Pour parler de l'objet de la vidéo, cette fille est une inline-skater exceptionnelle.
J'ai tenté le patin inline il y a quelques années, évidemment, ce n'est pas plus difficile que le patin à glace, mais pas à quelques centimètres près comme c'est le cas ici.
Ce qui force mon admiration, pour ne pas dire mon ahurissement, c'est cette totale absence de raideur, cette souveraine détente du corps, cette souplesse presque désinvolte, mais d'une précision chirurgicale.
Une chose pareille, quand bien même je puisse soupçonner quelques secret de jongleur, de prestidigitateur ou d'acrobate, ça tue la mort !
Oui, je suis moi-même restée incrédule devant la maîtrise du geste. Sans doute l'extrême légèreté de cette patineuse explique-t-elle également la raison pour laquelle elle se promène entre les cônes comme nous un doigt sur une table.
Une légéreté qui me laisse supposer que son jeune corps fait encore l'économie du poids de paquets de nerfs survoltés générés par les tracas de l'existence, quoiqu'il en soit je lui souhaite de continuer à esquiver les soucis de la vie avec la même grâce et légereté.
J'adore regarder les patineurs habiles, comme j'aime regarder les danseurs des samedi soirs sous les lumières kaleidoscopiques.
Et les doigts qui courent sur le clavier d'un piano générant la valse minute de Chopin ?
Et l'esprit libéré du corps trop lourd qui l'emprisonne ?
Sa vie de petite chinoise parait bien insouciante, mais dans quelques années, elle regrettera peut-être de n'être pas née américaine et de ne pas s'être gavée de nutella devant Woody woodpecker.
Hum, ... c'est vrai, j'avais oublié Chopin, ainsi que les doigts potelés de Segovia.
Concernant la valse minute j'ai trouvé ceci sur Wikipedia : ".. un des biographes de Chopin rappelle que le compositeur cherchait avec cette valse à décrire un chien pourchassant sa queue. Chopin appelait d'ailleurs cette valse « Petit chien »".
Autrement dit, ça aurait pu servir de musique de fond pour notre petite chinoise.
Le Nutella, j'en ai un pot, là, sur la table, miam !
Non non non ! la musique était parfaite justement. La valse du petit chien aurait donné à sa prestation un ton saccadé qui aurait occulté la grâce naturelle de la jeune chinoise.
Je ne vous l'ai pas encore dit, mais je suis avec intérêt les différentes phase de la lune telle que vous la présentez. J'ai, depuis toute petite, eu une grande attirance pour ce satellite de la Terre.
C'est d'ailleurs de cette façon que j'ai aluni chez vous.
Et c'est aussi pour ça que tu supportes ton cousin qui- pourtant - est ...comme la Lune , un peu béta , mais sans rancune , la vie c'est comme ça , Oui c'est comme ça .( Joe Dassin ) .
Momo ! Bienvenue ! Je reviens juste de Genéve . Dans votre copieuse filmographie je n'ai pas vu : La vie de Bryan ( Monthy Python ) , ni Flesh Gordon . Est ce un oubli ? J'ai bien écrit Flesh..non Flash , bien sur...
Krn, Je ne saurais vous dire à quel point je me réjouis de votre intérêt pour les phases de la lune, en effet, je suis profondément convaincu de l'influence des phases lunaires sur le comportement humain (j'ai tenu des statistiques qui tendent à confirmer cela).
Patton, je crois, si mes souvenirs sont bons, que je n'ai pas accroché sur "La vie de Bryan", et pour ce qui est de Flash (ou Fleche) Gordon, ma foi, j'avais bien aimé ce film (très formateur, surtout à l'âge ou je l'ai vu), en particulier la BO, avec le regretté et sympathique Freddy Mercury.
J'ai bien aimé "Las vegas parano", et j'ai très envie de voir "Lost in La mancha", documentaire sur la tentative, par TG, de faire un film sur Don quichotte.
Bon, je n'ai pas vraiment pris de notes mais, cependant, j'ai fait certaines observations qui tendent à confirmer ce fait.
Je ne ferai pas de commentaire sur les films dont vous parlez avec Patton, je suis affreusement claustrophobe et l'idée de me retrouver enfermée dans un cinéma ne me réjouit pas plus que de passer une soirée dans un parking souterrain.
