Mais c'est une bagarre permanente entre nous. Je n'ai pas photographié la façade de ma maison pour la bonne raison que j'ai tout limité à 40 cm de haut fin août.
Mais dans 2 mois, je sais qu'il sera de nouveau sur le toit.
Le périmètre de la maison est de 70 m et il y a du Lierre de tous les côtés y compris au nord.
Et c'est juste la raison qui me fait agir. Je sais que les joints entre mes briques supportent mal les racines qui s'insinuent et que les ardoises et les tuiles ne résistent pas aux coups de boutoirs de ce végétal très sympathique mais néanmoins excessif.
J'aime mes arbres et les plantes de mon jardin. En ce moment, je m'inquiète pour l'un de mes tilleuls.
Il poussait un peu de travers et la tempête de décembre 1999 l'a penché un peu plus. Cette année, il a fait beaucoup de bois et dès qu'il y a un peu de vent, je l'entends craquer. J'attends la descente de sève pour couper les branches qui le déséquilibrent, pour ne pas compromettre sa survie.
Il se dégage de votre échange tellement de beauté végétale et humaine et d'apaisement que j'hésite à y entrer avec mes gros sabots; j'essaierai donc de m'insérer comme le lierre par le trou du fil de téléphone... ou de l'internet! Le lierre n'est pas très populaire dans mon coin (je pense que les gels vigoureux de nos hivers et la sécheresse de l'air ne lui feraient aucun bien)... mais c'est tellement beau!
C'est cette branche qui m'a fait découvrir le fil de téléphone coupé au ras des briques. Je n'avais pas vu ce trou entre la poutre et la porte, il est minuscule. Mais le Lierre, lui, l'a utilisé, et ce n'est pas le seul endroit. J'en avais une autre dans la cuisine par le trou d'une antenne de télé. Je l'ai gardée pendant un moment, il y avait beaucoup de feuilles, ça faisait plante verte et ça bouchait le trou.
Hohooo, moi, j'aime bien le lierre, mais du point de vue invasion de ma maison, je suppose que ça me ferait moins rire. Vous convivez bien ?
RépondreSupprimerMais moi aussi, Momo, je l'adore !
RépondreSupprimerMais c'est une bagarre permanente entre nous. Je n'ai pas photographié la façade de ma maison pour la bonne raison que j'ai tout limité à 40 cm de haut fin août.
Mais dans 2 mois, je sais qu'il sera de nouveau sur le toit.
Le périmètre de la maison est de 70 m et il y a du Lierre de tous les côtés y compris au nord.
Alors c'est un friendly envahissement, mais un envahissement certain.
RépondreSupprimerQuelle bagarre ! La nature a ses ressources !
Je suppose que vous n'utilisez aucune sorte de chimie pour vous en défaire.
Ah non ! Je réduis, mais je n'empoisonne pas.
RépondreSupprimerEt c'est juste la raison qui me fait agir. Je sais que les joints entre mes briques supportent mal les racines qui s'insinuent et que les ardoises et les tuiles ne résistent pas aux coups de boutoirs de ce végétal très sympathique mais néanmoins excessif.
Vous n'avez pas besoin de vous justifier ma chère krn, je sais que vous agissez consciencieusement.
RépondreSupprimerJadis, j'ai habité dans un appartement avec jardin, je me rappelle de l'énergie sauvage qui s'en dégageait.
Vous êtes néanmoins chanceuse d'avoir la nature si près de vous.
J'ai choisi d'être dans la nature. Même si parfois l'isolement me pèse, je ne pourrais plus vivre en ville.
RépondreSupprimerPourtant, j'ai habité Paris.
J'aime mes arbres et les plantes de mon jardin.
RépondreSupprimerEn ce moment, je m'inquiète pour l'un de mes tilleuls.
Il poussait un peu de travers et la tempête de décembre 1999 l'a penché un peu plus.
Cette année, il a fait beaucoup de bois et dès qu'il y a un peu de vent, je l'entends craquer.
