Escherichia coli O104:H4

Escherichia coli O104:H, c'est la bactérie qui fait mourir les Allemands et terrorise toute l'Europe.

Ce colibacille, appelons le par son nom, dont des milliards sont les hôtes de tous les mammifères et par conséquent des humains, est membre de la souche O104, presque jamais résistante aux antibiotiques.
Pour lui permettre d’acquérir cette résistance, elle doit être exposée de façon répétée aux antibiotiques afin de fournir la pression de mutation qui la pousse vers cette résistance. Il n’existe pas de mutation spontanée dans une souche qui résiste aux huit principales catégories de marque d’antibiotiques vendus par l'industrie pharmaceutique aujourd’hui. Ces mutations doivent être délibérées.

Cette souche a subi des expositions répétées et prolongées à huit différentes classes d’antibiotiques, puis est apparue dans l’alimentation humaine sans passer par la chaîne animale. On se demande donc comment, vu que les antibiotiques ne sont pas utilisés pour la culture des légumes.

En plus de cela, cette souche O104 possède deux gènes – TEM-1 et CTX-M-15 – qui sont si mortels que les personnes infectées par ces bactéries connaissent la défaillance d’un organe critique et meurent.

Question, réponse.

Où cette bactérie a t-elle acquis cette résistance totale aux antibiotiques ?

Alors que la résistance à un seul antibiotique est commun, la création d’une souche ce colibacille qui résiste à huit différentes classes d’antibiotiques défie tout simplement les lois de la permutation et de la combinaison génétique à l’état sauvage. Autrement dit, cette souche n’aurait pas pu être créée à l’état sauvage, ce qui ne laisse qu’une seule explication pour son origine : le laboratoire.

La preuve que "quelqu’un" a conçu cette souche d' escherichia coli est juste écrit dans l’ADN de la bactérie. Ce sont des preuves médico-légales, et ce qu’elles révèlent ne peut être nié.

Problème, réaction, solution.

1) Causer un problème, et ce problème est une souche devenue mortelle d'une bactérie commune à toute la sphère animale.

2) Attendre la réaction du public, ici une population terrorisée par la peur de l'infection incurable.

3) Adopter la solution désirée sans tollé du public, en l'occurrence le contrôle absolu sur l’approvisionnement alimentaire mondial et l'interdiction des aliments naturels.

Quand les gens ont peur, il n’est pas difficile de les amener à accepter n’importe quel niveau de dictature dans la réglementation.

De nombreuses plantes et remèdes naturels tuent cette bactérie à coup sûr, et c'est sans doute pourquoi l'Union Européenne et ses députés corruptibles en interdisent la vente.
Pourquoi les concombres espagnols ? L'Espagne n'a t-elle pas interdit les OGM sur son territoire ?
Pourquoi les graines germées d'une petite exploitation allemande (dans laquelle il a été impossible de trouver une seule trace de la bactérie) ? Certaines grandes firmes n'ont-elles pas intérêt à voir disparaître les mangeurs de bio ?
Cette bactérie ne serait-elle pas la nouvelle arme de destruction massive que des savants fous et peu scrupuleux auraient produite contre le genre humain ?
L'enquête se poursuit.