Krn, connaissez-vous les joies du cinéma à l'air libre (open-air) ?
Cela pourrait être un palliatif à votre claustrophobie cinématographique, surtout en été.
J'ai vu récemment un joli dessin animé à l'air libre, Ratatouille et, je dois dire que, outre la différence d'appréhension spatiale due à la circulation de l'air frais notamment, j'ai passé un moment de pure jubilation critique, proche de cette euphorie si particulière à l'enfance.
D'autre part, certains films, pour exigeants qu'ils soient, sont inévitablement claustrophobiques de par leurs facture, leur rythme, etc...
Hélas, il est difficile de trouver des divertissements non bétifiants, des films aérés, qui divertissent à la fois de façon exigeante et généreuse.
Hélas, Momo, le climat de la Normandie, où je réside, à défaut d'en être originaire, ne permet pas ces divertissements à la fois rafraichissants et ludiques.
les caprices d'une averse ou la permanence du vent marin seraient pourtant un spectacle à part entière, mais alors, quel besoin d'un écran ?
Oui, c'est pas mal le lac Léman (je m'y baigne tous les jours de l'été).
Avant hier, j'ai dérogé à la régle, je me suis baigné dans le lac de Bienne, sur les rivages de l'ile saint-pierre (dans laquelle Jean- Jaques Rousseau fit un séjour célèbre ).
L'endroit est magnifique, magique, et il y a un hôtel de charme et un restaurant gastronomique en son milieu (un ancien édifice romain, transformé en cloître, puis en auberge) dans lequel j'ai mangé inoubliablement.
Alors là, je suis bouche bée. Je n'ai jamais été capable de tenir une seule seconde sur autre chose que mes deux pieds.
A la place de cette fille, je sais que mes deux pieds auraient exécuté une figure plus que libre et que mon seul souci aurait été d'éviter de faire le grand écart au dessus de ces plots et surtout d'y retomber assis.
Je lis que vous aimez l'Atlantique, belle Krn. Il est sauvage, brut, grandiose. J'aime cette confrontation. Quand je suis seul en mer, parfois, je pense au petit truc tout bète qui fait qu'on tombe hors du bateau. La mer ne pardonne pas, elle tue impitoyablement ceux qui ne savent pas. (L'Atlantique a pris Colas et Tabarly, et eux, savaient pourtant)
"De toutes les habitations où j'ai demeuré (et j'en ai eu de charmantes), aucune ne m'a rendu si véritablement heureux et ne m'a laissé de si tendres regrets que l'île de St-Pierre au milieu du lac de Bienne".
Jean Jaques Rousseau
Et j'ajouterai qu'il n'y a cependant rien d'extraordinaire à voir, si ce n'est le ressentir d'un lieu qu'il faudrait raisonnablement qualifier de magique.
J’en suis venu à penser qu'il y aurais des énergies subtiles à cet endroit.
En cherchant un petit peu, j'ai vu que, non seulement Jean-Jacques Rousseau, mais également Goethe, l'historien Coke, l'impératrice Joséphine Bonaparte ainsi que les rois de Prusse, de Suède et de Bavière ont apprécié ce magnifique endroit.
Si énergies subtiles il y a, vous les ressentirez, à condition de ne penser à rien d'autre et de se laisser porter par le lieu.
ça marche avec certaines vidéos et pas avec d'autres.
RépondreSupprimerIl y a un problème de code non reconnu par blogger.
Pour parler de l'objet de la vidéo, cette fille est une inline-skater exceptionnelle.
RépondreSupprimerJ'ai tenté le patin inline il y a quelques années, évidemment, ce n'est pas plus difficile que le patin à glace, mais pas à quelques centimètres près comme c'est le cas ici.
le patin intime ? encore une cochonnerie de fille ?
RépondreSupprimerExplique moi les étapes pas à pas pour foutre une vidéo sur mon blog (en privé e-mail ) MERCI !
RépondreSupprimerCe sont des fers à repasser ? Une blanchisserie chinoise ?
RépondreSupprimerQuelle grâce !
RépondreSupprimerCe qui force mon admiration, pour ne pas dire mon ahurissement, c'est cette totale absence de raideur, cette souveraine détente du corps, cette souplesse presque désinvolte, mais d'une précision chirurgicale.