J'attends la descente de sève pour couper les branches qui le déséquilibrent, pour ne pas compromettre sa survie.
Quelle chance ! Une bonne tisane de tilleul ! Vous en profitez j'espère !
RépondreSupprimerJ'en ai une qui fume devant moi en ce moment.
RépondreSupprimerSon parfum monte avec la vapeur.
Je souhaite que ce breuvage, homéopathique, vu que je le bois à 3 mètres du lieu où il a poussé, me fasse un effet bénéfique.
C'est la seule aide extérieure que j'ai pour m'aider à conserver un peu de sérénité. Pas de chimie pour moi non plus.
Elle vous sera bénéfique, krn, elle le sera. C'est une certitude, ne serais-ce que par la beauté du geste.
RépondreSupprimerMerci, c'est très poétique.
RépondreSupprimerJe vais rejoindre mon lit et la petite branche qui s'est insinuée par un trou où passait jadis un fil de téléphone, car c'est dans ma chambre.
Bonne nuit, mon tilleul m'a réchauffé le corps et vous m'avez réchauffé l'âme.
Il se dégage de votre échange tellement de beauté végétale et humaine et d'apaisement que j'hésite à y entrer avec mes gros sabots; j'essaierai donc de m'insérer comme le lierre par le trou du fil de téléphone... ou de l'internet! Le lierre n'est pas très populaire dans mon coin (je pense que les gels vigoureux de nos hivers et la sécheresse de l'air ne lui feraient aucun bien)... mais c'est tellement beau!
RépondreSupprimerVous êtes le bienvenue Doréus.
RépondreSupprimerVenez nous dispenser un peu de votre logorrhée, je crois que nous sommes atteints aussi.
Oui, faute de lierre, un peu de logorrhée, Doreus. Welcome here :-)
RépondreSupprimerFAUTE DE LIERRE , ? quelle faute ? Je suis innocent ! Je ne parlerai qu'en présence de mon AVOCAT...ier..
RépondreSupprimerLes Chévres broutent le Lierre . J'aime bien qu'on me broute .
RépondreSupprimer:-D
RépondreSupprimerKRN ....ta 2éme légende est indigne , et m'indigne .
RépondreSupprimerNous allons avoir Maille à partir !
RépondreSupprimerPatton,
RépondreSupprimerC'est cette branche qui m'a fait découvrir le fil de téléphone coupé au ras des briques.
Je n'avais pas vu ce trou entre la poutre et la porte, il est minuscule.
Mais le Lierre, lui, l'a utilisé, et ce n'est pas le seul endroit. J'en avais une autre dans la cuisine par le trou d'une antenne de télé. Je l'ai gardée pendant un moment, il y avait beaucoup de feuilles, ça faisait plante verte et ça bouchait le trou.
Vous avez allié l'outil à l'agréable, Krn, quelle riche idée cette histoire de plante verte et de bouche trou. J'adore !
RépondreSupprimerQuestion linguistique... S'agissant de ces petites failles du mur par lesquelles le lierre s'insinue... peut-on alors parler du «chas» d'un mur? :-P
RépondreSupprimerDans ce sens, oui, je le pense car chas est le masculin de châsse, signifiant ce qui enserre, enclôt, entoure.
RépondreSupprimerIci le "chas" enserre bien la branche.
Donc, si je comprends bien, ton lierre, comme une sainte relique, était enchâssé... Ah! la joie de jouer avec la langue!
RépondreSupprimerJe n'aurai pas pu mieux dire.
RépondreSupprimerOOOOH , oui ....!
RépondreSupprimerJe pense que Patton a ici une autre idée de ce que je voulais dire par jeux de langue... qui ne relève plus du règne végétal!
RépondreSupprimerPatton a l'art et la manière de concevoir les choses de façon plutôt moins poétique que la moyenne.
RépondreSupprimerCeci dit, je ne peux pas dire que son point de vue ne soit pas intéressant.
On voit avec justesse où peut mener l'ambiguité des mots à double sens.
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