Elle n'a pas aimé mon article.
"Elle", c'est une retraitée de l'éducation nationale que je ne soupçonne pas de maltraitance envers des enfants mais qui, par esprit de groupe, prend fait et cause pour ceux qui, eux, les maltraitent.
"Elle", c'est une retraitée de l'éducation nationale que je ne soupçonne pas de maltraitance envers des enfants mais qui, par esprit de groupe, prend fait et cause pour ceux qui, eux, les maltraitent.
Moi qui écris, je suis une rescapée des maltraitances scolaires (et pas seulement quelques cheveux tirés et quelques claques) et l'un de mes enfants a également eu à subir des mauvais traitements de la part d'une enseignante sadique qui a fait souffrir de nombreux élèves sur au moins deux générations.
Je ne détaille pas les sévices car certains pourraient s'en réjouir. Le mal attire. Malgré tout, je peux dire que les séquelles existent et sont cruelles.
J'insiste donc en disant que le devoir de l'état est de recruter du personnel compétent et psychologiquement équilibré, bien que cette dernière notion soit parfois difficile à déceler. L'enseignante qui a martyrisé mon fils a également fait subir des sévices à d'autres élèves de la même classe et leurs parents, qui l'avaient eue vingt-cinq ans plus tôt ont révélé avoir eux-mêmes été l'objet de maltraitance par la même personne. Ces enfants avaient entre 5 et 7 ans. Il a fallu ma détermination et celle d'une autre maman pour dénoncer ces agissements. Les autorités compétentes faisaient la sourde oreille. Cette dame a finalement été déplacée, promue à un meilleur poste à quelques kilomètres malgré le poids des accusations portées par tous les parents. Ceci n'est pas admissible. Qu'en sera t-il lorsque des enfants aussi petits que 3 ans seront confrontés à ce genre de personne ? Combien d'enfants seront agressés, y compris sexuellement avant que ces personnes partent en retraite avec les honneurs tandis que leurs victimes restent avec leur souffrance ?
Et bien voilà l'histoire d'un billet qu'on n'aime pas ou quand les gens de l'éducation nationale qui n'ont rien à se reprocher se font les avocats des mauvais sujets qui se conduisent mal et décrédibilisent ainsi toute la profession.
Le titre : "Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire", est une citation d'Albert Einstein.
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