Une chose pareille, quand bien même je puisse soupçonner quelques secret de jongleur, de prestidigitateur ou d'acrobate, ça tue la mort !
pleased to meet you here, Momo.
RépondreSupprimerOui, je suis moi-même restée incrédule devant la maîtrise du geste.
Sans doute l'extrême légèreté de cette patineuse explique-t-elle également la raison pour laquelle elle se promène entre les cônes comme nous un doigt sur une table.
Une légéreté qui me laisse supposer que son jeune corps fait encore l'économie du poids de paquets de nerfs survoltés générés par les tracas de l'existence, quoiqu'il en soit je lui souhaite de continuer à esquiver les soucis de la vie avec la même grâce et légereté.
RépondreSupprimerJ'adore regarder les patineurs habiles, comme j'aime regarder les danseurs des samedi soirs sous les lumières kaleidoscopiques.
Et les doigts qui courent sur le clavier d'un piano générant la valse minute de Chopin ?
RépondreSupprimerEt l'esprit libéré du corps trop lourd qui l'emprisonne ?
Sa vie de petite chinoise parait bien insouciante, mais dans quelques années, elle regrettera peut-être de n'être pas née américaine et de ne pas s'être gavée de nutella devant Woody woodpecker.
Hum, ... c'est vrai, j'avais oublié Chopin, ainsi que les doigts potelés de Segovia.
RépondreSupprimerConcernant la valse minute j'ai trouvé ceci sur Wikipedia : ".. un des biographes de Chopin rappelle que le compositeur cherchait avec cette valse à décrire un chien pourchassant sa queue. Chopin appelait d'ailleurs cette valse « Petit chien »".
Autrement dit, ça aurait pu servir de musique de fond pour notre petite chinoise.
Le Nutella, j'en ai un pot, là, sur la table, miam !
Et gourmand avec ça !
RépondreSupprimerNon non non ! la musique était parfaite justement. La valse du petit chien aurait donné à sa prestation un ton saccadé qui aurait occulté la grâce naturelle de la jeune chinoise.
Je ne vous l'ai pas encore dit, mais je suis avec intérêt les différentes phase de la lune telle que vous la présentez. J'ai, depuis toute petite, eu une grande attirance pour ce satellite de la Terre.
C'est d'ailleurs de cette façon que j'ai aluni chez vous.
Et c'est aussi pour ça que tu supportes ton cousin qui- pourtant - est ...comme la Lune , un peu béta , mais sans rancune , la vie c'est comme ça , Oui c'est comme ça .( Joe Dassin ) .
RépondreSupprimerMomo ! Bienvenue ! Je reviens juste de Genéve . Dans votre copieuse filmographie je n'ai pas vu : La vie de Bryan ( Monthy Python ) , ni Flesh Gordon . Est ce un oubli ? J'ai bien écrit Flesh..non Flash , bien sur...
RépondreSupprimerSupporter ? Mais si j'en avais la force, je t'y porterais sur la Lune !
RépondreSupprimerElle est toutes les nuits dans mon jardin ,la Lune, et je l'aime bien.
Krn, Je ne saurais vous dire à quel point je me réjouis de votre intérêt pour les phases de la lune, en effet, je suis profondément convaincu de l'influence des phases lunaires sur le comportement humain (j'ai tenu des statistiques qui tendent à confirmer cela).
RépondreSupprimerPatton, je crois, si mes souvenirs sont bons, que je n'ai pas accroché sur "La vie de Bryan", et pour ce qui est de Flash (ou Fleche) Gordon, ma foi, j'avais bien aimé ce film (très formateur, surtout à l'âge ou je l'ai vu), en particulier la BO, avec le regretté et sympathique Freddy Mercury.
J'ai bien aimé "Las vegas parano", et j'ai très envie de voir "Lost in La mancha", documentaire sur la tentative, par TG, de faire un film sur Don quichotte.
Ah ! la Lune...
RépondreSupprimerJ'y crois, moi aussi, Momo, à son influence.
Bon, je n'ai pas vraiment pris de notes mais, cependant, j'ai fait certaines observations qui tendent à confirmer ce fait.
Je ne ferai pas de commentaire sur les films dont vous parlez avec Patton, je suis affreusement claustrophobe et l'idée de me retrouver enfermée dans un cinéma ne me réjouit pas plus que de passer une soirée dans un parking souterrain.
