légende, fut l'objet d'un pacte passé avec le diable, ainsi en fut-il de même pour le pont du Diable, premier ouvrage à franchir les gorges de Schöllenen, érigé au début du 14ème siècle et qui ouvrit la porte au commerce vers le sud. Le premier être vivant à passer dessus avait été un bouc. Pour en savoir plus sur ce pont, c'est ici.
Ces explications ne tiennent pas compte des légendes qui accompagnent les constructions de ponts un peu partout, surtout lorsque leur réalisation semble du domaine de l'impossible. Ainsi en est-il du pont de Beaugency qui, d'après la légende, fut l'objet d'un pacte passé avec le diable, ainsi en fut-il de même pour le pont du Diable, premier ouvrage à franchir les gorges de Schöllenen, érigé au début du 14ème siècle et qui ouvrit la porte au commerce vers le sud. Le premier être vivant à passer dessus avait été un bouc. Pour en savoir plus sur ce pont, c'est ici.
Des extraits du spectacle, mis en scène par le réalisateur allemand Volker Hesse (qui ferait bien de prendre sa retraite), plutôt inspiré par une débauche sexuelle que par la légende :
Personne en revanche n'a évoqué l'inauguration proprement dite, le traditionnel ruban coupé aux ciseaux par le président de la Confédération, Johann Schneider-Ammann.
Ni la belle prestation entre les montagnes de la patrouille aérienne suisse, qui aurait été à elle seule parfaite pour cette inauguration, même si la Suisse a les moyens de s'offrir un spectacle à 8 millions.
Je ne résiste pas à l'envie de souligner l'inculture des journalistes américains d'Associated Press à cette occasion. Il vaut mieux en rire, même si en réalité, c'est affligeant.
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