mercredi 2 juillet 2008

Nils Holgersson


Voici, le ferry nommé Nils Holgersson, troisième du nom.

C'est celui sur lequel j'ai traversé bien des fois de l'Allemagne vers la Scanie (en suédois Skåne)

Vendu en 2001 à la compagnie Brittany Ferries, il a été rebaptisé Val de Loire.
Depuis 2006, sous le nouveau nom de King of Scandinavia, il navigue maintenant pour la compagnie danoise DFDS.
Il a été remplacé sur la liaison Travemünde Trelleborg par le nouveau Nils Holgersson, sistership du Peter Pan, plus rapide et plus adapté au tourisme puisque beaucoup de passagers allemands du week-end ne font que l'aller retour en bateau sans visiter la Suède.

9 commentaires:

  1. C'était mon bateau fétiche.
    J'y étais chez moi.

    J'allais d'abord reconnaître la cabine. Pas toujours la même.
    Lorsqu'on arrive dans les derniers à l'embarquement, on a l'avantage, quand on a un abonnement, d'avoir une cabine de luxe, surtout en été lorsque toutes les autres sont déjà louées.

    Dans ce cas, le temps de monter sur le pont, le ferry a déjà quitté le quai.

    Pendant que tout le monde fait la queue au self, s'installer sur un transat pour admirer le chenal dans le soleil couchant.
    Quelquefois, s'y endormir involontairement.

    Des moments de solitude, mais de bonheur inoublié.

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  2. La couette en duvet d'oie, la règle sur tous les ferries scandinaves, suffit largement.

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  3. faire la queue ? Ah ! AH ! Au self ? Quel manque de romantisme .

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  4. ALORS ! Les Femelles ? Cassées , Hein ?

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  5. Partie rincer ce sang poisseux qui souillait mon col de cygne.

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  6. Morte de rire.

    Oui, une queue interminable dans laquelle chacun se demande avec angoisse s'il restera de ces superbes jellies multicolores et tremblottantes quand son tour viendra.

    je les appelais "боюсь" qui veut dire j'ai peur en russe.

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  7. Mes très chers amis...
    Je suis venue passer aujourd'hui quelques instants en votre compagnie. Plus sérieusement j'ai un léger problème rénal qui me contraint à rester tranquille. Je me soigne, je me soigne.
    Le rire est un excellent traitement d'ailleurs - surtout quand on est obligé à l'inaction. Puis j'ai reçu un appel que Kivouçavé à qui j'ai lu quelques extraits soigneusement choisis. Mis en verve et d'humeur badine, il m'a offert une délicieuse histoire drôle que la bienséance m'interdit de reproduire ici - mais comme je pense qu'il se pourrait que le Kivouçavé en question fasse un tour par chez nous avant le grand départ estival, je me permets de lui demander de bien vouloir nous écrire son historiette par le menu.
    Cependant, je tiens à prévenir les âmes sensibles comme celles de Patpat : attention, c'est... heu... c'est... enfin...
    Bon, vous jugerez lorsque vous aurez lu.
    En attendant, je retourne à l'horizontal - toute seule, toute seule Lou, pas d'inquiétude.

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