Krn, connaissez-vous les joies du cinéma à l'air libre (open-air) ?
RépondreSupprimerCela pourrait être un palliatif à votre claustrophobie cinématographique, surtout en été.
J'ai vu récemment un joli dessin animé à l'air libre, Ratatouille et, je dois dire que, outre la différence d'appréhension spatiale due à la circulation de l'air frais notamment, j'ai passé un moment de pure jubilation critique, proche de cette euphorie si particulière à l'enfance.
D'autre part, certains films, pour exigeants qu'ils soient, sont inévitablement claustrophobiques de par leurs facture, leur rythme, etc...
Hélas, il est difficile de trouver des divertissements non bétifiants, des films aérés, qui divertissent à la fois de façon exigeante et généreuse.
Hélas, Momo, le climat de la Normandie, où je réside, à défaut d'en être originaire, ne permet pas ces divertissements à la fois rafraichissants et ludiques.
RépondreSupprimerles caprices d'une averse ou la permanence du vent marin seraient pourtant un spectacle à part entière, mais alors, quel besoin d'un écran ?
en effet, quel besoin ? l'air marin... je vous envie.
RépondreSupprimerCe n'est que le vent de la Manche, hélas, je lui trouve celui de l'Atlantique supérieur en tous points.
RépondreSupprimerJe me rends d'ailleurs régulièrement en Bretagne pour assouvir ce qui devient à présent une véritable addiction, mon besoin de mer indomptable.
J'ai de bons souvenirs de Genève, le lac est superbe.
Oui, c'est pas mal le lac Léman (je m'y baigne tous les jours de l'été).
RépondreSupprimerAvant hier, j'ai dérogé à la régle, je me suis baigné dans le lac de Bienne, sur les rivages de l'ile saint-pierre (dans laquelle Jean- Jaques Rousseau fit un séjour célèbre ).
L'endroit est magnifique, magique, et il y a un hôtel de charme et un restaurant gastronomique en son milieu (un ancien édifice romain, transformé en cloître, puis en auberge) dans lequel j'ai mangé inoubliablement.
Je rêve de ces endroits magiques où on se sent bien, ils sont si rares.
RépondreSupprimerJe vais regarder où se situe le lac de Bienne. Je vous remercie pour l'info.
Alors là, je suis bouche bée.
RépondreSupprimerJe n'ai jamais été capable de tenir une seule seconde sur autre chose que mes deux pieds.
A la place de cette fille, je sais que mes deux pieds auraient exécuté une figure plus que libre et que mon seul souci aurait été d'éviter de faire le grand écart au dessus de ces plots et surtout d'y retomber assis.
Et elle, c'est comme une promenade.
Je lis que vous aimez l'Atlantique, belle Krn. Il est sauvage, brut, grandiose. J'aime cette confrontation. Quand je suis seul en mer, parfois, je pense au petit truc tout bète qui fait qu'on tombe hors du bateau. La mer ne pardonne pas, elle tue impitoyablement ceux qui ne savent pas.
RépondreSupprimer(L'Atlantique a pris Colas et Tabarly, et eux, savaient pourtant)
Comme quoi, malgré votre commentaire sur le patinage, il est quand même moins dangereux que la navigation en solitaire.
RépondreSupprimer"De toutes les habitations où j'ai demeuré (et j'en ai eu de charmantes), aucune ne m'a rendu si véritablement heureux et ne m'a laissé de si tendres regrets que l'île de St-Pierre au milieu du lac de Bienne".
RépondreSupprimerJean Jaques Rousseau
Et j'ajouterai qu'il n'y a cependant rien d'extraordinaire à voir, si ce n'est le ressentir d'un lieu qu'il faudrait raisonnablement qualifier de magique.
J’en suis venu à penser qu'il y aurais des énergies subtiles à cet endroit.
En cherchant un petit peu, j'ai vu que, non seulement Jean-Jacques Rousseau, mais également Goethe, l'historien Coke, l'impératrice Joséphine Bonaparte ainsi que les rois de Prusse, de Suède et de Bavière ont apprécié ce magnifique endroit.
RépondreSupprimerSi énergies subtiles il y a, vous les ressentirez, à condition de ne penser à rien d'autre et de se laisser porter par le lieu.